R Ré ép pu ub bl li iq qu ue e A Al lg gé ér ri ie en nn ne e D Dé ém mo oc cr
R Ré ép pu ub bl li iq qu ue e A Al lg gé ér ri ie en nn ne e D Dé ém mo oc cr ra at ti iq qu ue e e et t P Po op pu ul la ai ir re e M Mi in ni is st tè èr re e d de e l l' 'e en ns se ei ig gn ne em me en nt t S Su up pé ér ri ie eu ur r e et t d de e l la a R Re ec ch he er rc ch he e S Sc ci ie en nt ti if fi iq qu ue e U Un ni iv ve er rs si it té é D Dr r M Mo ou ul la ay y T Ta ah ha ar r, , S Sa ai id da a F Fa ac cu ul lt té é d de es s S Sc ci ie en nc ce es s e et t T Te ec ch hn no ol lo og gi ie es s D Dé ép pa ar rt te em me en nt t d de e c ch hi im mi ie e M Mé ém mo oi ir re e d de e f fi in n d d’ ’é ét tu ud de e p po ou ur r l l’ ’o ob bt te en nt ti io on n d de e l li ic ce en nc ce e S Sp pé éc ci ia al li it té é : : G Gé én ni ie e d de es s p pr ro oc cé éd dé és s O Op pt ti io on n : : G Ge es st ti io on n e et t V Va al lo or ri is sa at ti io on n d de es s D Dé éc ch he et ts s T Th hè èm me e L La a r ré éu ut ti il li is sa at ti io on n d de es s e ea au ux x u us sé ée es s é ép pu ur ré ée es s a a d de es s f fi in ns s d d’ ’i ir rr ri ig ga at ti io on n P Pr ré és se en nt té é p pa ar r: : M M e el ll le e R Ri ig gh hi i N Na ac cé ér ra a L Le e j ju ur ry y c co om mp po os sé é d de e : : M Mr rs s B B. . G Gh he ez za an ne e P Pr ré és si id de en nt t M Ma ai it tr re e d de e c co on nf fé ér re en nc ce e B B à à l l’ ’U UV V d de e S Sa ai id da a. . M Mr rs s M M. . O Ou ue ez za an ne e E Ex xa am mi in na at te eu ur r M Ma ai it tr re e d de e c co on nf fé ér re en nc ce e A A à à l l’ ’U UV V d de e S Sa ai id da a. . M Mm me e N N. . G Gh ha al li i E Ex xa am mi in na at tr ri ic ce e M Ma ai it tr re e d de e c co on nf fé ér re en nc ce e B B à à l l’ ’U UV V d de e S Sa ai id da a. . M Mr rs s M M. . B Bo ou ud di in na ar r E En nc ca ad dr re eu ur r M Ma ai it tr re e d de e c co on nf fé ér re en nc ce e B B à à l l’ ’U UV V d de e S Sa ai id da a. . Année universitaire 2012 - 2013 DEDICACES Arrivé au terme de ce modeste travail, grâce à « ALLAH » Il m’est très agréable de le dédié à : Mes chers parents : pour leur affection dont ils m’ont toujours comblé et les sacrifices infinis qu’ils n’ont cessé de consentir, avec abnégation, pour mon éducation. Veuillez trouver à travers ce modeste travail, l’expression de mon amour et mon respect les plus sincères. Que Dieu puisse vous accorder une longue vie pleine d’amour, de bonheur et de paix. Mes sœurs et frères : avec tous mes vœux de réussite et de bonheur, Toute ma famille et tous mes amis(es). En fin à tous qui ont participé de prés ou de loin pour l’accomplissement de ce modeste travail… R. Nacéra « web 1 » « web 2 » « web 3 » Introduction Générale Introduction générale 1 Introduction générale L’eau a acquis au fil du temps une importance telle qu’elle en devient un acteur majeur dans l’économie mondiale, en effet, c’est devenu une ressource naturelle essentielle au vue du rôle stratégique qu’elle joue dans l’agriculture et l’industrie. Les ressources d’eau en Algérie sont confrontées à des problèmes de quantité et de qualité. Ces ressources sont limitées en raison du climat semi-aride à aride dans la majeure partie du territoire, avec des sécheresses épisodiques, et subissent une détérioration de leur qualité par ruissellement sur les différentes roches salifères réparties sur le territoire Algérienne. Les ressources en eau sont estimées par l’ANRH, en moyenne à 17,2 milliards de m3/an dont : - 