Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

NON ASSUJETTI AU MALUS LLD 48 MOIS. 1ER LOYER DE 3 990 €. ENTRETIEN ET ASSISTAN

NON ASSUJETTI AU MALUS LLD 48 MOIS. 1ER LOYER DE 3 990 €. ENTRETIEN ET ASSISTANCE 24/24 INCLUS. *Source AAA des immatriculations sur les produits de même segment jusqu’à fin décembre 2016.**Exemple de Location Longue Durée avec prestation « maintenance/assistance » d’un Ford Ranger Double Cabine XL PACK TDCi 160 ch 4x4 Euro 6 Type 05-16 neuf, sur 48 mois et 60 000 km, soit un 1er loyer de 3 990 € et 47 loyers de 299 €/mois. Modèle présenté : Ranger Double Cabine WildTrak 3.2 TDCI 200 ch BVM Stop&Start 4x4 avec options au prix remisé de 37 560 €, soit 1er loyer de 3 990 € et 47 loyers de 418 €/mois. Consommation mixte (l/100 km) : 8,4. CO2 (g/km) : 221 (données homologuées conformément à la Directive 80/1268/EEC amendée). Loyers exprimés TTC hors malus écologique et carte grise. Restitution du véhicule à la fin du contrat avec paiement des frais de remise en état standard et des kilométrages supplémentaires. Offres non cumulables réservées aux particuliers pour toute commande de ces véhicules neufs, valables du 01/07/17 au 31/08/17, dans le réseau Ford participant en France métropolitaine, selon conditions générales LLD, et sous réserve d’acceptation par Bremany Lease, SAS au capital de 39 650 €, RCS Versailles n°393 319 959, 34 rue de la Croix de Fer, 78100 St-Germain-en-Laye. Société de courtage d’assurances n°ORIAS 08040196 (www.orias.fr). Ford France, 34, rue de la Croix de Fer - 78122 St-Germain-en-Laye Cedex. SIREN 425 127 362 RCS Versailles. ford.fr À PARTIR DE Un jour où vous vous promenez sur la Lune – le tourisme lunaire serait pour demain –, vous apercevez sur le sol une photo jaunie par le temps, une photo de famille d’un couple souriant avec ses deux enfants. Ne la ramassez pas, n’y touchez pas, elle est là depuis 1972 : c’est un vestige témoignant des temps héroïques de la première course à la Lune. L’astronaute Charles Duke a laissé cette trace de ceux qu’il aime lors de la mission Apollo 16. Continuant votre balade, vous tomberez peut-être sur les deux balles de golf jouées par Alan Shepard, l’astronaute sportif, ou bien sur un marteau avec, tout à côté, une plume : les deux objets ont permis d’illustrer qu’en l’absence de résistance de l’air, ils tombaient au sol exactement à la même vitesse. Plus loin, vous distinguez une urne : elle contient les cendres d’Eugene Shoemaker, un géologue qui consacra sa vie à la Lune et qui est donc le premier homme à y être enterré – ou devrait-on dire « enluné » ? On peut dresser avec ce que les hommes ont laissé là-haut un inventaire à la Prévert : des rovers, des modules, des bottes, des seaux, des épuisettes… Au total, il y en aurait pour 180 t de ce qu’on peut nommer au choix des détritus ou… de précieux éléments du patrimoine humain. Alors que s’engage aujourd’hui une nouvelle course à la Lune dans le monde entier (lire notre article pp. 68 à 99), des voix s’élèvent aux États-Unis pour que soient préservés les sites d’alunissage et tout ce qui s’y trouve afin de conserver pour l’Histoire les traces des pionniers de la conquête spatiale (lire notre article pp. 100 à 105). Jusqu’à maintenant, seulement douze hommes ont foulé le sol lunaire : c’était entre 1969 et 1972. Qu’on envisage la création d’un musée de l’Homme sur la Lune est un signe qui ne trompe pas : la Terre est à la veille de prendre possession de son satellite. Jean-Pierre Vrignaud, rédacteur en chef Un MUsée de l’HoMMe sUr la lUne photo : nasa | édito En couverture Un tapis de bruyère commune sur le domaine de Mar Lodge, en Écosse. Photo : Jim Richardson 68 La nouveLLe course à La Lune Le Google Lunar XPrize a un objectif : relancer la conquête spatiale et en faire un business rentable. Cinq équipes du monde entier sont encore en lice. Par Sam Howe Verhovek Photographies de Vincent Fournier 28 | fils d’écosse Dans les Hébrides extérieures, le climat est rude et le travail manque. Mais les jeunes qui y vivent n’ont pas envie d’en partir. Notre photographe est partie à leur rencontre. Texte et photographies de Laetitia Vançon/Hans Lucas 100 | Un mUsée sUr la lUne Certains conservateurs du patrimoine veulent protéger les sites d’alunissage témoignant de la première course à l’espace. Par Brad Scriber 44 | écosse, dU rififi sUr la lande L’Écosse a perdu plus de 25 % de sa lande depuis la Seconde Guerre mondiale. Et ce paysage emblématique reste empoisonné par des conflits de classe autour de la très exclusive chasse à la grouse. Par Cathy Newman Photographies de Jim Richardson 122 | aU kenya, l’orphelinat des éléphants Dans le nord du pays, des habitants se mobilisent pour sauver des éléphanteaux orphelins ou blessés. Texte et photographies d’Ami Vitale 104 | face à la torpille des océans Le requin-taupe bleu est le squale le plus rapide du monde. Par Glenn Hodges Photographies de Brian Skerry ao û t 2017 • n° 215 • vo l. 37. 2 Ce numéro comporte une lettre Extension NGE HS ADD posée sur une sélection d’abonnés, une lettre Extension NGE HS ADI posée sur une sélection d’abonnés, une carte jetée abonnement kiosques Belgique, une carte jetée abonnement kiosques Suisse, une carte jetée abonnement kiosques France, un encart Terre Sauvage posé sur une sélection d’abonnés. I SO MMA IRE NOS CHMBRES VOUS FONT VOIR DU PYS. En quelle langue rêverez-vous cette nuit ?  Paris ou à Londres, à Bangkok ou à Johannesburg, votre chambre Mercure ne sera jamais la même. Chaque détail du décor vous raconte une histoire, inspirée par la région, son héritage, sa culture et ses paysages. Et vous, demain matin, vous saurez où vous êtes avant même d’ouvrir les rideaux. JUSQU’ -10 %* SUPPLÉMENTIRES EN RÉSERVNT VOTRE CHMBRE SUR MERCURE.COM OU CCORHOTELS.COM *Offre réservée aux membres “Le Club ccorHotels”. La réduction s’applique, sous réserve de disponibilité, sur le tarif public. Voir conditions et liste des hôtels participants sur mercure.com LONDON HEATHROW GROSVENOR HOTEL ADELAIDE LONDON BRIDGE AMSTERDAM CENTRE CANAL DISTRICT PARIS CENTRE TOUR EIFFEL KIKUOKA GOLF CLUB photos : Michael GeorGe (pataGonie) ; Kenneth GeiGer/ national GeoGraphic creative (stonehenGe) ; national GeoGraphic/Geraldine Kent l’un de nos reporters a réalisé un trek incroyable en patagonie. dans un décor de pics granitiques, il a gravi des glaciers, traversé des forêts aux arbres tordus et bravé des rafales de vent sur des plages de sable noir. c’est l’une de nos multiples aventures en amérique du sud à retrouver, jusqu’au 10 octobre, dans National Geographic Traveler n° 7. au sommaire aussi : addis-abeba, la capitale éthiopienne, et le festival Burning Man. les dernières études l’attestent : le site anglais de stonehenge, érigé il y a 4 500 ans, était un immense cimetière. À l’aide d’un radar à pénétration de sol, des chercheurs ont découvert, sous la terre, dix-sept monuments rituels, des tertres funéraires et une possible route processionnelle. À découvrir, jusqu’au 5 septembre, dans « les plus grands mystères expliqués par la science ». et aussi : l’origine du mythe du cyclope, les loups-garous vus par la génétique… au cœur de l’asie du sud-est, les forêts de Bornéo expérimentent une sécheresse sans précédent. la faune et la flore rivalisent d’ingéniosité pour s’adapter. Sur Nat Geo Wild, les 5, 12 et 19 août 2017, à 20 h 35. le documentaire Earth Live nous emmène sur la trace des animaux sauvages les plus spectaculaires du monde, avec des images nocturnes inédites. Sur Nat Geo Wild, le 6 août 2017, à 20 h 35. dossier spécial amérique du sud magazine NatioNal geographic traveler zoom sur bornéo télévision nuit sauvage télévision la science décrypte les mystères hors-série NatioNal geographic da ns l’un i v e r s n at i o n a l g eo g r a p H i c FONTAINE GÉANTE États-Unis À New York, dans le Flushing Meadows Corona Park, les 96 fontaines à la base de l’Unisphere permettent aux visiteurs de se rafraîchir. Ce globe en acier inoxydable mesure 43 m de haut pour 37 m de diamètre et pèse 318 t. Ses anneaux symbolisent trois des premiers vols orbitaux qui ont inauguré l’ère de la conquête spatiale. PHOTO : MATTHEW PILLSBURY, BENRUBI GALLERY IVISION Même par la plus belle nuit étoilée, l’œil humain ne perçoit qu’une infime partie du cosmos. C’est ce qui a conduit l’astronome Natasha Hurley-Walker à utiliser un radiotélescope situé au fin fond de l’Australie-Occidentale. Appelé Murchison Widefield Array, il est composé de milliers d’antennes qui voient à travers la poussière céleste et détectent la « lumière radio » – révé- lant les couleurs et les objets dans un spectre invisible pour les hommes, même à l’aide de télescopes optiques comme Hubble. Moins chères à pro- duire et à entretenir que les dispositifs paraboliques classiques, ces antennes, réparties sur près de 10 km2 de désert, ressemblent, selon la scientifique, à « une armée d’araignées mécaniques ». Pendant quatre ans, Natasha Hurley- Walker et uploads/Geographie/ nationalgeographicfrance-aout2017.pdf