Ryad Bouladjeraf Commentaire linéaire de La Princesse de Clèves 1G6 Cet extrait

Ryad Bouladjeraf Commentaire linéaire de La Princesse de Clèves 1G6 Cet extrait de texte est tiré de La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, il s’agit de l’incipit de l’histoire soit le début de l’histoire. Cet extrait choisi consitue le moment où la princesse de Clèves y fait son apparition. Ce roman constitue le 1er roman moderne. Avant d’écrire ce roman,mme de La Fayette était considérer comme faisant partie du mouvement des précieux qui cherche à utiliser les mots les plus raffinés,mettre des actions invraisemblables avec de nombreux rebondissement, en faisant un livre d’environ 200 pages contrairement aux livres précieux qui font plus ou moins 3000 pages de plus,Mme de La Fayette construit un roman moderne,cet ouvrage respecte les contraintes du classicisme ce qui fait de ce livre un ouvrage à la fois moderne et classique mais on pourra se demander en quoi cet ouvrage à la fois classique et moderne pour son époque peut-il apporte une certaine éducation morale aux jeunes filles du 17éme siécle ? Et en quoi peut-on considérer la princesse de cléves comme une personnes exeptionnnel ? Afin de répondre à cette problématique ,nous allons développer une 1ere sur l’apparition de la protagoniste puis nous verrons dans une 2nde partie que la princesse est une personne de haute lignée aux qualités morales fascinants ensuite nous allons voir dans une 3eme partie l’éducation stricte reçue par la princesse de cléves afin nous verrons dans 4emes partie que cet extrait nous montre le portrait d’une héroine idéalisé. l’apparition (l.1-4) L’arrivée de la princesse de Chartres est présenté comme un évènement assez exceptionnelle «il parut alors une beauté à la cour»(l.1) qui est marqué par un jeu de regard,elle n’attire pas que des personnes définies mais elle attire tout le monde «qui attira les yeux de tout le monde» (l.1-2) elle s’agit aussi d’une formule hyperbolique.On peut aussi observer une autre formule hyperbolique «une beauté parfaite» (l.2).Ces formules hyperboliques sont typiques du registre épidictique.La métonymie «une beauté» (l.2) souligne la perfection physique de la princesse,ainsi elle surpasse toute les autres «les belles personnes» (l.4) que la cour était habituée à voir. Une princesse de haute lignée avec des qualités morales éxceptionnelles (l.4-9) D’emblée,il est dit que la princesse était de «la même maison que la vidame de Chartres» (l.4-5) ce qui souligne la renomé et la noblesse de la princesse. De plus,elle est présentée comme «une des plus grandes héritière de France» (l.5) cette citation insiste sur le préstige de la princesse et sa position sociale.Ensuite,on s’attache à l’éducation reçus de la part de la mère de la princesse:Mma de Chartres.Ainsi,on apprend que «son père était mort jeune» (l.5-6) on apprend aussi que Mme de Chartres était une personne «dont le biens,la vertue,et le mérite étaient éxtraodinaires» (l.7), elle «avait passée plusieurs années sans revenir à la cour» (l.8-9). Une éducation stricte (l.9-26) La princesse a reçu une éducation stricte lui servant à «cultivé son esprit et sa beauté» (l.10-11).De plus, Mme de Chartres chercha «à lui donné de la vertu et à rendre aimâble» (l.11-12) la mère chercha à sensibilisé sa fille contre «des galenteries» (l.13)elle l’a mettait en garde contre «les peintures de l’amour» (l.15).Sa mére considérait l’amour comme «dangereux» (l.17) ensuite on fait face à une énumération «elle lui contait le peu de sincérité,leurs tromperies et leurs infidélités» (l.18) qui insiste sur les «les malheurs domestiques» (l.19) de la passion amoureuse hors mariage alors que la vertue y était vue comme «la tranquillité» (l.20) et elle montrait combien la vertue donnait de «l’éclat» (l.21) et de «l’élévation» (l.21) on observe une opposition entre l’amour et la vertue qui sont pour Mme de Chartres deux choses incompatibles.Cependant,Mme de Chartres fait part à sa fille la difficulté de conservé la vertue « elle lui faisait voir aussi combien il était difficile de conserver cette vertue» (l.22-23) et enfin,elle considère que cette vertue fait «le bonheur» (l.25) d’une femme et qu’il s’agit «d’aimer son mari et d’en être aimée». Une héroïne idéalisée (l.27-37) Il est dit que la princesse était «alors un des grand partie de France» (l.27) et qu’elle est très jeune «extrème jeunesse»(l.28) et que malgrès cela de nombreuses propositions de «mariage» (l.29).Ensuite,la vidame de Chartres allat à la rencontre de la princesse de Chartres qui à déjà été mentionnée précédement dans le texte.C’est ainsi que l’on peut voir la description physique à travers la vidame de Chartres même cela reste abstrait,sa description physique se distingue par sa perfection que les hyperboles soulignent «elle voulut la mener à la cour» (l.31), «la vidame allat devant elle»(l.32), «il fut surprit par la grande beauté de mademoiselle de Chartres»(l.33), «la blancheur de son teint et de ses cheveux blonds»(l.34), «un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle»(l.35) et «sa personne était pleins de grâce et de charmes» (l.36-37) cela nous permet d’avoir une vision idéalisée de notre héroïne. Conclusion Son éducation hors du commun,son immense beauté ainsi que sa haute lignée font de la princesse de cléves une personne extraordinaire.De plus,cela apporte une morale aux jeunes lectrices du temp de Mme de La Fayette qui leurs enseigne que la passion amoureuse n’apporte que malheur et désespoir au jeune femmes.On voit déjà que cette vertu que Mme de Chartres a enseigné à sa fille sera mis à rude épreuve. uploads/Litterature/ commentaire-line-aire-n1 1 .pdf

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