N°0009 du Vendredi 04 Décembre 2020 1 SOUS L’AUTORITE DES FAITS Le Prof Désiré
N°0009 du Vendredi 04 Décembre 2020 1 SOUS L’AUTORITE DES FAITS Le Prof Désiré BALOUBI sur Actu Bénin dans l'émission Zapping 229 Enseignants boucs émissaires! "Une mesure sociale au goût d'inachevé", selon l'ANERB Encore quelques efforts à faire par Eric Houndété et les siens Page 03 Paiement des dettes de l'Etat vis-à-vis des travailleurs COMMENT-TAIRE Quotidien Indépendant d’Informations Générales - TEL. 97 07 66 53 / 95 62 87 86 / N° RCCM : RB/ABC/20 A 23823/IFU : 0202011796388 N°0009 du Vendredi 04 Décembre 2020 La barre des 3000 cas confirmés désormais franchie Obtention de Récépissé par "Les Démocrates" 300F CFA "Repenser le Bénin et l'Afrique à partir de nos propres valeurs culturelles" Conseil des ministres du mercredi 02 décembre 2020 Création d'une zone de commerces et de services à l'Est de Cotonou Page 02 Accroissement de cas de Covid-19 au Bénin Page 03 Ils avaient tous jubilé, en octobre dernier, lorsque le gouvernement avait annoncé le déblocage de 15 milliards de francs pour le paiement immédiat des arriérés sala- riaux dus aux travailleurs et aux retraités. Mais à l'arrivée, ils ont tous déchanté ; du moins, pour l'instant. Ils, ce sont les enseignants retraités...suite à la (Pas de faute mineure en matière de délivrance dudit récépissé) (Lire le compte rendu du Conseil des ministres du mercredi 02 décembre 2020) (La pandémie est toujours là, respect strict des gestes barrières!) N°0009 du Vendredi 04 Décembre 2020 2 SOUS L’AUTORITE DES FAITS Politique Conseil des ministres du mercredi 02 décembre 2020 Création d'une zone de commerces et de services à l'Est de Cotonou (Lire le compte rendu du Conseil des ministres du mercredi 02 décembre 2020) N°0009 du Vendredi 04 Décembre 2020 3 SOUS L’AUTORITE DES FAITS Politique Evitons le suicide collectif! D epuis quelques semaines, on a pu faire le constat que les mesures de prévention édictées pour freiner la propagation du coronavirus (Covid-19) sont en souffrance dans notre pays, malgré les multi- ples campagnes officielles d'information et de sensibilisation. C'est à croire que la pandémie est définitivement conjuguée au passé, et que le respect des mesures de prévention est, par conséquent, devenu facultatif au Bénin, sur- tout dans les établissements scolaires et les lieux de grande affluence. Apprenants sans masques, absence de dispositifs de lavage de mains dans certaines écoles ou buvettes, non respect de la mesure de distanciation sociale dans les marchés et sur les lieux de cérémo- nie à laquelle, seulement cinquante personnes sont autorisées à prendre part jusqu'à nouvel ordre. Ailleurs, bien que les dispositifs de la- vage des mains existent bel et bien, on semble ne pas s'en accommoder, et on ne s'y intéresse guère. Bref, le relâchement dans le respect des mesures barrières contre le Covid-19 est pa- tent, au moment même où en Europe, plusieurs pays renouent avec le confinement. C'est bien paradoxal ! Le mot d'ordre, ici, reste pourtant : " Protège-toi pour protéger les autres ". Autre- ment dit, le respect strict des gestes barrières ne saurait être facultatif. Alors, il urge que les autorités reprennent l'initiative, en instruisant les forces de sécurité publique à renouer avec la répression. Car, la pandémie sévit toujours au Bénin. Personne n'a intérêt à baisser la vi- gilance ou la veille, sous quelque prétexte que ce soit. Qui s'expose expose en même temps les autres dans son entourage. C'est pourquoi, pour éviter le suicide collectif, continuons de respecter strictement les gestes barrières édic- tés par le gouvernement depuis avril dernier. Notre salut commun en dépend. Evitons donc le suicide collectif ! On ne s'amuse pas avec la vie. Puisque, même si elle ne vaut rien, rien ne vaut la vie. C'est le grand paradoxe qui donne tout son sens à la vie. Par Jacques Sègla Edito Paiement des dettes de l'Etat vis-à-vis des travailleurs "Une mesure sociale au goût d'inachevé", selon l'ANERB Ils avaient tous jubilé, en octobre dernier, lorsque le gouvernement avait annoncé le déblocage de 15 milliards de francs pour le paiement immédiat des arriérés salariaux dus aux travailleurs et aux retraités. Mais à l'arrivée, ils ont tous déchanté ; du moins, pour l'instant. Ils, ce sont les enseignants retraités, qui relèvent une mesure sociale discriminatoire L e communiqué avait pourtant clai rement indiqué que les agents concernés, qui n'auront pas constaté l'ef- fet sur leur salaire ou pen- sion du mois d'octobre, seraient pris en compte le mois suivant, c'est-à-dire en fin novembre 2020. Ainsi, tous ceux qui n'avaient pas été servis en octobre avaient pris leur mal en patience, attendant fin novembre 