FORMATION : PROGRAMME DE 3E ACTIVITÉ FORMATEUR ACTIVITÉ STAGIAIRES DURÉE 9h‐9h3

FORMATION : PROGRAMME DE 3E ACTIVITÉ FORMATEUR ACTIVITÉ STAGIAIRES DURÉE 9h‐9h30 Introduction Mot d’accueil, Conditions Bilan sur mes pratiques Noter ce qui se fait, les attentes S’assurer du respect de l’écoute ****RASSURER LES STAGIAIRES**** Remplir le questionnaire Prévoir les documents Explications sur les activités 9H 30‐9H 45 Enseigner les sciences physiques aujourd’hui Présenter les attentes des programmes, des inspecteurs Discussion 9H50‐10H10 Programme de 3e Présentation des ajouts et des suppressions dans le programme et recommandations du BO Discussion 10h25‐10h45 Une démarche d’investigation en 3e Rappel sur les étapes de la démarche d’investigation + document élève Sir Copper Lecture et discussion sur les situations déclenchantes Attention à la pseudo‐démarche 10h45‐12h00 Le socle commun Diaporama + les compétences en sciences physiques Grille du pilier 3 Compétences expérimentales Commentaires 13h‐ 13h15 Les thèmes de convergence Rappelle sur les thèmes de convergence + exemple (sécurité et santé) Commentaires 13h15‐16h 9h‐12h 12h‐15 h Réalisation de séquences sur les nouvelles parties Distribuer les thèmes de travail Réalisation de séquences ou amélioration des séquences en intégrant les exigences du BO 15h‐16h Des outils pour nos cours Vidéos, logiciels … Commentaires Bilan sur mes pratiques Bilan sur mes pratiques en sciences physiques Depuis trois ans, nous vivons la refonte des programmes en sciences physiques. Et moi ? Où j’en suis dans mes pratiques ? D’une façon générale, pendant mes cours, Je privilégie une approche pédagogique participative o oui (Quels avantages ? Quels inconvénients ?) o non (Quels avantages ? Quels inconvénients ?) Je prévois une ou plusieurs manipulations (TP découverte, DI, TP évalué) par séquence ? o oui o non J’arrive à boucler mon programme En 5e : o oui o non En 4e : o oui o non En 3e o oui o non Je m’appuis souvent sur les acquis (de l’école primaire, culture de l’enfant) des élèves o oui o non Je diversifie les formes d’évaluation (formative, sommative, diagnostique, expérimentale) o oui o non J’aborde l’Histoire des sciences avec mes élèves o oui o non 5e 4e 3e Mon ressenti J’ai mise en place des démarches d’investigation Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? J’ai mise en place des évaluations expérimentales Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? J’ai mis en place quelques thèmes de convergence Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? Ai je été inspecté ces 2 dernières années ? Suis‐je inspecté cette année ? Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? Ai je évalué des compétences du B2i ? Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? Partie du programme ? Thème ? Je tiens compte du socle commun dans la réalisation de mes séquences J’utilise une grille d’évaluation de diverses compétences (transversales, disciplinaires, interdisciplinaires) que j’utilise lors des bilans. Mes attentes de cette formation Enseigner les sciences physiques aujourd’hui ENSEIGNER LES SCIENCES PHYSIQUES AUJOURD’HUI SOCLE COMMUN Pratiquer une pédagogie participative, qui invite à l’élève à évoquer ses conceptions, à se confronter à des faits expérimentaux, à s’exprimer sur différents supports, à échanger avec les autres, à inventer des protocoles expérimentaux, à construire son savoir (voir modèle constructiviste) Aborder l’Histoire des sciences Pratiquer la démarche d’investigation Evaluer des compétences du B2i, du socle commun Diversifier les évaluations (Diagnostique, formative, sommative, gestes expérimentaux Aborder les thèmes de convergence Intégrer l’outil informatique Voir CANEVAS DE LA DÉMARCHE D’INVESTIGATION + EXEMPLE EN 3E Voir le tableau Histoire des sciences en 3e Voir tableau les thèmes de convergence en 3e Voir l’exemple d’évaluation diagnostique en 3e pour la partie électricité Voir « fiche outil » La démarche d’investigation. Le canevas d’une démarche d’investigation : Choix d’une situation déclenchante situation problème Je fais émerger les acquis, les conceptions. J’adapte mon projet d’enseignement Appropriation du problème par les élèves Formulation de conjectures, d’hypothèses Mise en place de protocoles expérimentaux possibles pour résoudre l’étape 3 Etape 1 Etape 2 Etape 3 Etape 4 Etape 5 Investigation, résolution du problème Structuration des connaissances Réinvestissement J’aide à la reformulation du problème, je vérifie la compréhension de celui‐ci J’invite les élèves à une formulation orale ou écrite (confrontation des divergences) J’invite les élèves à élaborer des expériences J’apporte le matériel nécessaire à l’élaboration des protocoles expérimentaux J’invite les élèves à mettre en commun leurs résultats, à valider les conjectures ou hypothèses en argumentant Je propose des activités pour réinvestir les connaissances construites Etape 6 Etape 7 Histoire des sciences. HISTOIRE DES SCIENCES EN 3e : Partie du programme Problème Connaissance Activité documentaire A La chimie : la sciences de la transformation de la matière A1.2 : l’électron : comprendre la conduction électrique Constituant de l’atome : noyau et électron Histoire de l’électron Histoire du modèle de l’atome A1.5 : approche de l’énergie chimique : une pile électrique. Comment une pile peut‐ elle être une source d’énergie . Le courant électrique est dû à : ‐ un déplacement d’électrons dans le sens opposé au sens conventionnel du courant dans un métal ‐ des déplacements d’ions dans une solution aqueuse Définition historique du sens conventionnel du courant électrique Les espèces chimiques présentes dans une pile contiennent de l’énergie chimique dont une partie est transférée sous formes d’énergie lorsqu’elle fonctionne. L’énergie mise en jeu dans une pile provient d’une réaction chimique : la consommation de réactifs entraine l’usure de la pile. Invention de la pile B Energie électrique et circuits électriques en alternatif B1 : de la centrale électrique à l’utilisateur Tension continu et tension variable au cours du temps ; tension alternative périodique. Période. Valeurs maximal et minimale d’une tension. Courant continu ou courant alternatif ? C De la gravitation à l’énergie mécanique C1 : interaction gravitationnelle La gravitation gouverne tout l’Univers (système solaire, étoile et galaxie) L’Histoire de l’astronomie Pourquoi deux espèces d’électricité ? Pourquoi deux sens du courant électrique ? L’histoire de l’électricité nous aide à comprendre. En 1729, l’Anglais Stephen Gray (1666-1736) découvre le phénomène de conduction. Gray et ses amis inaugurent alors la série des expériences-spectacle si célèbres au XVIIIème siècle : des jeunes gens sont suspendus au plafond par des cordons de soie ou isolés sur des tabourets de verre. Les étincelles qu’on leur arrache du nez après les avoir électrisés ou les feuilles d’or battu qu’ils attirent à distance distraient les salons des riches familles et alimentent la réflexion des Philosophes. Parmi ceux-ci le français Charles-François Dufay (1698-1739). À partir d’expériences sur l’attraction et la répulsion Dufay comprend qu’il existe deux espèces d’électricité mais meurt trop jeune pour bien défendre sa théorie. L’Américain Benjamin Franklin (1706-1790) est celui qui introduira des concepts et un vocabulaire que nous utilisons encore aujourd’hui. Il considère d’abord l’électricité comme un fluide qui imprègne tous les corps. Le fluide électrique est pour lui unique, un corps chargé positivement en porte une quantité supplémentaire, un corps chargé négativement en a perdu. «Plus» et «moins» ne sont donc pas une nouvelle convention pour désigner deux électricités différentes mais ont le sens réel de gain et de perte. On lui doit la découverte du paratonnerre. Nous sortirons de cette première période avec la vision d’un monde des "électriciens" très divisé. D’un côté ceux qui, avec Franklin, ne croient pas à l’existence de deux espèces d’électricité. De l’autre ceux qui, à la suite de Dufay, y croient fermement et imaginent donc l’existence de deux courants électriques se déplaçant en sens inverse l’un de l’autre dans les conducteurs. Volta et sa découverte de la pile, Davy et l’électrolyse, Oersted, Ampère et l’électromagnétisme, ne changent rien à l’affaire. Vers 1900, suivant que l’on est d’un côté ou l’autre du Channel, on enseignera une théorie différente. Celle d’un fluide, et donc d’un courant, unique en Angleterre. Celle de deux espèces d’électricité et de deux courants en France. Il sera paradoxal de constater que Ampère, qui a défini le "sens conventionnel" du courant, est un partisan de la théorie des deux fluides et que, en tant qu’inspecteur de l’Instruction publique, il est l’un de ceux qui aura ancré cette théorie dans la science française. A la suite de ses travaux il nous parle du sens du courant électrique il faut retenir qu’il désigne le sens de circulation du fluide positif. «Il suffit de désigner la direction du transport de l’un des principes électriques, pour indiquer, en même temps, le sens du transport de l’autre ; c’est pourquoi, en employant dorénavant l’expression de courant électrique pour désigner le sens dans lequel se meuvent les deux électricités, nous appliquerons cette expression à l’électricité positive, en sous­entendant que l’électricité négative se meut en sens contraire»12.: 12. Ampère : «Action mutuelle des courants électriques et des aimants» in «Exposé des Nouvelles Découvertes sur l’Électricité et le Magnétisme, par MM. Ampère, Membre de l’Académie Royale des Sciences, Professeur à l’École Polytechnique et Babinet, Professeur au Collège royal de Saint-Louis. Paris 1822, page 4. Stephen Gray découvre la conduction (Les uploads/Litterature/formation.pdf

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