• GROUPEMENT D'ËTUDE DE PHÉNOMÈNES AÉRIENS G. E. __ P. A. · PHOTOGRAPHIE PRISE
• GROUPEMENT D'ËTUDE DE PHÉNOMÈNES AÉRIENS G. E. __ P. A. · PHOTOGRAPHIE PRISE LE 3 JUILLET 1960 AUK ENVIRONS DE COR DOBA · PAR LE CAPITAINE HUGO F. NIOTTI DE L'ARMÉE DE L'AIR ARGENTINE 24 (Voir en dernière page de cçuverture) PUBLICATION PÉRIODIQUE TRIMESTRIELLE RÊDACTION • ADMINISTRATION C. E. P . A. 69, rue de la Tombe-Issoire, PARIS 14• 2"' 0 Trimestre 19 7 0 .: JUI.N 1 970 - 7,50 .F GROt;PEMENT D'ET UDE DE PHENOMENES AERIENS ET OBJETS SP ATIAt;X IXSOUTES COJ\IPOSITION DU BUR EAU P OUR 19 70 l'résident : M. Lionel CHASSIN, Général d'Armée Aérienne. Vice-Presidents : M. Edmond CAMPAGNAC, ancieP élève de Polytechnique, ingénieur-conseil en a u tomation et en recherche opérationnelle. - ;vr. Raymond LUCAS, ingén ieur . - M. Paul MISRAKI, auteur <le « Des Signes dans le Ciel ». Secrétair e général : lV(. René FOUERE. SeCTétaircs-adioints : Mlle Lina CRISTI. - ::VI. Pierre traie, ingénieur en physique de la relativité. - TEYSSA. "''DIER, ancien élève de l'Ecole Cen- :.\1. TROUBLE, ingén ieur -docteur. Trésorière : M">< Francine FOUERE. Les cotisations et abonnements sont annue; e• partent du :nois de j:lm;er. I.es personnes qui verseront leur cotisation ou souscriront un abonne:::e::: e::: co:=s ::·=* rec&\":'o::r :e ou :es numéros de « Phénomènes Spatiaux» déjà parus dans :·a=ée. Le bulletin est se,.-TI d'office aux adbêrents. Les cotisations demandées a ux memeres adhére:!:s sa::: :es Sl.:O...,.=::es Membre ordinaire (France) ............ ...... ~............ .•. .. z F MembrE> ordinaire (Etranger) . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . .. . . .. •. . . . . 31 F Membre bienfaiteur (France et Etrar.ge~ ... .. .. . . ~ F Pour la France et l'Etranger, on peut, sans aèèé:-e:- a:: G~ _ _ _ re ;:..-oc::.~~ ~c;:-e bulletin <' Phénomènes Spatiaux» dans les conditions suiva:::es : Abonnement annuel Prix au numéro ......... .. . ...... ~.. . .. .. .. .. .. .. . . .. . • . . 11 n'est fait a ucun envoi contre rembourse~en:. Nos corresponda!1tS nous obligeraient en nous !"ég:a::: virement postal adressé au C.C.P. C .E.P.A. : o914-!7 PARI5 :o:::ê'$ Nous sollicitons vivement la collaboration de ::os :ee:e::.-s ::::<"= ~ :-?<"~.e-~- ~ bU!le~in, non seulement en ce qui concerne l'envoi d'information re:a::>es a·a ~'::'5:.. . ~== ~,::-:::-=-- :xais encore l'envoi d'articles originaux sur le sujet de none ecquête. ::-os resso~c =-~- - ~:ées, nous ne pouvons pas promettre de publier dans notre bulletin :ous .es e:..-.xs -....z.::.e; RE~XIOXS TEC~!QLtS Le G.E.P.A. organise des réunions techniques réser"'·ées a= ,~~-~~:s ~;,; :::.s..: ... :~nes scien- tifiques en rapport avec le problème des soucoupes ;·olam~. Ces réunions oat lieu au Lycée Rodin. 19. rue Co::>isa:-:. ?a:'" mise très obligeamment à notre disposition par !e nouveau .P:u~..se::: nos plus vlfs remerciements. :.1 • ~ ~ -, ::.:. :::o .. e des .'\.etes ::-:: :._ -= :ô-:-_;;.: ::ous disons Le nombre de places étant limité, les perso=es è"'='~e--= t= ~::-:::::;:e.; ar.: • e...e:1• a. ces r·éunions sont priées d'en informer le Secrétaire Général du G~.A.: 69, rue de la Tombe-Issoire PAlUS (1-l•J REl..-:\10 XS P CBLTQCES Au Musée Social, 5, rue Las-Cases, Paris-T• .Mérro : So:.fê:'"..:::> ~ """ ~ 30, "es \endredis 23 octobre. 20 novembre, ll décembre 1970 et 22 ian..-!e. l2 :ë..-:-:;:-. 1; - --s, 23 a •. :.: er 21 mai 1971. Participstio!l aux :re.:s: 3 ? . Editorial, par René Fouéré Le premier livre tchèque sur les UF'Os, par Henri Chalou pek ........ . .. ~ ... ~ . .. . UF'Os : Réalité ou fiction ? · par le Dr Gerald Roth berg Sur le « Liv re Noir des Soucoupes Volantes» de Henry Durrant, par .'\.lain Péronny. 1 2 3 ingénieur . . . .. . . . . .. . ... ... . .. . . .. . .... ~ . . 6 OVNis sur l'Everest en 1933 ? par Samivel . . Similitudes et contrastes, par René Fouéré Les Extra-terrestres, par Jacter U. Pereira , 7 8 secrétaire du GGIOANI . . . . . . . . . . . . . . . . 14 CO::l?:ë:nem à notre article « Une soucoupe -;-olante s'aven ture dans un hôpital» 20 Soucoupe volante sur Cluj (Rou marue), une enquête de M . Florin Gheorghità . . . . . . . . 22 Le cas de San Mare! de Tous. par Antoruo Ribera . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 Une nuit ct'août 19GO aux Eyzies de Tayac.. 29 Obser vations en Alsace 30 Observations roumaines 32 Publicatlons slgnalées : . . .... ....