12 milliards de m3 dans les régions Nord : -10 milliards de m3 (écoulements superficiels) - 02 milliards de m3 (ressources souterraines) - 5.2 milliards de m3 dans les régions sahariennes : - 0.2 milliards m3 (écoulements superficiels) - 5.0 milliards m3 (ressources souterraines) Pour une population de 37 Millions d'habitants, ces potentialités correspondent au taux de 460 m3/an /habitant. Parallèlement, la dégradation de la qualité de l’eau ne cesse de s’intensifier réduisant ainsi le potentiel hydrique de la planète, en effet le pouvoir auto-épurateur de la nature s’avère insuffisant face aux multiples rejets issus des différents usages domestiques et industriels. Le rejet des eaux usées chargées en substances polluantes dans le milieu naturel récepteur sans aucun traitement préalable est un motif de préoccupation compte tenu des effets indésirables qu’elles peuvent engendrer. Pour parer a cela, un effort est observé depuis plusieurs dizaines années. Dans l’optique d’une obligation générale de dépollution des eaux usées, la station d’épuration reste l’outil fondamental. (5) Le but de notre travail est de contrôler la qualité de l’eau destinée pour l’irrigation à travers des analyse chimique, en vérifiant les teneurs en cations Na+, Mg2+ et Ca2+ entrantes dans la composition de cette eau. Introduction générale 2 La première partie théorique, dont la quelle il fallait définir l’assainissement, l’origine des eaux évacuées, différents systèmes d’assainissement et la réutilisation des eaux usées épurées. La deuxième partie pratique, dont la quelle des prélèvements ont été effectués sur des échantillons d’eau usées épurées à la sortie de la STEP de Saida, afin de définir les concentrations de certains paramètres essentiels pour une bonne réutilisation des eaux épurées. Chapitre 01 : Généralité sur les eaux usees CHAPITRE I GENERALITE SUR LES EAUX USEES 3 I.1.Introduction : Les eaux usées sont des mixtures diluées provenant de différents rejets à savoir : résidence, commerces, industries et autres places publiques. A travers ce chapitre, nous essayerons d’offrir un aperçu général sur la provenance, les caractéristiques ainsi que le traitement des eaux usées. Nous distinguons trois grandes catégories d’eaux usées : - Les eaux domestiques. - Les eaux industrielles. - Les eaux pluviales. « 2 » I.2.Les eaux domestiques : Proviennent de différents usages domestiques de l’eau et sont essentiellement porteuses de pollution organique. Elles se repartissent en eaux ménagères (qui ont pour origine les salles de bains et les cuisines), qui sont chargées de détergents, de graisses, de solvants, de débris organiques… et en eaux de vannes (provenant des sanitaires) contenant les matières organiques biodégradables et des micro-organismes, charges de divers matières organiques azotées et de germes fécaux. « 2 » I.3.Les eaux industrielles : Leurs caractéristiques varient d’une industrie à l’autre. En plus de matières organiques, azotées ou phosphorées, elles peuvent également contenir des produits toxiques, des solvants, des métaux lourds et des micropolluants organiques. « 2 » I.4.Les eaux pluviales : Ces eaux peuvent être fortement polluées, en particulier en début de pluie, fait : a- De la dissolution des fumées dans l’atmosphère. b- Du lavage des chaussées grasses et des toitures chargées de poussière. c- uploads/Litterature/ la-reutilisation-des-eaux-usees-epurees-a-des.pdf
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- Publié le Fev 21, 2021
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