F.M.I., Sujet B) Le coût de l'intégration des migrants contre les problèmes soc
F.M.I., Sujet B) Le coût de l'intégration des migrants contre les problèmes socio-économiques causés par le manque de l'intégration. Pays : États-Unis Délégué : Balan Artiom École : IPLT « Gheorghe Asachi » Comité : FMI Sujet : Le coût de l'intégration des migrants contre les problèmes socio-économiques causés par le manque de l'intégration. Introduction au comité : Le Fonds monétaire international (FMI) a été créé en juillet 1944 lors d’une conférence internationale organisée à Bretton Woods. Sa création résultait de la volonté des 44 pays fondateurs d’établir un cadre international de coopération économique. Aujourd’hui, le FMI regroupe 189 pays. Dirigée entre 2011 et 2019 par la française Christine Lagarde qui avait succédé à Dominique Strauss-Kahn, l’institution a maintenant à sa tête la bulgare Kristalina Georgieva. Son principal but est d’encourager la stabilité financière et la coopération monétaire internationale par l’octroi de prêts aux pays membres connaissant de graves difficultés financières. Pour accomplir cette mission, le FMI dispose de ressources financières propres ainsi que d’une organisation spécifique. De plus en plus sollicité pour formuler des préconisations de politiques économiques, le FMI a été critiqué pour ses recommandations à destination des pays en développement, mais aussi pour celles qu’il a proposées aux pays développés pour gérer les conséquences de la crise financière de 2008. Antécédents : En fait, on pourrait dire que presque toute la population américaine actuelle, c’est le résultat des immigrations massives d’Afrique, d’Asie et d’Europe, qui se déroulaient à partir du XVIIème jusqu’au XXème siècle. Beaucoup d’américains détestent les immigrants sans avoir des motifs viables, mais ils oublient le fait que leurs ancêtres ont également immigrés aux États- Unis. Réellement, le territoire des États-Unis, était peuplé par des américains natives (aussi connus comme des amérindiens), qui sont morts en grande partie. L'arrivée des Européens au XVème siècle a bouleversé la vie des peuples d'Amérique. Parmi les centaines de nations qui peuplaient le continent, beaucoup ont disparu, déculturées ou exterminées. Le désastre démographique est dû aux épidémies principalement, mais aussi aux guerres, au travail forcé, aux déplacements de tribus entières. La population indienne en Amérique du Nord a vraiment diminué, immédiatement que Cristopher Columbus est arrivé sur le continent « nouvellement découvert » en 1492. Historiquement, les États-Unis ont cela d’original qu’ils ont été fondés par des immigrants, les colons. Anglais majoritairement, mais également Espagnols, Français ou Néerlandais, ils affluent à partir du XVIème siècle, tout d’abord à travers une politique volontariste de la F.M.I., Sujet B) Le coût de l'intégration des migrants contre les problèmes socio-économiques causés par le manque de l'intégration. Couronne britannique. Aux XVIIème et XVIIIème siècles, pour faire venir de la main-d’œuvre dans cette « nouvelle terre » déjà occupée par les Amérindiens, le royaume britannique décide d’inciter les plus pauvres à émigrer, à travers le système des serviteurs engagés. Ces populations acceptaient d’y exploiter les terres agricoles gratuitement pendant quatre à sept ans, contre la promesse d’une terre qui leur serait propre. Entre 1600 et 1776, la part des servants engagés parmi les émigrants était estimée à 60 %. La Compagnie Royale d’Esclavage Africain reçoit d’ailleurs le monopole sur le commerce d’esclaves. Représentant seulement 5 % de la population en 1650, les Noirs en constituent 22 % en 1776. De 1680 à 1760, le nombre d’habitants dans les colonies passe de 250 000 à environ 2 millions. À ce stade, la majorité des immigrants sont Nord-Irlandais et Allemands, mais également Néerlandais ou Français. Pour la plupart, ils émigrent pour des raisons religieuses ou financières. Au XIXe siècle, l’immigration aux États-Unis augmente : 750 000 immigrés s’y installent entre 1819 et 1840, et quatre millions entre 1840 et 1860. Lors de ces deux vagues, les populations les plus représentées demeurent Irlandaises et Allemandes. La différence majeure entre l’immigration initiale et celle au XIXe siècle est que les migrants ne fuient plus tellement l’intolérance religieuse européenne, mais cherchent réellement à s’épanouir aux États-Unis et à y faire fortune. Jusque-là, l’immigration est donc encouragée par les Britanniques. Cependant à partir du début du XXème siècle, elle va être de plus en plus contrôlée, cette fois par les États-Unis eux- mêmes. Par la suite et pendant plusieurs décennies, l’immigration reste globalement constante et maîtrisée. Les différents actes d’immigration successifs imposent taxes d’immigration, contrôles à l’entrée et tests d’alphabétisation par exemple. La situation évolue en 1965, lors de l’abolition de la politique des quotas d’immigration par Lyndon Johnson. Ce choix résulte en partie du mouvement américain des droits civiques, qui lutte depuis plusieurs années contre la discrimination sur tous les plans, y compris concernant l’immigration. L’ex-président Donald Trump luttait contre les immigration, il même a commencé à construire un mur entre le Mexique et les États-Unis, afin de stopper les immigrants venants du Mexique. En réalité, la quasi-totalité des études démontrent que les immigrants créent de la richesse, de la recette fiscale et du dynamisme démographique aux États-Unis. Le pays a besoin d’immigrants, aussi bien pour des petits boulots que pour des emplois qualifiés : les Etats-Unis importent beaucoup d’ingénieurs. Et les grandes entreprises américaines sont favorables à des règlementations plus libérales sur l’immigration. Situation actuelle : Aujourd’hui, un américain sur huit est né à l’étranger – la proportion la plus élevée depuis un siècle –, fruit d’une politique d’immigration généreuse mise en place en 1965 et d’une conjoncture économique et politique mondiale qui a fait des États-Unis un puissant pôle d’attraction. La moitié de ces Américains sont issus d’Amérique latine, un quart d’Asie et 13 % d’Europe. Les nouveaux immigrés représentent une multitude de régions, de cultures et de religions. Même si il n’y a que 2 mois depuis que le nouveau président Joe Biden est entré en fonction, la politique américaine d’immigration a légèrement été changée. Il y des F.M.I., Sujet B) Le coût de l'intégration des migrants contre les problèmes socio-économiques causés par le manque de l'intégration. nombreuses familles d’immigrants qui sont divisées. C’est pourquoi le président démocrate a déjà signé trois décrets sur l'immigration, dont un prévoit la mise en place d'un groupe de travail destiné à identifier et à localiser les quelque 600 enfants qui restent séparés de leurs parents. Je ne fais pas une nouvelle loi, j'élimine des mauvaises politiques", a-t-il déclaré, en paraphant ces documents dans le bureau Ovale. "La dernière administration a littéralement arraché des enfants des bras de leurs familles (...) sans plan d'aucune sorte pour les réunir" ultérieurement, a-t-il dénoncé. "L'Amérique est plus sûre, forte et prospère avec un système migratoire sain, rationnel et humain", a encore dit Joe Biden, qui a également ordonné de passer en revue tous les freins à l'immigration légale et à l'intégration posés par l'administration républicaine au cours des quatre dernières années. Joe Biden a également signé un décret sur les pays d'origine des migrants. Outre le retour d'aides économiques, celui-ci vise à rouvrir les voie légales d'immigration, notamment en améliorant l'accès aux visas pour les citoyens de pays d'Amérique centrale, et à remettre à plat le système d'asile. Le groupe de travail, piloté par le nouveau ministre de la sécurité intérieure des États-Unis, qui est il-même le fils de réfugiés cubains. Il aura pour mission de les identifier et de proposer des solutions pour réunir les familles, qui pourront passer par des autorisations de rentrer aux États-Unis pour les parents expulsés ou la délivrance de cartes de séjour pour ceux qui vivent sans papiers. Généralement, leur but, c’est l’annihilation de la politique non-tolérante du Donald Trump, c’est-à-dire la lutte pour les droits des toutes les communautés discriminées aux États-Unis, tel que : les américains natives, les musulmanes, les asiatiques, les personnes de couleur, les femmes, la communauté LGBTQ et ainsi de suite. Au cours des dernières décennies, les Etats-Unis ont enregistré la plus forte vague d'immigration de l'histoire américaine : les chiffres du recensement 2000 révèlent que sur une population totale de 281,4 millions d'Américains, 31,1 millions sont nés à l'étranger ou ont des parents nés à l'étranger, soit 11,3 millions de plus qu'en 1990 - une augmentation de 57 %. Ajouté à cela, d'innombrables personnes sont entrées sur le territoire américain par des moyens para-légaux. Aucun pays n'a encore fait face à un tel rythme d'immigration. Pays d'immigrés par excellence, les Etats-Unis ont souvent utilisé l'immigration comme un outil économique et social pour accroître la productivité ou renforcer l'intégration ethnique. Les États-Unis travaillent en collaboration avec d'autres organisations gouvernementales, internationales et privées pour fournir de la nourriture, des soins et donner refuge à des millions de réfugiés à travers le monde. De plus, les Etats-Unis envisagent la réinstallation de réfugiés sur le sol américain. Ceux qui sont admis doivent être dans une situation humanitaire spécifique et démontrer qu'ils sont persécutés ou qu'ils ont des raisons de craindre une persécution sur la base de leur race, religion, nationalité, opinion politique ou appartenance à un groupe social particulier. Le droit d'asile et le statut de réfugié sont très proches. La seule différence tient à ce que la demande de droit d'asile est faite par une personne déjà présente aux Etats-Unis, alors que la demande uploads/Geographie/ position-oficielle-sujet-b 1 .pdf
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- Publié le Aoû 17, 2021
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