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pétrochimie, raffinage et GAZ chimie, Découvrez des métiers énergisants! Découvrez des métiers énergisants! Voici les limites de votre potentiel Notre source d’énergie la plus prometteuse, c’est vous! Chez Gaz Métro, vous pourriez être : technicien – acquisition ou exploitation, technicien de projets, soudeur, tuyauteur-installateur, ingénieur, technicien en instrumentation ou encore, relever bien d’autres défis stimulants. CRÉONS ENSEMBLE LA VIE EN MIEUX > gazmetro.com/emplois 3 Chimie, pétrochimie, raffinage et gaz Pétrochimie, raffinage et gaz Technicien en laboratoire La beauté en éprouvettes Chimiste Au royaume de la chimie les amateurs de casse-tête sont les bienvenus! Spécialiste en réglementation, environnement et santé-­ sécurité La chimie en toute sécurité 8 Dossier Un secteur en pleine croissance 6 12 16 Dossier De la pétrochimie à la chimie « verte » Mécanicien industriel Une passion bien huilée 24 22 Mécanicien de machines fixes La vigie de la raffinerie 27 Technicien en procédés chimiques Le gardien de la production 30 Ingénieur chimiste Quand la chime devient génie 34 Carnet d’adresses Établissements d’enseignement 38 Chimie L’INDUSTRIE DE LA CHIMIE, DE LA PÉTROCHIMIE DU RAFFINAGE ET DU GAZ JOUE UN RÔLE ESSENTIEL SUR LA QUALITÉ DE VIE ! DES CARRIÈRES ENRICHISSANTES AU CŒUR DU QUOTIDIEN DES GENS ET À LA FINE POINTE DES INNOVATIONS TECHNOLOGIQUES www.coefScience.ca Chimiste Ingénieur Hygiéniste industriel Technicien en procédés chimiques Technicien en laboratoire Technicien en environnement Technicien en instrumentation Technicien en exploitation Technicien en acquisition Technicien en gestion de projets Représentant des ventes et des achats Soudeur Chaudronnier Tuyauteur industriel Mécanicien de machines fxes UN MONDE DE TRANSFORMATIONS, DE PASSIONS ET D’INNOVATIONS p g p 5 Chimie, pétrochimie, raffinage et gaz CHIMIE La science au service du quotidien Dossier Un secteur en pleine croissance Spécialiste en réglementation, environnement et santé-­ sécurité La chimie en toute sécurité Technicien en laboratoire La beauté en éprouvettes 8 6 Chimiste Au royaume de la chimie les amateurs de casse-tête sont les bienvenus! 12 16 6 Chimie, pétrochimie, raffinage et gaz par Julie Laflamme DOSSIER : La chimie pleine croissance Un secteur en En 2009, l’industrie chimique québécoise comptait presque 14 000 travailleurs répartis dans 540 établissements, une hausse de plus de 50 % en cinq ans. Cette industrie touche une quarantaine de sous-secteurs très diver­ sifiés, parmi lesquels on retrouve les produits de nettoyage, la peinture, les engrais, les cosmé­ tiques, les solvants et les produits de ­ toilette, pour ne nommer que ceux-ci. Une industrie en mutation Depuis plusieurs années, l’industrie chimique subit des pressions constantes pour que ses pratiques respectent toujours davantage l’environnement. La tendance est d’être écologique et de produire le moins possible de déchets, tout en fabri­ quant des produits aussi efficaces. Cela représente un défi pour plusieurs, mais « c’est l’argument de vente numéro un », souligne Mme Caroline Piché, directrice ­ générale de l’Association pour le Déve­ loppement et l’Innovation en Chimie au Québec (ADICQ). Les entreprises n’ont pas le choix d’emboîter le pas pour rester compétitives, car les consommateurs sont de plus en plus nombreux à rechercher des produits écoresponsables, qu’on pense par exemple aux nettoyeurs éco­ logiques ou aux savons à lessive bio­ dégradables. Il y a également le concept de maison verte, un type d’habitation construite avec des matériaux écologiques (vernis, revêtements de plancher, pein­ tures, ­ isolants, etc.) et qui peut utiliser des ­ panneaux solaires pour produire de la ­ chaleur et de l’électricité. L’industrie se préoccupe non seulement de faire en sorte que la production de bien se fasse de ma­ nière plus respectueuse de l’environnement, mais d’autres types d’entreprises, qui étaient inexis­ tantes ou peu développées avant les années 2000, vont également en ce sens. Ainsi, certaines techno­ logies comme la captation du dioxyde de carbone (CO2), un gaz à effet de serre en partie responsable du réchauffement climatique, reçoivent une ­ attention particulière. Une fois capté, ce composé est transformé en carbonate (CO3), un sel qui non ­ seu­ lement n’est pas dommageable pour l’envi­ ­ ron­ nement, mais qui peut être recyclé dans divers ­ produits comme le ciment ou la céramique. Les déchets : une mine d’or Comme les normes environnementales se res­ serrent pour les entreprises de ce secteur, les pro­ cédés de fabrication s’adaptent en conséquence : on met plus d’emphase sur la réutilisation, le recy­ clage et la diminution de l’impact sur l’environne­ ment. Ciment Québec Inc., une entreprise située à Saint-Basile, donne une seconde vie à certains déchets industriels, comme l’explique Mme Piché : « Ciment Québec établit des contacts avec des entreprises ayant des déchets organiques dont ils veulent se défaire. Eux les brûlent, car ils ont besoin de carburant pour faire le ciment, il faut qu’ils chauffent des chaudières. Les résidus de cette ­ combustion deviennent une poudre qui est utilisée dans la fabrication de leur ciment. Ils recyclent tout. Ils produisent de l’énergie avec la matière organique et ils en utilisent les cendres pour les mettre dans leur ciment. » Du côté des nouvelles sources d’énergie, la bio­ masse représente un sous-secteur de l’industrie chimique en pleine croissance. On appelle bio­ masse l’ensemble des matières organiques d’ori­ gine végétale ou animale pouvant devenir source d’énergie lorsqu’elles sont brûlées ou après de nouvelles transformations chimiques. L’énergie tirée de la biomasse fait partie de ce qu’on appelle les énergies renouvelables (contrairement au pé­ trole); ce type d’énergie présente de nombreux avantages écologiques. Le recyclage des huiles usées pour en faire du biodiesel, un procédé amé­ lioré par la compagnie québécoise Oleotek, en est un bel exemple. Dans le domaine de l’agriculture, il y a un regain d’intérêt depuis une vingtaine d’années pour la valorisation de détritus possédant des propriétés fertilisantes. Ainsi, les poussières de cimenterie, les cendres de bois industrielles et les composts urbains font maintenant partie d’une nouvelle gamme d’engrais non conventionnels. Les boues d’épu­ ra­ tion provenant du traitement des eaux usées muni­ cipales et industrielles en sont d’autres ­ exemples. « Certaines entreprises sont en train de développer des engrais de très grande qualité à partir ­ d’effluents industriels chargés d’azote, de phos­ phore et de carbone », mentionne Mme Piché. Des métiers connexes Les entreprises du domaine de l’industrie chimique n’emploient pas seulement des chimistes ou des techniciens de laboratoire. Lorsqu’on fabrique un produit, on a besoin de toute une équipe, que ses membres aient une formation professionnelle, ­ collégiale ou universitaire. Les employés de la pro­ duction représentent une partie très importante des travailleurs de cette industrie. Parmi eux, on retrouve entre autres des mélangeurs, des pré­ posés à la fabrication et à l’emballage et des super­ viseurs. Ces derniers gardent un œil attentif à la création du produit, comme dans les salles de mélanges, par exemple, pour que le produit final soit bien celui attendu. Certains produits sont le résultat d’une chaîne de réactions chimiques : le produit A doit être trans­ formé en produit B, et ainsi de suite. Chaque étape doit donc être bien contrôlée. « Quand on contrôle les procédés, explique Mme Piché, on s’assure que le débit à l’entrée soit à peu près le même à la ­ sortie pour qu’il n’y ait pas d’accumulation quelque part. » C’est là qu’intervient le spécialiste en auto­ matisation. Ce spécialiste s’occupe de programmer les automates (machines) et s’assure qu’ils fonc­ tionnent correctement. Pour promouvoir le produit final auprès des consommateurs ou d’autres entreprises, on a éga­ lement besoin de vendeurs (représentants et di­ recteurs du développement), comme le spécifie Mme Piché : « On peut avoir le meilleur produit, si on n’a pas quelqu’un pour faire du développement de marché et pour vendre ce produit, on ne va pas loin. C’est super important dans une entreprise. » Il n’existe pas de formation particulière pour la vente de produits chimiques, mais il est toutefois possible de se former en gestion, administration ou tech­ niques de vente pour développer les compétences nécessaires. Les travailleurs œuvrant dans les industries chimiques doivent parfois manipuler des matières dangereuses. Le rôle de l’hygiéniste industriel est de minimiser les risques d’accidents. Il doit donc faire beaucoup de prévention. Vérifier la qualité de l’air, s’assurer que les méthodes de travail sont sécuritaires, bâtir des programmes de contrôle des facteurs de risque, voilà un aperçu du quotidien de ce professionnel de la santé et de la sécurité des employés. L’avenir en matière d’emploi « Il y a aujourd’hui des gens payés à temps plein pour penser à ce qu’on va faire avec les déchets », dit Mme Piché. C’est dire que les exigences environnementales favorisent la création de nou­ veaux emplois. Si on se pré­ occupe plus que jamais de ­ trou­ ver des débouchés pour les matières résiduelles, on réfléchit désormais aux conséquences environnementales (comporte­ ment dans la nature, impact de l’emballage, etc.) avant même de développer un produit. C’est ce qu’on appelle l’écoconcep­ tion. Il ne manque donc pas de nouvelles opportunités de car­ rières dans l’industrie chimique. 7 Chimie, pétrochimie, raffinage et gaz Que fait-il? Des expériences, des essais et des analyses chimiques, qu’il prépare et réalise seul ou à titre de collaborateur. Le traitement et uploads/Industriel/ petrochimie-raffinage-et-gaz-chimie 1 .pdf

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