Sic. Paris : [Pierre Albert Birot?] 1916-1919. http://hdl.handle.net/2027/pul1.
Sic. Paris : [Pierre Albert Birot?] 1916-1919. http://hdl.handle.net/2027/pul1.ark:/88435/vh53wz39d Public Domain in the United States http://www.hathitrust.org/access_use#pd-us We have determined this work to be in the public domain in the United States of America. It may not be in the public domain in other countries. Copies are provided as a preservation service. Particularly outside of the United States, persons receiving copies should make appropriate efforts to determine the copyright status of the work in their country and use the work accordingly. It is possible that current copyright holders, heirs or the estate of the authors of individual portions of the work, such as illustrations or photographs, assert copyrights over these portions. Depending on the nature of subsequent use that is made, additional rights may need to be obtained independently of anything we can address. Prix 0,20 Parait une fois par mois Janvier 1916 Adresser tout ce qui concerne * S X c * à Pierre ALBERT-BIROT, Directeur 37, Rue de la Tombe-Issoire — Paris. î QIA Desireux de faire connaissance avec tous ses amis, reçoit: l le Samedi soir à partir de 8 h. 11 le Mardi de 5 à 6 h. i 37, Rue de la Tombe-Issoire (| 11-, Rue de Maubeuge j ♦ ♦ 4♦ ♦♦ •••««•♦♦♦♦♦♦ *«•« ««»•»♦ *•♦♦ •• i ♦ SOHS IDÉES COTJIDBXJÏIS FORMES PREMIERS MOTS. Notre volonté: * Agir. Prendre des initiatives, ne pas attendre qu'elles nous reviennent d'Outre-Rhin. Notre désir: Regarder, voir, entendre, chercher, et vous emmener avec nous. ' . - - ; ■ * V Aimer la vie et vous le dire ; la vivre et vous y convier. \ Un jour vous ne compreniez pas telle chose que vous com prenez aujourd'hui;' rappelez vous combien cette chose était inexistante pour vous AYANT, et combien elle existe * / DEPUIS; rappelez-vous, rappelez-vous, et ne dites pas: je* / ne comprends point telle chose, donc elle n est pas. Venez avec nous, regardons, voyons, entendons, cherchons. SIC ETC... (suite) La Lucarne Ovale — Pierre Reverdy (Deuxième édition). Celle-ci est toute, petite, elle est très a l'aise dans une poche de veston. Tous les livres de poèmes devraient paraître en deux éditions: l'une serait un majestueux in-folio et l'autre un intime in-32. L'immortalité littéraire selon M. de Goncourt. Léon Deffoux. «Avec les éléments d'ob servation recueillis par Alphonse Daudet nous expliquerons aisément et la forme du tes tament, et la création de FAcadémie, et la nature de ce journal dont l'Académie a la char ge expresse de publier l'intégralité vingt ans après la mort de son fondateur, c'est-à-dire en 1916. » Et en effet M. Léon Deffoux explique tout cela, ce qui ne laissera pas d'être agréable aux curieux de lettres qui aiment les explications. En passant l'auteur nous pré sente un parrain littéraire des Goncourt : Pierre-Charles de Yilledeuil, un personnage qui a failli être extraordinaire. Air à jouer après cinq heures. Pierre Grange. Ce n'est pas une chose considérable, certes, mais il y a dans ces premiers chants une certaine sensibilité vraie qui me paraît mériter une mention dans Sic. Il se pourrait que l'auteur tournât bien. André G-odin, sa vie et son œuvre. Berthe de Ngse. — Pour nous qui voulons être intè gres nous devons repousser toute influence née de considérations étrangères à l'art. Or la mort me parait bien être une considération de ce genre. En ces temps où tellement de jeunes hommes disparaissent, pour se consoler ceux qui les ont beaucoup aimés leurs donnent beaucoup de valeur : c'est humain. Ce bénéfice d'ailleurs s'étend aux blessés, aux mutilés, aux combattants. Pour moi un poème reste le même qu'il ne soit pas ou qu'il soit l'œuvre d'un héros, et j'estime que nous devons juger un auteur mort exactement comme nous le jugerions s'il était vivant. André Godin nous est donné comme un grand, un pur poète, je ne puis souscrire à cette affirmation que les pages données ici ne me paraissent pas justifier. Je ne vois là qu'un esprit cultivé, curieux des choses lointaines, mais abondan ce de connaissances n'est pas richesse de création et je tiens à m'élever très franchement contre cette erreur qui tend a établir une confusion entre le savant littéraire et le poète. Il faut que l'un ou l'autre prédomine. Pour être juste il convient de reconnaître que dans les proses " inconditionnées " le poète s'éfforce assez victorieusement à dominer le savant et peut-être que si André Godin avait eu la faveur de vivre des années de plus il aurait lais sé après sa mort les grands, les purs poèmes que Mme Berthe de Nyse veut qu'il aitlaissés dès 1916. Essai de Cathéchisme - Léon Meunier L'auteur, comme tant d'autres, estime que le catholicisme ne peut plus nous convenir et il nous propose un " système " très chrétien. Autant vaudrait revenir au pur Calvin. Oui il nous faut un culte, mais allumeur non extinc teur. Ariste Nantes. M. Ker- Frank - Houx m'accuse et il ne me pardonne pas : j'ai commis un crime philologique. J'ai écrit : les moderne ne recherchent que la vérité, il c.d assez naturel qu'ils soient incompréhensibles ; Mr Ker-Frank-Houx eut voulu je crois, incompris. Certes, à la lettre, il a raison, mais j'ai pensé et je pense encore que dans nos revues il nous est permis d'aller au delà et je ne puis croire que l'esprit qui m'a dicté incompréhensible soit nié par un écrivain qui n'en est évidemment pas privé. Pour moi je lerai un reproche plus grave au directeur de cette publication de goût. Pour quoi les Essais Ariste sont-ils si inférieurs à la Chronique? Il y a là une idée très intéres sante et une réalisation séduisante, on regrette de ne point voir de belles choses en faire l'objet. Les cahiers idéalistes M.Edouard Dujardin et ses collaborateurs continuent ponctuel lement à publier des pages austères. A noter dans le n° de Mars des conseils de M. Marcel Martinet qui ne sont pas à dédaigner ; dans le n° d'Avril une étude un peu simple de Mr Harold F. Mac Cormick sur la préparation de la paix; dans le n® de Mai un acte puérile ment évangélique de M. Mathias Morhardt, un article dithyrambique de Louis de Gonza gue-Frick sur " La Renaissance " de Walter Pater, une lettre pleine d'altière noblesse du lieutenant J. G. D. sur les préparations militaires, un poème " explicatif " de Mr Edouard Dujardin. On s'étonnerait que Sic ne s'élevât pas contre cette façon d'utiliser la poésie. L?éveutail Genève —On sent dans cette revue si sympathique déjà par sa présentation soignée que la direction a le vif désir de se mettre à l'heure de la Tour Eiffel, M. François Laya n'a pas manqué de prendre nettement position, notamment à propos des Mamelles de Tirésias et du livre de Lefèvre. (Dans le n° de Mars l'Eventail annonce une édition de luxe de " Douze nuits " de Claude Misery avec 8 desseins de Gustave Buchet. D'après la revue elle même et d'après le spécimen nous pouvons imaginer quelles joies vos éditions Messieurs, apporteront aux yeux des bibliophiles. vous qui pouvez bellement imprimer soyez bénis et enviés.) L'Horizon — Secteur 12.— J'en ai reçu plusieurs de ces journaux de tranchées, hélas on ne peut jamais rien en dire. Celui-ci a de meilleures intentions puisqu'a côté de choses à passer j'en ai trouvé une à lire. Cet article a pour titre " l'Art et la guerre " ( dans le n° 11) Cet article il faut bien le dire est surtout constitué par une citation empruntée à une étude de Félix Yalloton — étude que je n'ai jamais eu le plaisir de recevoir — mais je félicite Mr S. d'avoir mis cette bonne page à l'Horizon et je souhaite qiril se plaise à en glisser d'au tres de même intérêt. Vellinou — Barcelone. —Je n'ai encore jamais rien dit de cette publication parce qu'el le est plutôt " vell " que non mais je veux une fois au moins remercier la direction qui m'en fait l'envoi très régulier et lui dire ici que j'ai beaucoup de joie à contempler les re productions de ces grandes œuvres de jadis que m'apporte presque chacun des numéros de cette revue et que bien souvent if m'arrive de feuilleter la très belle collection qu'elle constitue déjà. La Bevista. — Barcelone. — Je reçois régulièrement cette docte revue qui s'est occupée mainte fois de Sic intelligemment. Un très sympathique confrère catalan qui va devenir mon collaborateur régulier et s'occupera ici du mouvement de Barcelone aura très certai nement l'occasion de faire des réflexions intéressantes à l'occasion des sérieuses études publiées dans la Revista. Trossos — Barcelone — Cette revue fondée par J. M. Junoy (1) est maintenant dirigée par J. Y. Foix. C'est a la vérité une parente de Sic qui lui offre très sympathiquement le pain et le sel. Sic est très heureux de cet hommage rendu à son rude labeur et il se doit de di re ici que c'est à Barcelone, la ville vivante, qu'il uploads/Litterature/ paris-pierre-albert-birot-1916-1919-public-domain-in-the-united-states.pdf
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- Publié le Sep 22, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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