qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbn

qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui opasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfg hjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxc vbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui opasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfg hjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxc vbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui opasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfg hjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbn mqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwert yuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopas df hjkl b t i df hjkl Le sujet de Le sujet de recherche recherche Algorithmes de cryptage classique a été préparée par l'étudiant yousfat yasmin Méthode de transmission : drapeaux Introduction La cryptographie classique décrit la période avant les ordinateurs. Elle traite des systèmes reposant sur les lettres et les caractères d'une langue naturelle (allemand, anglais, français, etc...). Les principaux outils utilisés remplacent des caractères par des autres et les transposent dans des ordres différents Méthode de transmission : drapeaux SOMMAIRE Introduction Le carré de Polybe Machine Enigma Chiffre UBCHI LE Chiffre affine ROT-13 Chiffre des scouts sud-africains Méthode de transmission : drapeaux Carré de Polybe Le principe du carré de Polybe En regroupant les lettres V et W dans une même case, on peut écrire toutes les lettres de l'alphabet dans un tableau à 5 lignes et 5 colonnes : Méthode de transmission : drapeaux Avec l'aide du tableau ci-dessus, on code chaque lettre du message par un nombre à deux chiffres. Le premier chiffre est le numéro de la ligne et le deuxième celui de la colonne. Par exemple, POLYBE est codé en 41 35 32 54 12 15. Pour que le message soit plus difficile à coder, on va utiliser un mot clef qui permettra de remplir le tableau de Polybe d'une façon différente de celle de l'ordre alphabétique. Les variantes Il existe trois principales "variantes", ou plutôt trois principales extensions, au Carré de Polybe afin de complexifier son utilisation :  Étendre la table  Utiliser une clé de cryptage  Faire une permutation paire-imparaire Utilisation d’une clé privée L'un des problèmes majeurs du Carré de Polybe est qu'il est générique. C'est à dire qu'à partir du moment ou une personne a connaissance de la méthode de chiffrement utilisée (le Carré de Polybe) et du ou des alphabet(s) chiffré(s), cette personne peut déchiffrer un message, même si ce dernier ne lui est pas destiné. Afin de complexifier le déchiffrement d'un message, il est possible d'utiliser une clé privée, connue de l'expéditeur et du destinataire du message uniquement. Pour utiliser une clé privée avec le Carré de Polybe, il suffit d'utiliser la méthode suivante :  Choisir une clé faite à partir des caractères compris dans l'alphabet choisit. Pour l'exemple, nous choisirons la clé SPARTACUS300  Remplir les premières cases du tableau avec les caractères de notre clé (si un caractère apparaît plusieurs fois dans la clé, alors on ne rentre dans le tableau que la première apparition du caractère dans la clé et on ignore toutes les autres)  On remplit le reste de notre tableau avec les caractères restant de alphabet, dans leur ordre d'apparition classique Méthode de transmission : drapeaux Permutations paire-impaire Dans le but de complexifier encore plus le déchiffrement d'un message, il est possible de complexifier l'algorithme de chiffrement de notre carré de Polybe grâce à une permutation paire-impaire. Cette complexification de l'algorithme doit être privée. Si l'algorithme est publique, cette complexification n'a pas d'intérêt. La modification de l'algorithme de chiffrement est simple et répond à une règle simple :  Lorsque le caractère à chiffrer est en position impaire dans le message, alors l'équivalent chiffré n'est pas traduit par ligne-colonne mais par colonne-ligne. Dans le cas contraire, la règle de chiffrement standard est appliqué Cette méthode permet de compliquer le déchiffrement par une méthode de récurrence car chaque caractère peut être chiffré de deux façon différentes en fonction de sa position dans le message. Voici comment serait chiffrer le message ALEXANDRE avec le Carré de Polybe précédent et en utilisant la méthode de permutation paire- impaire : Méthode de transmission : drapeaux Le carré de Polybe a été utilisé, entre autres, pour aider la télégraphie mais également pour transmettre un message entre des bateaux sur de longues distances. Son usage se justifiait par la nécessité de transmettre un maximum d’informations avec un minimum d’objets. Plusieurs méthodes de transmissions se basent sur ce principe, dont les trois suivantes2,8 : La première utilise des torches : le nombre de torches à gauche étant le numéro de la ligne et le nombre de torches à droite le numéro de la colonne dans le carré de Polybe. L’avantage de cette méthode est que l’on utilise au maximum 10 objets qui peuvent être identiques3 Méthode de transmission : torches. La deuxième méthode de transmission s’aide de drapeaux de cinq couleurs différentes représentant les chiffres de 1 à 5. Celui de gauche représentant le numéro de la ligne et celui de droite le numéro de la colonne. Cette méthode a pour avantage de ne nécessiter l’utilisation que de 5 objets distincts et au maximum deux simultanément. Par contre, il était obligatoire d’avoir décidé la représentation de chaque couleur du drapeau au préalable8 La deuxième méthode de transmission s’aide de drapeaux de cinq couleurs différentes représentant les chiffres de 1 à 5. Celui de gauche représentant le numéro de la ligne et celui de droite le numéro de la colonne. Cette méthode a pour avantage de ne nécessiter l’utilisation que de 5 objets distincts et au maximum deux simultanément. Par contre, il était obligatoire d’avoir décidé la représentation de chaque couleur du drapeau au préalable8. La troisième méthode fut utilisée en donnant des coups sur les murs et les tuyaux de prisons. Plusieurs prisonniers américains de la Guerre du Viêt Nam communiquaient entre eux sans que personne s’en aperçoive en cognant sur les murs et les tuyaux de leur cellule. La première série de coups pour le numéro de la ligne et la seconde pour le numéro de la colonne suivi d’un silence2,3,5,8. Finalement, les trois méthodes ressemblent à des versions simplifiées du code Morse qui est, par ailleurs, plus facile d’apprentissage Méthode de transmission : drapeaux . Les Points forts : Grâce à sa simplicité, la majorité des gens sont capables de chiffrer un message sans aide. Les lettres sont converties en chiffres puisqu’elles sont représentées par deux chiffres faisant partie de l’ensemble {1, 2, 3, 4, 5} On représente donc 26 lettres avec seulement 5 symboles. Ce procédé est appelé le fractionnemen Les Points faibles De base, le carré de Polybe utilise toujours la même clé — l’ordre des lettres dans le tableau reste toujours identique. Il est donc facilement déchiffrable par une analyse fréquentielle puisque celui-ci est un chiffrement par substitution monoalphabétique. De plus, la forme la plus simple du carré de Polybe ne contient pas de chiffres ni de caractères spéciaux tels que l’espace, le point, les accents, etc. Il faut savoir qu'une phrase contenant des chiffres ou des symboles ne peut être chiffrée, sans quoi cela peut causer de l’incompréhension lors du déchiffrement. Le fait de fusionner la lettre i et j peut causer une certaine déformation du message original tout comme la suppression des espaces. À titre d'exemple, en anglais « NOW IN » peut également être « NO WIN » selon l’emplacement de l’espace. La machine enigma : le principe le principe de fonctionnement de l'Enigma est à la fois simple et astucieux. A chaque fois que l'on presse une lettre, un circuit électrique est fermé, et s'éclaire une ampoule qui correspond à la lettre codée. Le circuit qui est fermé dépend de la position des rotors. A chaque lettre frappée, un ou plusieurs des rotors mobiles tourne, changeant la substitution qui sera opérée à la prochaine touche pressée. De plus, le chiffrage est réversible : si en tapant A vous codez D, si vous aviez tapé D, vous auriez codé A. Ainsi, si le commandement allemand et le sous-marin ont le même réglage de départ, il suffit à l'opérateur du sous-marin de taper directement le message codé pour obtenir le message clair. Les Allemands avaient donc diffusé dans leurs services des carnets de code permettant de réactualiser chaque jour à minuit les machines, par la position initiale des rotors. Ces carnets de code étaient valables un mois. Méthode de transmission : drapeaux Les points forts : Nous avons déjà décrits les points forts de la machine Enigma. Pour l'essentiel, c'est le nombre de clés énorme, et la réversibilité : si, avec la même clé secrète initiale, on tape le message clair, on obtient le message codé, et avec le message codé, on obtient le message clair. Point faible : L'une des failles de la machine Enigma est que jamais la lettre A ne sera codée par un A. Cela élimine un certain nombre de cas à inspecter. Une des autres faiblesse dépend plutôt du protocole utilisé par les allemands : certains opérateurs (par exemple, ceux qui informaient de la météo) prenaient peu de précautions et commençaient toujours leurs messages par les mêmes mots (typiquement "Mon général..."). Les anglais connaissaient ainsi pour une partie du message à la fois le texte clair et le texte codé, ce qui aide à retrouver la clé. Et comme c'est la même clé qui sert pour toutes les machines Enigma de l'armée allemande pour un jour donné, uploads/Litterature/ expose-ch.pdf

  • 11
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager