Du Bellay occupe une place importante dans l'histoire de la littérature de La F

Du Bellay occupe une place importante dans l'histoire de la littérature de La France pour sa défense et illustration du site de langue française. Il est un plaidoyer pour le français comme seule langue du royaume et il montre leur désir de combattre avec son compatriote Pléiade pour enrichir et rendre plus élégante langue française, de sorte qu'il devient une référence de la langue et la culture. « La Olive », cependant, un livre de poésie de Pétrarque avec un style italianisant triomphera dans toute l'Europe du sud. L'esthétique de la Pléiade est pas, par conséquent, faire une différence dans la littérature française, mais, au contraire, contribuer à ce que, en France triompher des courants artistiques communs de l'époque. "Les Pléiades", un groupe de sept poètes français du XVIe siècle. Après la disparition de Clément Marot, la grande figure de la poésie française au XVIe siècle, il y avait beaucoup qui a essayé d'imiter le grand maître, formant ce qu'on appelle l'école Marotique, parmi lesquels a souligné la figure de Mellin de Saint-Gelais. Cette école serait la cible d'attaques par les rénovateurs de la Pléiade. De 1547 et pendant moins cinq ans, un certain nombre de jeunes fanatiques de la culture gréco-latine a suivi les cours du célèbre humaniste Dorat, à l'école Coqueret à Paris. Parmi eux, Ronsard, Du Bellay et Baïf. Ils ont étudié les grands classiques des enseignants sous le prisme récent de l'humanisme. A la demande de François Ier, a également travaillé pour la normalisation et l'enrichissement de la langue française, en ajoutant cultisme et néologismes servent à enrichir, parce que ce groupe est né Nous pouvons dire que Joachim aimé et haï Rome, et écrit certains textes les plus doux de la langue française. Les antiquités de Rome Une louve je vis sous l'antre d'un rocher Allaitant deux bessons : je vis à sa mamelle Mignardèrent jouer cette couple jumelle, Et d'un col allongé la louve les lécher. Je la vis hors de là sa pâture chercher, Et courant par les champs, d'une fureur nouvelle Ensanglanter la dent et la patte cruelle Sur les menus troupeaux pour sa soif étancher. Je vis mille veneurs descendre des montagnes Qui bornent d'un côté les lombardes campagnes, Et vis de cent épieux lui donner dans le flanc. Je la vis de son long sur la plaine étendue, Poussant mille sanglots, se vautrer en son sang, Et dessus un vieux tronc la dépouille pendue. De 1555 à 1557, Du Bellay fonction de secrétaire auprès de son oncle le cardinal Jean Du Bellay. Ce séjour au pays d'Horace et de Pétrarque le séduit d'abord, puis le déprime profondément. D'une santé fragile, isolé par la surdité dont il est atteint, et surtout nostalgique de son Anjou natal, il ne peut apprécier la beauté de Rome sans amertume : le spectacle des ruines qui le plonge dans une sombre méditation sur le déclin de toute chose, lui inspire le recueil les Antiquités de Rome, publié à son retour en France, en 1558. Ce recueil de trente- deux sonnets, suivi d'un songe de quinze sonnets, d'une tonalité grave et presque solennelle, reprend un motif traditionnel de la poésie consacrée à Rome, puisqu'il chante la gloire passée de la Rome antique, contrastant violemment, aux yeux du poète, avec la Rome dans laquelle il évolue, celle des papes, ou il ne voit que luxure bassesse et compromission. Du Bellay renouvelle pourtant ce thème, en élargissant l'objet de sa déploration à la disparition fatale de toute chose créée, ce qui donne lieu à une méditation sincère et émouvante sur le temps destructeur et sur la vanité de l'existence. Les regrets Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. A Rome, il compose aussi son célèbre recueil les Regrets, publié à Paris la même année que les Antiquités de Rome. Ce recueil de cent quatre-vingt-onze sonnets, à la fois lyrique et satirique, se présente comme le tableau intime des états de l'âme naturellement insatisfaite du poète, en particulier de sa nostalgie profonde de la France et de la campagne angevine. Compare aux Antiquités de Rome, les Regrets est, aux yeux de son auteur, un projet poétique plus modeste, car plus personnel: ce n'est plus Rome qui occupe ici le devant de la scène, mais la mélancolie et les regrets de l'auteur, saisis au jour le jour et composés dans une langue simple délaissant les artifices de la rhétorique et le style élevé. Les Regrets est un recueil de 191 sonnets d'alexandrins, de Joachim du Bellay, écrit lors de son voyage à Rome de 1553 à 1557 et publié à son retour en 1558. Dans les nombreux sonnets qui les composent, Les Regrets fustigent la corruption de la Rome moderne et témoignent de la douleur. Les Regrets s'ordonnent selon un schéma assez clair : les « regrets » proprement dits - la veine élégiaque - évoquent le désarroi du poète éloigné de sa terre natale. Suivent les poèmes satiriques qui sont la plus grande partie de Les Regrets. Ils sont d’abord dirigés contre la Rome pontificale puis, après le retour à Paris, contre la cour de France, que redécouvre l’auteur, désabusé. Les Regrets se terminent par une trentaine de poèmes de louanges s’adressant aux amis poètes et aux grands de ce monde. « Les Regrets » parle en fait, au-delà de la simple expérience autobiographique de Du Bellay, de la vie en général. Pour Du Bellay, la vie est un trajet, un voyage. Il parle de ses sentiments personnels, mais, en même temps, il donne une leçon spirituelle, celle de la vie de l’âme à travers le grand voyage que tous les hommes connaissent. En cela, il est bien un humaniste. C'est le poème le plus célèbre de Du Bellay. Précurseur de la poésie moderne. Poème = étendard revendiquant une révolte contre l'impérialisme Romain. Bibliographie http://www.literaturaeuropea.es/autores/du-bellay/ http://www.bacdefrancais.net/heureux-ulysse-du-bellay.phper http://es.feedbooks.com/userbook/18198/les-antiquit%C3%A9s-de-rome http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/joachim_du_bellay/nouv eau_venu_qui_cherches_rome_en_rome.html http://cotentinghislaine.unblog.fr/2010/10/11/du-bellay-les-antiquites-de- rome-corpus-fonctions-du-voyage-decouvertes-et-remises-en-cause/ uploads/Litterature/ du-bellay 1 .pdf

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