La Parole parlée LES PRINCIPES DE LA GUÉRISON DIVINE The Principles Of Divine H

La Parole parlée LES PRINCIPES DE LA GUÉRISON DIVINE The Principles Of Divine Healing 23 Septembre 1951 Jeffersonville, Indiana, USA W Wi il ll li ia am m M Ma ar rr ri io on n B Br ra an nh ha am m www.branham.fr LES PRINCIPES DE LA GUÉRISON DIVINE 23 Septembre 1951 Jeffersonville, Indiana, USA 1 Je suis très content d’être ici ce soir, de voir tous mes amis assemblés ici. C’est dommage que je sois sur le point de quitter pour un petit moment, mais je suis reconnaissant pour cette occasion. J’aimerais prendre le temps maintenant pour remercier ceux qui ont parrainé cette réunion: Monsieur McDowell de l’entreprise d’électricité McDowell et monsieur McSpadden du Marché de la Sixième Rue, monsieur Morgan, et les autres qui sont... qui ont parrainé cette réunion. L’autre jour, je suis revenu à la maison, venant de Kansas City, et il y avait des pancartes dans les rues et des gens qui distribuaient des circulaires dans la–la ville, et je me suis dit: «Eh bien, ils vont avoir une réunion ici.» Je les remercie donc. Je remercie le responsable de cette école pour cette précieuse collaboration qu’il nous a accordée, et ces hommes ici. Ils nous ont permis d’avoir ce gymnase ce soir pour tenir ce service d’au revoir. Ma petite église n’est pas assez spacieuse. Je les remercie, et tous les concierges, tous ceux qui ont eu quelque chose à faire dans... avec ce service, j’aimerais vous remercier. Et il fait– il fait un peu chaud ici à l’intérieur ce soir. Nous avons reçu un accueil très chaleureux, n’est-ce pas? 2 Et si le Seigneur le veut, le matin, je quitterai pour l’arène Saint Nicolas à New York City, pour cinq soirées. Et de là, ma prochaine réunion sera en Rhodésie du Sud, en Afrique, en Afrique du Sud. De là, nous irons en Afrique du Nord; et de là, en Inde; et puis, en Palestine. Nous reviendrons à la maison, si le Bon Seigneur le veut, le premier de l’année prochaine. Je parlais au responsable de l’école il y a quelques semaines, il me disait que, quand je serai revenu, nous pourrons avoir le grand gymnase là-bas, pour une bonne réunion à un moment donné. Apprécierez-vous cela? Donnons-lui un coup de main. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci beaucoup...?... Merci. J’ai toujours voulu tenir l’une de nos réunions ici, chez nous. Il y a quelque chose chez soi, si modeste soit-il, qui fait qu’il n’y a pas de lieu semblable à ça, n’est-ce pas? La maison, c’est... J’ai toujours été plus ou moins une pierre tournante, comme on l’appelle, rôdant à travers le pays. Mais certains des moments de plus grandes réjouissances, dans ma vie, c’est quand j’entends annoncer dans l’avion: «Serrez vos ceintures, nous sommes au-dessus de Louisville.» Oh! lala! C’est–c’est alors magnifique. J’aime ça. Je pense que tout le monde aime ça, rentrer chez soi. 2 LES PRINCIPES DE LA GUÉRISON DIVINE 3 Mon oeuvre pour le Seigneur, ça a été d’évangéliser, et je suis... peut-être que ça le restera jusqu’à ce qu’Il me rappelle à la maison. Eh bien, j’aimerais demander combien parmi vous ici prieront pour moi pendant que je serai parti là où je pourrais juste entendre de vos nouvelles. Oh! Ce serait vraiment magnifique. Merci beaucoup. J’apprécie ça. On dirait qu’il m’incombe maintenant d’aller auprès des tribus, là en Afrique du Sud, aider les missionnaires et les autres là-bas. J’espère que ça sera une grande bénédiction pour plusieurs. 4 Maintenant, comme il fait très chaud ici à l’intérieur, je tâcherai de ne pas vous parler très longtemps. J’aimerais juste parler un peu sur le sujet de la guérison divine. Et ensuite, nous allons former une–une ligne de prière ce soir et prier pour quelques malades. Je n’ai eu qu’un seul service de guérison: c’était là au tabernacle il y a environ deux ans, et c’était vraiment dommage, les gens étaient debout sous la pluie et tout. Alors, ces hommes d’affaires de la ville ont dit qu’ils s’arrangeraient pour avoir l’auditorium, si je pouvais venir ici. Voyez? Je leur ai donc dit que je serais content de faire cela. Et nous sommes maintenant désolé, je vois qu’il y en a debout dans les couloirs de part et d’autre dans les rues, alors que nous–nous pensions peut-être que... peut-être qu’il n’y en aurait pas beaucoup qui viendraient; que ce petit gymnase ferait l’affaire. Mais la prochaine fois, nous aurons le grand là de l’autre côté. Et j’aimerais vraiment, quand je serai revenu, peut-être avoir cinq ou six soirées ici, dans la ville, pour une campagne, et puis... [L’assemblée applaudit.– N.D.E.] Merci. Merci beaucoup...?... Cela me réjouit beaucoup d’être à la maison et de voir les gens vous applaudir; ils assistent à nos réunions. 5 Et à maintes reprises, il y a quelques années, je parcourais la rue ici, quand j’étais un petit garçon, je–je n’avais jamais pensé que j’aurais l’occasion de voyager pour notre Seigneur. Mais Il a tellement béni les réunions que, eh bien, nous sommes donc allé dans le monde, c’est international. Et ceci est mon deuxième voyage outre-mer, et je–j’espère que ça va... cette fois-ci, ça va être plus que l’autre. La dernière fois que nous étions en Finlande, en Suède, en Angleterre, dans tous les pays scandinaves, jusqu’en France, en Belgique, en Ecosse, en Irlande, il y avait littéralement des centaines, et des centaines et des milliers de gens qui avaient assisté aux réunions. Parfois, on atteignait quarante mille à la fois, dans un seul rassemblement. Et il s’est accompli beaucoup de guérisons et autres, tellement nombreux qu’on ne peut pratiquement pas en parler. 6 Maintenant, je pensais juste avant de quitter... J’étais à Houston, au Texas, en train de tenir une–une série de réunions là-bas, quand le... on m’a téléphoné pour aller en Afrique du Sud, prendre l’avion vers là, et visiter une demoiselle, Florence Nightingale. Elle est une–une arrière-petite-fille de feue Florence Nightingale, la fondatrice de la Croix Rouge. Beaucoup parmi vous connaissent 23 Septembre 1951 à Jeffersonville, Indiana, USA 3 Florence Nightingale. Et celle-ci est l’une de ses arrière-petites-filles. C’est une femme célèbre en Afrique du Sud. Elle souffrait d’un cancer. Et le cancer était dans l’estomac, et rien ne pouvait être fait; ça s’était trop emparé d’elle avant qu’elle ne s’en rende compte. Un cancer est plus ou moins séduisant, elle l’a simplement découvert. Elle ne voulait pas manger beaucoup, elle restait simplement là, s’enfermant. Et quand on l’a opérée, c’était impossible de réaliser l’intervention chirurgicale. On l’a simplement renvoyée, soit pour mourir, et on a refermé la–la bouche de l’estomac jusqu’à ce qu’elle... ou plutôt l’entrée, là où l’estomac se vide dans la voie intestinale. Ils ont refermé là-bas au point qu’elle ne pouvait plus du tout manger. On la nourrissait de glucose de diverses manières, par ses veines jusqu’à ce qu’on ne pouvait plus la nourrir. Et puis, on a tout simplement eu à attendre que la mort vienne. 7 Elle m’a envoyé une photo, et c’est l’une des vues les plus horribles que j’aie jamais vues d’un être humain. Je me suis dit, des fois, en regardant cela, qu’elle était plus mince que–que la petite Georgie Carter. Elle est probablement ici ce soir. Elle pesait trente-cinq livres [15,8 kg] quand elle fut guérie. Elle était invalide, alitée pendant neuf ans et huit mois. Elle n’avait pas bougé de son dos pendant neuf ans et huit mois: un cas de tuberculose. Et quand, par une vision, je suis allé vers les gens... Elle habitait Milltown, dans l’Indiana, je suis allé là et j’ai prié pour elle, et notre Seigneur l’a guérie. Et depuis lors, elle n’a plus jamais été alitée pour quoi que ce soit, sauf juste aller au lit pour dormir la nuit. Elle est parfaitement normale, rétablie, elle joue le piano dans l’église baptiste de Milltown, en ce moment-ci. Je me demande si Georgie est dans la salle ce soir, elle peut témoigner ou simplement se lever. Levez simplement la main, mademoiselle Carter, si vous êtes ici. Généralement, elle est près. Je pense qu’elle n’est pas à l’intérieur. Oh! La voici, oui. Disons: «Gloire au Seigneur», de ce côté-ci, juste avec nos mains comme ceci. C’est bien. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Neuf ans et huit mois sans se relever du lit; elle pesait pratiquement trente-cinq livres [15,8 kg]. 8 Et il y avait une dame ici, j’oublie son nom maintenant. Je pense que c’est Weaver. Elle était une patiente de certains célèbres chirurgiens d’ici au pays. Et m’entendez-vous là dans l’assistance? Je pense que le microphone s’est éteint quelque part. Très bien. Maintenant, ça va mieux. Je peux entendre le... Peut-être que j’ai marché sur quelque chose ici. Très bien. Alors, cette dame Weaver était simplement des os. Son médecin lui avait donnée jusque le lendemain pour vivre. Elle était si mince qu’elle n’arrivait pas, à peine, à lever sa main pour que je la serre. Pendant qu’on priait pour elle, le Saint- Esprit a parlé et lui a dit uploads/Geographie/ shp51-0923.pdf

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