1 Origine possible mais très incertaine de la famille La quasi-totalité des act
1 Origine possible mais très incertaine de la famille La quasi-totalité des actes Lefort aux archives de l’Oise entre 1550 et 1600 sont retrouvés à Verberie (211 sur 282) et pour cette période on ne trouve presque aucun Lefort en Seine et Marne, Aisne, Somme, Eure, Val d’Oise, Seine Maritime Les départements proches de l’Oise entre ces dates (1550-1600). Verberie, Duvy, Béthisy Autheuil et Marolles sont très proches Origine improbable : 1-Raoul Lefort né vers 1518 marié à Catherine Bizet, pendant le règne d’Henri II, chanvrier d’où : 1-Thibauld Lefort né avant 1555, sous le règne de François II, marié avant 1573 à Renaude de la ROUE à Verberie, remarié à Perette Tellier ( ?) en 1608 avec contrat du 21- 09-1608 marchand chanvrier d’où entre autres : 1-Thibauld Lefort né et décédé à Verberie1586-1661 sous le règne d’Henri IV et marié en 1607 à Verberie à Margueritte Dehorry née à Verberie en 1566-décédée à Béthisy St Pierre en 1622 en Picardie, Mtre tailleur d’habits, En 1608 « le grand hiver -26°C à Paris. 24.000 morts de froid à Paris durant le mois de janvier. d'où entre autres : 2 Béthisy St Pierre Verberie 1 -Une fille Lefort née vers 1615 qui épouse un Simon Ban d’où un fils Simon également 2 -Claude Lefort né en 1612 à Béthisy marié en 1635 à Béthisy St Pierre à Denise du Liège Mtre tailleur d’habits à Bethisy sans doute déjà décédés en 1660 d’où peut-être : Une alternative possible mais aussi incertaine à Claude et son ascendance : Francois Lefort X Chantelet père de Francois né en 1663 marié Bachelet en 1686 car on retrouve une Jeanne née en 1654, un Claude né en 1669, un Jean né en 1658, frères et sœur de Francois ) 1-Jeanne née en 1654 mariée à Jean Brigault à Mareuil/Ourq en 1673, maître d’école en présence de Simon Ban aussi maître d’école à Fulaine, son oncle 2-Jean né vers 1655 qui suit (*) marié en 1674 à Marie Prévost à Autheuil en présence de Simon Ban cousin germain et Jean Brigault son beau-frère 3-Une fille Lefort qui épouse Simon Ban fils, maître d’école, son cousin germain 4- Claude né en 1645 meunier à Bethisy marié Le premier Lefort identifié sans conteste Acte de Baptème de Marie Prevost (*) Jean Lefort et Marie Prevost ont 6 enfants à Autheuil de 1675 à 1681 et 5 à Ivors de 1683 à 1690 et encore 3 à Duvy de 1694 à 1696 date du décès de Marie Prevost à Duvy: à 39 ans Bien des décès en bas âge parmi ces 14 enfants (ou plus). Les parents de Jean ne sont pas mentionnés au mariage, sans doute morts avant 1674 (*) Jean Lefort « de la paroisse de Marolles » mais n’y est pas sans doute né, mariés en 1674 à Marie Prévost, elle née en 1657 à Autheuil (Billemont) fille de Robert, décédée à Duvy en 1697-lui après 1701, Jean est meunier à Ivors puis à Duvy, Il est détenteur du moulin de la carrière à Duvy, c’est l’un des nombreux moulins à eau, celui-là appartient au comte de Valois, Il a un domestique en 1696. Ils se marient en 1674 à Autheuil en Valois en présence du beau-frère du marié Jean Brigault et de son cousin germain Simon Ban ce dernier décédé à Coulomb en Valois le 9/12/1694 qui marie 2 de ses enfants à Chezy en 1691 et 1698 mais le nom de la mère est inconnu aux actes. On a retrouvé à Duvy le mariage de Magdelaine Lefort avec François Babaud en 1698, en présence de Jean Brigault oncle de la mariée ; Il faudrait retrouver le mariage de ce maître d’école à Fulaine d’où : 1-Jeanne née Marolles 1675 décédée Autheuil 1682 2-Magdelaine née à Autheuil 1677 mariée à François Babrant (Babeau) à Duvy 1698. Témoin un meunier de Glaignes et l’oncle de la mariée Jean Brigault de Vauciennes 3-Antoine né à Autheuil en 1679 décédé à Marolles 1682 4-Jean né à Autheuil en 1681 5-Marie Anne née Ivors 1683 mariée en 1701 à A. Lheullier à Vaumoise en présence de son père et de son frère Claude Lefort, remariée à Autheuil en Valois en 1715 à L. Godard décédée Autheuil 1750 6-Jeanne née à Ivors en 1685 7-Claude né à Ivors en1687 meunier à Nantheuil 8-Marie-Jeanne née à Ivors en 1689 3 9-François né à Ivors en 1690 10-Françoise née à Autheuil en 1692 11-Gabriel né à Autheuil en 1694- décédé en 1696 à Duvy 12-Dagobert né à Duvy en 1694 13-Jean né à Duvy en 1696 marié à Marie Godard, qui suit (***) 14-Jeanne née à Duvy marraine du précédent Jean (***) fils de Jean né en 1696 à Duvy épouse sans contrat Marie Godard à Autheuil en Valois en 1717 (décédés en 1740 et 1762 à Autheuil) en présence de Claude Lefort son frère meunier à Nantheuil et de Louis Godard Père et Louis Godard frère de la mariée. Il est manouvrier d’où 3 enfants, François, Marie et J-Baptiste. Le village de Duvy est proche de Crepy en Valois (règne de Louis XV) Le trente-et-un et dernier jour de juillet de la présente année 1696 j’ai baptisé Jean fils de Jean Lefort meunier détenteur du moulin de la carrière de cette paroisse et de Marie Prevost sa femme, qui est né le jour précédent, le parrain Jean C…. domestique du dit Lefort la marraine Jeanne Lefort sa fille qui ont fait leur marque et nous avons signé La descendance : Les Gardes-Chasses Il s’agit ici de gardes particuliers attachés à des propriétaires privés possédant terres et château, gardes chasses, gardes pêches, gardes ventes, gardes rivières, gardes port, gardes bois, gardes fonds, garde canal… Assermentés ils surveillent et font la chasse aux braconniers qu’ils peuvent verbaliser, protège l’environnement, flore et faune. Ils prêtent serment devant le bailli ou le lieutenant civil puis plus tard devant la justice de paix puis devant le tribunal d’instance. Ils portent un uniforme et une plaque indiquant leur fonction et le nom du propriétaire. C’est au moins 10 gardes chasses Lefort qui exercent en 1800, plus de 25 vers 1875. En 1900 un garde- chasse bien payé gagne 700 frs/an plus 50 frs par PV. Logé, habillé, vêtu de son uniforme, avec droit au gibier. A cette date Il y a 50.000 gardes particuliers en France. Mais seulement 11 % gagnent de 300 à 500 frs/ an. Leur nombre avait doublé en 20 ans. Vers 1870 les seigneurs de Villarmoy (Chatillon les Bordes) passent de 1500 à 4000 frs le prix de la location de chasse de leur bois de La Borde, on comprend mieux la multiplication du nombre de gardes qui représente vers 1870, 35 % des forces de l’ordre (policiers, gardes champêtre et gendarmes) Les piqueurs tiennent des carnets de chasses qui recensent leur activité Le château de Bourneville commune de Marolles en Valois, le baron Fauveau, les mérinos et les loups Il y a un grand château au hameau de Bourneville proche de Marolles en Valois, construit vers 1725. Il appartient sans doute vers 1750 au fils de Jacques Samuel, colonel d’infanterie, et de Marie Gabrielle Le Cirier de Neufchelles, Jacques Gabriel Louis Le Clerc, marquis de Juigné, qui naquit à Paris le 14 mai 1727. Entré au service dans les mousquetaires en 1742, il était capitaine dans le régiment d’Egmont- cavalerie dès l’année suivante. Nommé colonel du régiment de Blaisois le 1er janvier 1748, il devint l’année suivante colonel à la suite des grenadiers de France. Chevalier de Saint-Louis en 1757, brigadier en 1759, maréchal de camp trois ans plus tard, il fut 4 choisi en 1774 pour représenter la couronne de France auprès de l’impératrice de Russie en qualité de ministre plénipotentiaire. Lieutenant général depuis 1780, il venait d’être nommé, le 2 mars 1788, gouverneur d’Arras lorsqu’il fut élu député de la noblesse des marches communes de la Bretagne et du Poitou aux Etats généraux. Il émigra et ses biens furent vendus en particulier le château de St Germain Laxis. Outre ses terres et châteaux à Autheuil, Boursonnes, Neufchelles...il a acheté et embellit le château de St Germain Laxis près de Vaux le Vicomte mis sous séquestre et vendu en 1793. Le château de Bourneville est ensuite propriété de Préaudeau de Chemilly trésorier général de la maréchaussée, charge cédée de son beau- frère et propriétaire de fonderie et verrerie à Mouterhouse près de Bitche en Moselle. Preaudeau dessine un Horace pour illustrer une édition de 1772 du « combat des rats et des grenouilles » un conte de ce dernier. Il sera emprisonné 4 mois à la Bastille soupçonné de malversation, les scellées posées 4 fois sur son logis puis il est blanchi, son frère trésorier général de l’artillerie s’était enfui en Angleterre suite à ses malversations .En 1774 il est envoyé par le roi en Angleterre sous prétexte d’acheter des chevaux mais en fait pour tenter de racheter 40.000 livres –soit plus de 100 fois la dot de mon ancêtre, sans uploads/Litterature/ gardes-lefortsepte.pdf
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- Publié le Jui 20, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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