2020, qui vient de passer. L'Asso- ciation nationale des en- seignants retraités du Bé- nin (ANERB) est simple- ment déçue de se rendre à l'évidence que les ensei- gnants retraités, qui atten- daient le rappel découlant de la revalorisation du point indiciaire en 2016, ne sont visiblement pas concernés par cette me- sure sociale relayée sous grand battage médiatique. Sur leur forum, ils dénon- cent une mesure sociale discriminatoire au goût d'inachevé. Selon l'ANE- RB, personnes de troi- sième âge, pour la plupart très vulnérables, les retrai- tés en général, et les en- seignants en particulier, méritent une assistance spécifique par ces temps de pandémie due au Covid-19. A défaut, que le gouvernement leur paye les arriérés de pension qui leur sont dus au titre de l'année 2016. Malheureu- sement, leur espérance s'évanouit à la fin de cha- que mois d'attente, depuis l'année 2017. L'ANERB se demande quel crime les enseignants retraités du Bénin ont commis pour connaître une telle mal- traitance après avoir servi loyalement la nation pen- dant plusieurs décennies. La déception est d'autant plus profonde qu'ils n'ont aucun recours officiel qui puisse intercéder auprès le gouvernement pour plai- der leur cause. Bien dom- mage ! Le ministre de l'économie et des finances à nouveau interpellé. KPEKOUN Assivèda Accroissement de cas de Covid-19 au Bénin La barre des 3000 cas confirmés désormais franchie (La pandémie est toujours là, respect strict des gestes barrières !) L es cas confirmés à la Covid-19 continuent d'accroître au Bénin. En effet, selon le dernier bi- lan publié mardi 1er décem- bre 2020, sur le site du gou- vernement, la barre des 3000 cas positifs au virus est désormais franchie dans le pays. Au total, 3015 cas confirmés au coro- navirus sont enregistrés au Bénin à la date du 1er dé- cembre 2020, dont 133 per- sonnes sous traitement, 2839 guéries et 43 décès. C'est l'occasion pour le gou- vernement d'appeler la po- pulation à prendre rigoureu- sement au sérieux le res- pect des gestes barrières contre la pandémie de Covid-19. Lesquels gestes concernent le lavage des mains, l'utilisation de gel hydro alcoolique, le port de masque en tout lieu, le res- pect de la distanciation phy- sique d'au moins un mètre et autres. T. O. KINNINKPO N°0009 du Vendredi 04 Décembre 2020 4 SOUS L’AUTORITE DES FAITS Bon à savoir En 2011, plus de 44% des mariages se sont ter- minés par un divorce, des chiffres peu rassurants qui prouvent bien qu'il faut se marier pour de bonnes raisons et pas seulement pour faire une belle fête et porter les alliances. Dès la première année certains mariages battent de l'aile, au fils des années les problèmes jaillissent comme les tulipes au printemps. Pour commencer il est important d'identifier les raisons les plus courantes qui mènent au di- vorce. Voici les résultats établis : - L'infidélité : dans 33% des cas c'est ce qui pousse le conjoint à demander le divorce. On remarque que celle-ci n'est finalement que la conséquence de toutes les raisons citées ci- dessous. - La routine : dans 29 % des cas c'est immé- diatement après l'infidélité la principale cause de divorce. Reste à s'interroger si la routine ne mène pas à l'infidélité... - Grossesses/enfants : dans 25 % des cas l'homme change de regard sur son épouse une fois celle-ci devenue mère. Il ne la regarde plus comme une femme, mais comme la mère de ses enfants. C'est une grave erreur car celle-ci se sent délaissée et cela augmente fortement le ris- que d'infidélité. Le couple, à tord, sacrifie sa vie intime au profit de sa vie de famille. - L'égoïsme : dans 22% des cas, l'un des con- joints ne supporte plus l'égoïsme de son parte- naire. Le couple est un binôme et non une aven- ture en solitaire. - Le caractère : 14% des personnes interrogées admettent avoir découvert après le mariage de nouveaux traits de personnalité peu flatteurs chez leur conjoint. Paresseux, désordonné ou tout sim- plement colérique, etc. - Les comportements abusifs : dans 14% des cas l'autre se révèle être bien moins charmant qu'imaginé, trop envahissant ou trop jaloux, c'est la désillusion. Des comportements abusifs qui provoquent des ruptures souvent compliquées. - Pas les mêmes objectifs dans la vie : Hélas pour 14% des personnes interrogées, les envies différentes font prendre des chemins séparés à chacun des deux partenaires. Enfant, style de vie, compte commun ou simplement l'adoption d'un chien, etc. Le mieux étant évidemment de discuter avant le mariage de ces uploads/Geographie/ info-sans-tabou-n00009.pdf
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- Publié le Aoû 06, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
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