• 34 1 1 1 EDITORIAL Le problème des soucoupes volantes reste toujours posé et cetix qui, apr~s avoir pris cormaissancc, non de l'énorme rapport auquel le Dr Condon a attaché son nom et sa révutation, mais des conclusions de ce rapport. se permettraient d'en douter pourront s'en convaincre en lisant. dans le lJrésent bulletin, l'article que le Dr Gera!d Rothberg, qui a travaillé à la Commission du Colorado, a oublié dans «Physics Todap de décembre 1969. Cet m·ticlc a été confirmé depuis par celui que le Dr J. Allen Hynek a tait pm·aitrc dans «The Christian Science Monitor» du 2?. avril 1970 t't dont il a eu /'ob liqeance de ..nous faire parvenir le texte. Personne, pensons-nous, n'osera insinuer que les signataires de ces articles puissent etre des hommts scientifiquement incultes ou dépourvus d'informations sur le sujet ! L'interrogation portant sur ces objets insolites demeurant toujours béante, l'enquête va se poursuivre, tout au moins à l'échelon des initiatives privées, et il y a tout lieu de penser qu'elle ne cessera de s'alimenter d'observations nouvelles. Mais dans quelles conditions et dans que-l esprit va-t-elle se poursuivre? C'est un point sur lequel il importe de s'interroger, car, dans toute recherche. ln qualité des résultats est en rapport nécessaire avec la métl10de mise en œuvre, et il se pourrait bien que cette recherche particulière ne soit justiciable, à proprement parler, d'aucune des méthodes qui nous sont familières, à m.oins qu'on n'entende par «méthode > le qoOt de l'observation précise et une certaine suspension délibérée du jugement. n'excluant toutefois pas la considération d'hvpothèses, mais qui seront ex- pressément tenues pour de simples hypothèses de travail et qu'on sera prêt à rejeter à tout instant. Tl n 'est pas certain, en effet, que nous puissions parvenir de sitôt èr comprendre la ·signification humaine du problème que posent ces présences insolites. Comme l'a justement dit M. Pierre Guérin, de l'Institut d'Astrophysique de Paris, dans son remar- auable exposé sur <Le rationalisme et la pluralité des mondes habités> (<Les Cahiers Rationalistes>, N° 192, décembre 1960), elle pourrait déoasser les bornes de l'enten- dement humain. Nous n'avons effectivem ent aucune ·assurance rationnelle que le cerveau humain. malgré le nombre gigantesque de cellules nerveuse· s qu'il met en œuvre, soit la -olus vaste et la plus perfectionnée des machines organiques à penser que la vie ait été capable de construire. Bien qu'on n'ait encore pu en trouver aucune preuve certaine - qu'il faudrait peut-être chercher à l'intérieur des soucoupes volantes plutôt qu'à l'intérieur des mé- téorites - il ne parait guère Caire de doute, pour la plupart des savants. que la Terre n'est pas le seul berceau de vie intelligente que renferme l'univers et, si l'on admet qu'il puisse exister d'autres f ormes de vie pensante hors de notre planète, on peut se demander si, dans d 'autres conditions d'environnement. d. e composition dtl sol et de Rravitation, des êtres dotés d'till équipement cérébral surpassant de loin le nôtre n'auraient pas pu surgir. 11 paraît, d'autre part. tout à la fois rationnel et raison- nable d'admettre que la complexité des concepts sus::!'.otibles d'Ure élaborés par un etre pensant soit en rapport avec le nombre et /'agf'ncement des cellules aue comporte son < ordinateur> cérébral. De toute façon, l'histoire de la pensée humaine montre qu'il a fallu du temps pour que cette pensée puisse acquêrir le sens et la maïtrise des concep·ts les plus élevés, les plus «compréhensifs>, dont elle dispose au- jourd'hui. En conséquence, des êtres qui n'curaient pas l W cerveau :·tructuralement supérieur au n6tre, ni plus riche en cellules nerveuses, mais qui auraient pensé beau- coup plus longtemps aue nous, pourraient a\•oir l'usage de concepts qui nous seraient présentement inintelligibles. Nous ne devons donc pas perdre de vue que si, r.ans le proche environnement de la Terre, circulent des machines pilotées par des êtres intellectuellement beau- coup vlus a. oés que nous, il oourrait nous etre parfaitement impossible de saisir. leurs int.ent ions. l]l/es pourraient faire partie d'lin système de motivations n'ayant avec le nôtre qu'un rao-oort tr~s lointain. TT se peut donc que leurs ob·jectifs scient pour nous totalement indéchiffrables en termes de nos oropres concepts et que les arguments de ceux qui veulent nier leur existence et celle de leurs < machines> (1) en disant : uploads/Litterature/ g-e-p-a-phenomenes-spatiaux-24.pdf
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- Publié le Aoû 21, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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