LE GENRE AUTOBIOGRAPHIQUE Autour le genre de l'autobiographie il y a une sort d

LE GENRE AUTOBIOGRAPHIQUE Autour le genre de l'autobiographie il y a une sort de nébuleuse, qui porte à faire d'un tout des différents gendre qui peuvent paraître des autobiographie, mais qu'ils ne le sont pas. En effet, les écritures de soi ne comprennent pas seulement les autobiographies. Ils font partie de la littérature de soi aussi le journal intime, les roman autobiographique, l'autofiction et la correspondance. Il y a trois caractères, trois identité fondamental dans la littérature de soi: l'auteur, le narrateur et le personnage principal. L'auteur est la personne réelle qui écrit l'œuvre et qui a la propriété intellectuelle du livre. Il est le créateur et le producteur du livre. Le narrateur est celui qui raconte l'histoire. Il n'est pas forcément un personne réelle. Normalement le narrateur n'est pas l'auteur sauf dans une autobiographie. C'est une voix, pas nécessairement une personne. Autobiographie: c'est un texte en prose dans lequel l'écrivain parle de sa propre vie en Ière personne de manière rétrospective, c'est-à-dire avec un distance temporelle entre le temps de la narration et le temps des événements racontés. Le personnage principal coïncide avec l'auteur et avec le narrateur. Journal intime: il y a une coïncidence entre l'auteur, le narrateur et le personnage principal. Il est un récit fait de jour en jour, sans une distance temporelle et sans une distance critique. La vision de l'auteur change de jour en jour , l'écriture est discontinue et fragmentaire, tandis que dans l'autobiographie il y a un synthèse de tout cela. L'auteur, en autre, n'est pas concentré forcément sur soi même. Mémoires: le narrateur est souvent un simple témoin des événements. Le narrateur et l'auteur sont souvent la même personne mais il n'y a pas un focus sur soi même. Les mémoires sont des documents précieux pour les historiens. Roman autobiographique: le roman autobiographique est d'avant tout un roman. On sait que ce qu'on va lire ne correspond forcément à la réalité; la narration est fictive. Le personnage principal n'est pas forcément l'auteur, il portent souvent un nom différent. L'auteur parle en 3ème personne. En le lisant, le lecteur peut penser que l'histoire est en grande partie celle de l'auteur, mais toutefois il ne sait pas combien de ce qu'il lit est vrai. Autofiction: l'autofiction est un concept relativement récent naît '70 et qui était très à la mode. Il est un genre littéraire qui se définit contradictoire et ossimorique puisque il revendique la triple personnalité mais pas tout ce qui l'auteur écrit est vrai: il revendique aussi une partie de fiction. Correspondance: la correspondance est un échange de courrier généralement prolongé sur une longue période. nous sommes forcés d'avoir une correspondance entre l'auteur est le narrateur mais le personnage principal n'est pas l'auteur. (cerca bene) Biographie/biofiction: il trait de la vie d'une personne réelle mais il est reconstruite par une autre personne. Récit de vie: il est trnsctit par un rédacteur qui donne la forme finale de cette œuvre. Il produit en réconstruyant des entrevue posées à des gens peu scolarisées. Narration Omodiégétique: le narrateur est présent dans la narration Narration Eterodiégétique: le narrateur est absent Pour Claude le Jeune il faut chercher l'esthétique de l'autobiographie, qui n'est pas un récit où l'auteur parle de soi, mais elle raconte l'histoire de sa personnalité dans un mouvement récapitulatif du syntèse du moi. Dans la construction de la personnalité est très importante l'enfance, selon Le Jeune. C'est parce que l'enfance et l'adolescence sont très importantes que certaines autobiographies cessent très tôt, après l'adolescence, parce que la personnalité c'est déjà formée. Bien que l'enfance est importante, pas toutes les mémoires d'enfance peuvent faire partie de l'autobiographie. Il faut avoir un récit cohérent et synthétique mais il y a de cette façons un obstacle: la fidélité. Ils existent deux extrêmes : d'une partie la volonté de faire un récit cohérente, de l'autre la fidélité car l'auteur s'engage à dire la vérité. L'autobiographie selon Lejeune: VEDI SLIDES AUTOBIOGRAPHIE EN FRANCE (1971) E LE PACTE AUTOBIOGRAPHIQUE (1975) Cette dernière définition mets en jeu des éléments de 4 différentes dimensionnes:  il doit être un récit en prose le sujet doit être le récit de l'histoire de sa propre personnalité il faut avoir une narrateur réel il faut avoir une identité entre le narrateur, l'auteur et le personnage principal et le récit doit être rétrospective Il y a une opposition fondamentale avec le roman autobiographique, mais parfois le roman autobiographique peut mimer l'autobiographie. Tout se base sur la fidélité envers l'auteur, qui nous assure que cela