1- Algèbre de BOOLE la table de vérité suivante : 0 0 0 0 1 1 1 1 1 1 0 1 1 0 0

1- Algèbre de BOOLE la table de vérité suivante : 0 0 0 0 1 1 1 1 1 1 0 1 1 0 0 1 1 0 1 0 1 0 1 0 0 1 0 1 1 0 1 1 1 1 0 0 0 0 0 0 Théorème de DE MORGAN Désignation Symbole Exemple de composant Table de vérité Chronogramme XOR 2– LE TABLEAU DE KARNAUGH : Exemple : simplifier une fonction R à l’aide du tableau de KARNAUGH : 614283695.doc 1/4 1ere N.S.I Architecture Machine – Algèbre de BOOLE SYNTHESE : Architecture Machine Règles de transformation d’un tableau de KARNAUGH en équation :  Les groupements rassemblent un nombre de cases de 2n  L’équation sera d’autant plus condensée que les groupements seront gros  Les groupements peuvent être opérés par les bords ( Gauche Droite ou Haut  Bas ) 3- Modèle d'architecture de Von Neumann les ordinateurs utilisent différents types de circuits à base de circuit à base de transistors: - combinatoires (les états en sortie dépendent uniquement des états en entrées - séquentiels (les états en sortie dépendent des états en entrée ainsi que du temps et des états antérieurs) 3 grands types de bus entre le CPU et la mémoire : - Le bus d’adresse permet de faire circuler des adresses (par exemple l’adresse d’une donnée à aller chercher en mémoire) - Le bus de données permet de faire circuler des données - Le bus de contrôle permet de spécifier le type d’action (exemples : écriture d’une donnée en mémoire, lecture d’une donnée en mémoire). l’unité arithmétique et logique (UAL ou ALU en anglais): son rôle est d’effectuer les opérations de base. L’unité de contrôle CU, chargée du « séquençage » des opérations, avec 4 registres. la mémoire qui contient à la fois les données et le programme qui indiquera à l’unité de contrôle quels sont les calculs à faire sur ces données. Mémoire volatile RAM (programmes et données en cours de fonctionnement) et mémoire permanente ROM (programmes et données de base de la machine). Remarque : mémoire 32bis, 2 exposants 32, soit 4 Giga Les dispositifs d’entrée-sortie E/S, qui permettent de communiquer avec le monde extérieur. Remarque L’UAL et l’CU sont regroupées entre elles dans le processeur et communique avec la mémoire et les E/S par des bus. Chaque instruction machine est traitée opération après à chaque cycle horloge du processeur. Exemple processeur 2.4GHz soit 2 400 000 000 cycles d’horloge par seconde. UAL A B F D R A et B sont les opérandes (les entrées) R est le résultat F est une fonction binaire (l’opération à réaliser) D est un drapeau indiquant un résultat secondaire de la fonction (signe, erreur, division par zéro…..) CU qui donne les ordres à toutes les autres parties. CO compteur ordinal, adresse de la prochaine instruction à exécuter. RI registre d’instruction, contient instruction en cours d’exécution. AC accumulateur chargé de stocker les opérandes intermédiaires. 614283695.doc 2/4 Unité de Contrôle ou Unité de Calcul CC code condition, utilisée pour les instructions de ruptures conditionnelles (saut) 4- Historique : - 1801 : Nous devons la première programmation binaire (carton/trou) à Joseph-Marie Jacquard. Il s’agissait d’un procédé industriel visant à accroître la productivité des métiers à tisser. -1936, Alan Turing infirme la théorie de Kurt Gödel et démontre qu’on ne peut pas tout calculer de manière automatique. Il imagine pour sa démonstration un outil qui inspire encore le fonctionnement de nos ordinateurs. Une machine universelle qui manipule des informations – des lettres ou des chiffres – suivant des règles définies dans une table. - 1945 John von Neumann en supervisa la construction de la fin de 1945 jusqu’en 1951 au sein de l’Institut for Advanced Study. Julian Bigelow fut l’ingénieur chargé de construire cette machine destinée à un usage balistique. Les ingénieurs n’étaient pas des physiciens théoriciens, ils travaillaient au fer à souder et ce sont des femmes qui assuraient le plus gros de la programmation. La machine de von Neumann n’a jamais été brevetée contrairement à l’ENIAC qui a servi au même usage balistique. Alors que l’ENIAC (1945-*tube à vide) faisait ses calculs en système décimal, la machine de von Neumann utilisait le système binaire. Tous les ordinateurs qui suivront seront calqués sur cette machine. -1962 Le mot informatique a été créé par Philippe Dreyfus. - 1980 L’interface Homme-Machine : Le domaine émerge aux USA avec