La préface de Cromwell Victor Hugo est un poète français du XIXème siècle, né e

La préface de Cromwell Victor Hugo est un poète français du XIXème siècle, né en 1802. Les membres de sa famille côté maternelle étaient tous royalistes, donc il l’était aussi. Cependant, il luttait pour le peuple et décrivait leurs victoires. En 1848 il est devenu un républicain. Il est entré dans le monde de la littérature comme un jeune homme de 15 ans. Il a toujours été et toujours resté un poète romantique, qui aimait poétiser la réalité. Il se distrayait en lisant les fables historiques qui lui donnaient des idées romantiques, la fantaisie romantique. Il était aussi un réaliste, ce que l’on peut voir dans ses œuvres qui transmettent une combinaison du romantisme et réalisme. Dans la poésie dramatique Hugo est un révolutionnaire qui luttait contre le drame classique et a réussi de créer un nouveaux drame moderne, basé sur tout-l’œuvre de Shakespeare. Il a donné ses théories sur la poésie dramatique dans la préface de Cromwell en Octobre 1827. A ce temps-là, la scène était bien conservative, les auteurs, les acteurs et aussi la publique, tous étaient également conservatifs dans leurs avis sur le théâtre, et tous étaient pour les anciennes habitudes, contre l’introduction de nouvelles méthodes sur scène. « La plus difficile tradition à lutter et la tradition dans les drames. » La tradition classique était bien gardée au XVIIIème siècle, sa longue existence a habitué les gens de se réconcilier avec la situation.Les jeunes poètes ont voulu changer cette tradition, mais personne n’avait essayé de le faire, les anciennes formes se maintenaient jusqu’à l’apparition du manifeste d’Hugo. Sa préface est devenue l’arme de la troupe romantique qui était composée de jeunes écrivains cherchant l’indépendance de la littérature dramatique. « Le drame qu’on va lire n’a rien qui le recommande à l’attention ou à la bienveillance du public. Il n’a point, pour attirer sur lui l’intérêt des opinions politiques, l’avantage du veto de la censure administrative, ni même, pour lui concilier tout d’abord la sympathie littéraire des hommes de goût, l’honneur d’avoir été officiellement rejeté par un comité de lecture infaillible. » Ce sont des mots avec lesquels Hugo commence sa préface, en nous attirant l’attention dès le début qu’il laisse cet œuvre à notre jugement, qu’il est juste un spectateur, les critiques ne l’intéressent pas. Maintenant je vais vous mentionner les plus importantes lignes de la préface. Dans un premier temps il nous attire l’attention au fait que la société, comme nous-mêmes, change chaque jour, qu’elle se développe avec le temps. C’est là le moment où il nous donne la division de la société en trois catégories. Les temps primitifs, les temps antiques, les temps modernes. Il se lance dans l’explication de ces trois temps. T out simplement, les temps primitifs c’est du lyrique, de l’éternité, de l’idéal, la Bible, Malherbe. Les temps antiques seraient de l’épique, de l’histoire, de la simplicité, l’Iliade et Odyssée (Homer), Chapelain. Et les temps modernes – dramatique, la vie, la vérité, Shakespeare, Corneille. Car bien évidemment il était un habitant du temps moderne qui luttait pour la révolution de la littérature, je vous expliquerai sa définition de ce temps-là. Le temps moderne a donné naissance à une religion spirituelle, une vérité fondamentale : il y a toujours une terre et un ciel, toujours le corps et l’âme, l’homme mène deux vies, une sur la terre, l’autre au ciel. Le christianisme divise en deux l’esprit et la substance, l’âme et le corps, l’homme et Dieu. Cette idée s’adoptera aussi dans la littérature moderne, avec la naissance du grotesque comme une grande contraste. Il faut juste dire que le christianisme mène dans la mélancolie et la méditation. Nouvelle religion, nouvelle société, nouvelle poésie. Peu à peu, la poésie arrive à la vérité. T out ce qui existe dans le monde, dans la nature, a sa contraste. La lumière et l’obscurité, le jour et la nuit, le bon et le mal, le sublime et le grotesque. Et tout est connecté. C’est le rôle de la poésie, et du poète de décrire la nature, de faire de nouveaux être, de transformer le drame en introduisant la comédie, la fantasie, le romantisme. L’esprit romantique est le mieux exprimé dans l’étude du grotesque d’Hugo. Le grotesque est tout ce qui est bizarre, irrégulier, fantastique. Il existait dans les temps antiques mais ses proportions étaient minuscules. Le grotesque est partout dans la nature, c’est la mieux source que la nature peut nous donner. Le contraste est le plus important, le sublime avec le sublime ne nous donne pas de contraste, tandis que le grotesque peut amener aussi à la beauté, tous les choses commencent avec le grotesque. Si l’on transfère le grotesque d’un monde idéal à un monde réel, il créera une inépuisable ressource de parodies et comédies. Le sublime et le grotesque en contraste c’est le drame. La vraie poésie consiste dans la harmonie des contrastes. T out est connecté dans le drame, comme dans la vie. T ous les contrastes se rencontrent dans le poète même, comme dans l’homme. Le drame doit exprimer la complexité de la vie, de l’homme, de la nature dans tous ses contrastes grotesques. En avançant peu à peu dans cette préface, nous nous rendons compte de quelques demandes que Hugo fait pour le drame romantique. Le premier demande serait d’éliminer la règle des trois unités, la seule qui est importante c’est l’unité d’action. Pourquoi ? Les unités de temps et de lieu ne permettent pas la liberté à l’artiste, et à cause d’elles les spectateurs doivent écouter les monologues pour pouvoir suivre ce qui se passe. Suivre les règles, c’est comme faire des copies d’un œuvre, ce n’est pas original. Un vrai poète romantique doit être original, génial, il faut trouver l’inspiration en soi-même. Les seules règles qui doivent exister sont des règles de la nature, ils ne sont pas définies, le génie les fait utilisant la nature, la vérité et l’inspiration. Mais la nature et l’art sont deux choses differents. Bien qu’un poète doive compter sur la nature et créer de son exemple, l’art ne fait pas des êtres ou des choses, son rôle est justement de les décrire. Hugo demande aussi une liberté absoulue, le style libre, la forme libre. Il a choisi le vers comme la forme idéale pour exprimer le drame. Ce vers peut tout dire, il passe légèrement de la comédie à la tragédie, du sublime au grotesque, il est fidèle aux rhymes, plus long, il a pas une forme stricte, pas de construction compréhensible. Dans ces vers il y a plus de dialogues, il est lyrique, épique, dramatique, il est tout. Il n’a aucun similarité aux vers d’avant. C’est une forme qui n’oblige pas les lois aux drames. « Au demeurant, prosateur ou versificateur, le premier, l’indispensable mérite d’un écrivain dramatique, c’est la correction. Non cette correction toute de surface, mais cette correction intime, profonde, raisonnée, toujours sûre, parce qu’elle est sûre de son fait, et qu’elle va toujours d’accord avec la logique de la langue. Elle peut oser, hasarder, créer, inventer son style : elle en a le droit. Car, bien qu’en aient dit certains hommes qui n’avaient pas songé à ce qu’ils disaient, et parmi lesquels il faut ranger notamment celui qui écrit ces lignes, la langue française n’est pas fixée et ne se fixera point. Une langue ne se fixe pas. L’esprit humain est toujours en marche, ou, si l’on veut, en mouvement, et les langues avec lui. Les choses sont ainsi. » Il souligne le fait que le poète doit avoir tout liberté, même grammaticale. Il doit être omniprésent dans son œuvre, caché partout. Le totale d’une indivitualité doit être exprimé dans le drame, même le vulgaire doit avoir un rôle. Le vrai poète romantique évitera tout ce qui est habituel, ordinaire, il prendra seulement ce qui est vif et caractéristique. A ce moment-là, l’esprit de la préface change, Hugo se tourne vers son œuvre, et fait comme une conclusion. Ce qui est écrit dans sa préface, ce n’est pas une doctrine, ce sont seulement ses idées. Elles n’ont pas créée cet œuvre, Cromwell, au contraire, Cromwell a donné naissance aux elles. Hugo ne veut pas avoir seulement une forme d’écrire, il veux en avoir plusieurs, ses œuvres lui mènent, c’est avec eux qu’il fait tout le reste. En lisant les livres historique de la vie de Cromwell Hugo était inspiré par la complexité de ce personnage, qui était en même temps mauvais et bon, génial et insignifiant, sublime et grotesque. Un homme et un bête. L’imagination du poète se réveille et fait ce drame en vers. « Au demeurant, de quelque façon que son livre soit traité, il prend ici l’engagement de ne le défendre ni en tout ni en partie. Si son drame est mauvais, que sert de le soutenir? S’il est bon, pourquoi le défendre? Le temps fera justice du livre, ou la lui rendra. Le succès du moment n’est que l’affaire du libraire. Si donc la colère de la critique s’éveille à la publication de cet uploads/Litterature/ la-preface-de-cromwell 1 .pdf

  • 11
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager