Reste 24PC à répartir ATTRIBUTS 220PC PRIMAIRES (180PC) (10)Force 2 (20)Agilité

Reste 24PC à répartir ATTRIBUTS 220PC PRIMAIRES (180PC) (10)Force 2 (20)Agilité 3 (20)Constitution 2 (30)Logique 4 (40)Intuition 5 (40)Charisme 5 (20)Volonté 4 SECONDAIRES (40PC) +1(10) Chance 3 (50) Magie 5 Réaction 8 Passes d’Initiative 1 COMPETENCES (120PC) Actives (40) Influence (GC) 4 [7*+5=12dés] (10) Filature (suivre) 2 (+2) (14) Intimidation (interrogation) 3 (+2) [8*+5=13dés] (18) Perception (visuelle) 4(+2) [9**+5=14dés] (12) Esquive 3 (8) Recherche de données 2 (6) Combat mains nues (arts martiaux) 1(+2) (6) Infiltration (urbaine) 1(+2) (6) Pistolets (semi automatiques) 1(+2) (6) véhicules terrestres (à roues) 1(+2) Langues et connaissances : (27PC) Anglais M Espagnol 1 Haitien 1 Italien 1 Dealers de Miami 3 Gangs de Miami 3 Organisations mafieuses 3 Réseaux de prostitutions de Miami 3 Procédures de police 3 Droit 1 Criminologie (Psychologie) 2(+2) Connaissance de Miami 3 Politique de Miami 2 360PC Reste 40PC Qualités (+25PC) : Défauts (+35PC) - Immunodéficience (5PC) - Allergie (eau de mer, légère) (10PC) - Système neural sensible (5PC) - Système sensible (15PC) Avantages (-10PC) : Adepte (5PC) Drake (5PC) 45+30= 75PC -51PC de contacts = reste 8PC Pouvoirs d’adepte : Subsistance (0.25) Multitâche (0.5) Analytique 3 (0.75) Contrôle corporel 3 (1,5) Froide détermination 2 (0.5) Perception accrue 3 (0.75) Sens à mémoire eidétique (0.5) Linguistique (0.25) CONTACTS (51PC) (Loyauté/Influence) - Lieutenant ambitieux de la Mafia (drogues) (3/4) - Petit Cadre Corporatiste véreux (3/4) - Adjointe du maire (5/4) - Détective de police (5/4) - Avocate sans scrupule (2/2) - Indic (2/1) - Journaliste indépendant (2/3) - Patron de club dirigeant un réseau de prostitution (3/3) Background et personnalité: «Don't you see me down here prayin'? But the Lord said, go to the devil. The Lord said, go to the devil. He said, go to the devil. All on that day. So I ran to the devil, he was waitin’. I ran to the devil, he was waitin'. Ran to the devil, he was waitin'. All on that day. I cried – POWER ! » (Sinnerman) Pseudo: Sinnerman Nom: Hank (Gregory Victor) McBain. Sexe : M Métatype : H Nationalité : Ligue des caraïbes. Lieu de naissance : Miami. Age: 24ans. Taille : 1,80m Poids : 70kgs Yeux : Bleus. Cheveux : châtains clairs. Apparence : Cf photo. Défauts : Désabusé, sarcastique, auto-destructeur, aspire à une paix qu’il est incapable de trouver et qu’il ne désire plus vraiment, misanthrope, légèrement narcissique, arrogant, séducteur, accroc au sexe (hétéro), cynique, anti-conformiste, asocial, excentrique, irascible, borné, corrompu, brutal, égoïste, considère que dans la plupart des cas la fin justifie les moyens, vaguement paranoïaque, insomniaque, perdra son sang-froid et sa retenue de gars brutal et sanguinaire si on touche à sa famille ou ses proches. Qualités : relativement brillant, père et ami dévoué (fera tout pour ses vrais proches), intuitif, imaginatif, déterminé. Passions : vieilles musiques (jazz, latin jazz, rock et latin rock), séries de flics (ripoux pour sa préférée), blagues cyniques ou gore ou cochonnes, SoySeed (graines de soja grillées), films et BTL’s pornographiques. Aime : Déteste : Particulier : sa sœur disparait lorsqu’il a 8ans, c’est lui qui la retrouve morte, violée et dépecée, les morceaux réunis dans une sculpture abstraite macabre. Le tueur n’a jamais été retrouvé. Mon paternel disait toujours : « la vie c’est comme une boîte de chocolat périmée : tu sais jamais si tu vas tomber sur un truc dégueulasse ou sur quelque chose de pire ». Je sais pas trop pourquoi j’vous raconte ça, vu que mon padre est crevé et que je peux pas dire que j’l’ai particulièrement kiffé. Mais il avait raison là-dessus. Cette vie a vraiment un goût de merde, et quand on se dit que ça peut pas être pire, cette chienne nous montre que c’est possible. J’ai joué. J’ai perdu. Mais la partie est pas terminée, croyez-moi. Avant j’étais flic. Enfin, ce qu’on peut rapprocher le plus d’un flic à notre époque. Mais on va pas démarrer là, parce que sinon vous allez rien comprendre au film. Donc commençons par le commencement. Avant tout ça, j’étais…Un gamin ordinaire. L’enfance : Riviera sans retour Né le 13/02/2044 à Miami, Ligue des caraïbes, fils de Matthew et Solange McBain. Voilà pour le portrait-robot. Enfin, ça c’est l’histoire pour les gosses, on reparlera de la vérité plus tard. J’avais aussi une grande sœur, Marina. Mon père était un ex-flic du MPD, un vrai de vrai, reconverti en branleur à la petite semaine dans des sociétés de sécu privées. Ma mère travaillait en freelance dans la décoration d’intérieur depuis la « retraite » du paternel, sans vraiment réussir à se faire une place. Bref, on roulait clairement pas sur les nuyens dans le quartier de Coral Way, dans ce qu’on surnomme The Gables. Petite bicoque de retraite minable en bordure de la riviera qui coulait jusqu’à l’Océan. Vue l’époque et vu la suite, presque un rêve. J’me souviens qu’on jouait à « pas les couilles de traverser jusqu’à l’autre berge » avec ma frangine. L’ado blonde à couette la plus chiante et adorable du monde. Un jour, j’avais 10ans tout juste, je l’ai pas retrouvée de l’autre côté. Elle avait disparu. Mon père a secoué la ville, mais rien n’est tombé. Elle avait juste disparu, comme ça. J’crois bien en avoir gardé le silence pendant le mois suivant, entre crise de larmes de gosse et enfermement dans la chambre. J’aurais dû mieux la surveiller. Mes parents me l’ont jamais vraiment pardonné, et moi non plus. Un mois plus tard, c’est moi qui l’ai retrouvée, au bord de la même berge. Enfin, ce qu’il restait d’elle, mis en scène par un tordu qui devait croire que c’était de l’Art de faire une sculpture abstraite de chair avec une gosse de 15ans. Les légistes avaient pas vu ça depuis l’affaire du tueur au camion de glace, et ils soupçonnaient un éveillé. Mais on est toujours pas arrivés à mettre la main sur cet enculé. J’ai vomi, j’ai pleuré, j’ai même supplié Dieu. Mais rien. Juste le silence, l’absence et le rejet de mes parents. Ce jour-là, j’ai foutu à la porte le peu de Foi Catho que mon père avait essayé de m’inculquer. Dieu est un pauvre connard d’enfoiré de sadique. Impossible que je vénère un fils de pute pareil. Ensuite ça a été le deuxième effet tueur en série : j’ai commencé à traîner dans le quartier et faire de la merde. Mon père à déprimer et à boire même au boulot. Ma mère à se shooter et noyer sa peine dans des trucs mystiques inutiles. Bref, c’est parti en couille total. Jusqu’au moment où ça a explosé. Le côté du crâne de mon père quand il s’est tiré une balle, pour être précis. Manque de pot, j’suis arrivé au mauvais moment. Je me rappelle que le présentateur criait à cause du touchdown de Jones. Victoire des Dolphins ce jour-là. Et moi je regardais mon père tomber, des bouts d’os et de cervelle dans la bouche en plein milieu du salon. Ma mère qui criait comme une damnée. J’avais 12ans, on était en 2056. L’adolescence : Vice City I said, Rock, what's a matter with you rock? Don't you see I need you, rock? On vous dira que Miami c’est la plage, les filles et le soleil. Le premier crétin qui refait un commentaire du genre, je lui colle une balle dans la tête, bordel. Miami c’est LA Cité du Vice. Tu cherches quelque chose d’illégal, tu le trouveras ici. Après la mort de mon père, les anciens flics de Gables et les « amis » de mon paternel ont pris soin de moi et ma mère. J’ai été élevé à moitié par d’anciens du MPD, et l’autre par les relations criminelles d’un flic ripou. Oui, c’est bien de mon père que je parle. Faut dire, c’était pas vraiment un ange, Matthew Senior. Mais en plus d’être un flic véreux et un père de merde, ce con avait pas su garder ses billes, c’est pour ça qu’on était resté pauvres. Donc pour faire un gros doigt à ce père flic j’ai pris un chemin un peu différent, en rejoignant la racaille de Gables. Comme je suis plutôt beau gosse et que j’ai toujours eut pas mal de bagout, on m’envoyait sur les deals de dope, les rackets discrets, la tournée des proxos, etc. Et je dois dire que j’étais plutôt doué pour toute cette merde. Je me suis payé tellement de filles que j’ai du mal à les revoir toutes, surtout que la moitié du temps j’étais camé. Au bout d’un moment j’suis devenu un relais pour la mafia du coin : je connaissais du monde par les relations de mon père, et du monde commençait à me connaître pour mes talents à trouver ce qu’il faut à qui il faut. Je gagnais du fric qui me permettait de payer les interventions de chirurgie esthétiques et les « folies » d’une mère devenue complètement frappée, dont la seule obsession était que moi j’aille voir un psy. Et dans son état, elle a fini - pour vaincre uploads/Geographie/ enqueteur-face.pdf

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