la démocratisation de l’informatique et dans les années 1990 en France grâce à des chercheurs comme Joëlle Coutaz. L’évolution des langages de programmation Vis-à-vis des générations d’ordinateurs, il est possible de mettre en parallèle des types de logiciels. Ainsi à la première génération d’ordinateurs correspond le codage machine direct en binaire ; à la deuxième, le langage assembleur ; à la troisième, les langages évolués (Fortran, Cobo l , Simula, APL, etc.) ; à la quatrième, les langages évolués de deuxième génération comme Pascal et C++, dit “structurés”, ainsi que des langages “Objets “ et des langages d’interrogation de très haut niveau comme SQL. Un projet de cinquième génération japonais avait été lancé par le MITI au tout début des années 1980 et devait être articulé autour des moteurs d’inférence et du langage Prolog, mais en dépit de budgets importants, le projet n’a jamais abouti. 5- Logiciel libre https://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libre Sauter à la navigation Sauter à la recherche Ne doit pas être confondu avec freeware, open source ou copyleft. Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement, et légalement1, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus2. Ces droits peuvent être simplement disponibles — cas du domaine public — ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs »Note 1. Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l'instrument d'un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l'utilisateur3. 614283695.doc 3/4 Le logiciel libre est souvent confondu à tortNote 2 avec :  les gratuiciels ( freewares ) : un gratuiciel est un logiciel gratuit propriétaire, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Si la nature du logiciel libre facilite et encourage son partage, ce qui tend à le rendre gratuit, elle ne s'oppose pas pour autant à sa rentabilité principalement via des services associés. Les rémunérations sont liées par exemple aux travaux de création, de développement, de mise à disposition et de soutien technique. D'un autre côté les logiciels gratuits ne sont pas nécessairement libres, car leur code source n'est pas systématiquement accessible, et leur licence peut ne pas correspondre à la définition du logiciel libre.  l’open source : le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social4 qui repose sur les principes de Liberté, Égalité, Fraternité 5 ; l’open source quant à lui, décrit pour la première fois dans La Cathédrale et le Bazar, s'attache aux avantages d'une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source. Logiciel propriétaire Sauter à la navigation Sauter à la recherche Un logiciel propriétaire1, logiciel non libre ou parfois logiciel privatif voire logiciel privateur, désigne un logiciel qui ne permet pas légalement ou techniquement, ou par quelque autre moyen que ce soit, d'exercer simultanément les quatre libertés logicielles que sont l'exécution du logiciel pour tout type d'utilisation, l'étude de son code source (et donc l'accès à ce code source), la distribution de copies, ainsi que la modification et donc l'amélioration du code source. Shell Unix Commandes classiques • man documentation de commande • cp copie de fichier • cat fichier – affiche le contenu de fichier • ls – liste des fichiers du répertoire courant • pwd – affiche le répertoire courant • cd chemin – change le répertoire courant • mkdir chemin – crée un répertoire • rmdir chemin – efface un répertoire vide • rm fichier – efface fichier • mv fichier répertoire – déplace fichier dans répertoire • chmod [ugoa][+-][rwx] fichier – change les droits d’accès à fichier • ps – affiche les processus • kill PID – envoie un signal au processus PID • sort fichier – affiche fichier trié • uniq fichier – affiche fichier en supprimant les lignes successives égales • head fichier – affiche les premières lignes de fichier • tail fichier – affiche les dernières lignes de fichier • echo – affiche un message dans la console • chmod 753 fichier – modification des droit sur un fichier ou dossier rwx (propriétaire, groupe, autre) • chmod [ugoa][+-][rwx] fichier – change les droits d’accès à fichier A retenir un système d’exploitation est un programme ou ensemble de programmes qui organisent l’accès aux ressources d’une uploads/Industriel/ 1-synthese-sequence-1a-architecture.pdf

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