est son histoire, mais l'auteur peut confirmer ou nier l'aspect autobiographique dans le paratexte, comme le nom de l'auteur sur la couverture. Dans une autobiographie l'auteur est engagé à dire la vérité et pour cette raison on s'attende que l'auteur n'embrouille pas en altérant la vérité des faits. Nous pourrions accuser un livre de mentir seulement si se traite d'une autobiographie, nous ne pourrions pas accuser un roman autobiographie de mentir. En autre, la vérité de l'autobiographie engage aussi une question juridique, comme dans le cas de Rigoberta Menchù Tum. Auteur=narrateur=personnage. Ces-ci sont les conditions générales pour qu’il y ait une autobiographie. Ces instances doivent parler à l’unisson. Mais pourquoi l'autobiographie doit être forcément en prose ? Ce n'est pas une question technique, mais on fa des considérations psychologiques : pour le lecteur moderne la forme poétique suppose un effort de réorganisation formelle qui empêche le lecteur de croire que l'auteur aille eu une libre ouverture au récit du soi. En ce qui concerne la correspondance, c'est difficile de croire que dans une lettre quelqu'un puisse résumer et retracer tout sa propre vie et en autre la correspondance naît dans un milieu privé, tandis que l'autobiographie est écrite visant à la publication. À partir de la seconde moitié du XVIII siècle/début du XIX siècle, on a une grande diffusion de l'autobiographie, vue comme une nouvelle manière pour écrire des mémoires. Le mot « biographie » est attesté dans les dictionnaires de toute l'Europe du début du XIX siècle. On commence à considérer importante la littérature de sa propre vie et de l'histoire des privés écrite par eux même. L'autobiographie naît comme une nouvelle forme de biographie et passe à travers le roman autobiographique écrit en première personne. Aussi avant de l'affirmation de ce genre comme nous le connaissons aujourd'hui, nous pouvons encontre des gendre similaires précédents. Avant le XVIII siècle, nous avons quelque cas d'autobiographie religieuse, comme Les Confessions de S. Agostino, mais il n'étaient pas des vrais autobiographies. C'est dans la Renaissance que on a un profond intérêt par l'individu. La recherche intérieure n'était pas faite pour se connaître, mis pour montrer le sens de sa vie, l'auteur cherche le sens de sa propre vie et c'est à a cause de cette recherche que l'autobiographie est écrite. L'importance est donnée à la description de la présence de Dieu dans sa propre vie, pour montrer la puissance de la conversion et de la confession religieuse. En ces qui concerne les écrits des Montaigne, ils sont plus des autoportraits que des autobiographies. Il dit : « C'est moi qui parle », mais il n'y a pas une cohérence, le récit a des traits discontinus, ce n'est pas un vrai récit de formation de sa propre personnalité. Aussi celle de Descartes n’est pas une vrai autobiographie puisqu’il fait une recherche dans l’esprit d’un individu, qui ensuite propose comme une vision de vie pour tout le monde. Modèle de communication qui annonce des communauté d’instance, instance narratives et leur(s) destinataire(s) :  L’écrivain s’adresse au consommateur (futur lecteur)  L’auteur s’adresse au lecteur  Le narrateur s’adresse au narrataire (le narrataire n’existe que dans et par le texte, au travers de ses mots ou de ceux qui le désignent. Il est celui qui, dans le texte, écoute ou lit l’histoire. Il existe dans le texte, sans signes explicites renvoyant à lui. On peut le considérer comme une sorte de lecteur « idéal » visé par le texte, mais non figuré, reconstructible au travers des compétences, des savoirs et des valeurs que le récit suppose pour être pleinement compris et apprécié.  Le personnage s’adresse au personnage PARATEXTE, PERITEXTE ET EPITEXTE … ET LE TEXTE Le paratexte est l’ensemble des éléments entourant un texte et qui fournissent une série d’informations. Le paratexte est constitué du péritexte et de l’épitexte. Epitexte. L’épitexte est l’espace loin du livre mais qui parle du livre (revues, magazines, essais, interview, lettres). Il inscrit le livre dans le cadre conventionnel codifié socialement. Cet espace est réel, l’écrivain et les commentateurs peuvent s’y exprimer et débattre. Selon Lejeune on peut y décider si le texte appartient à la fiction ou non. Cet espace peut aussi contredire le péritexte et orienter le directeur différemment. Péritexte. Le péritexte est l’espace dans le livre, mais hors du texte, où chacune des instances qui est intérieurs da la construction de l’œuvre peut laisser sa trace (maison d’éditeur, imprimeur, le directeur de la collection, le traducteur, l’écrivain). Nous sommes encore dans le cas où la réalité peut s’exprimer. uploads/Litterature/ le-genre-autobiographique.pdf

  • 26
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager