La compétence professionnelle est constituée de trois processus cognitifs intri
La compétence professionnelle est constituée de trois processus cognitifs intrinsèquement liés qui sont activés lors de la planification et l’exécution de tâches professionnelles : La connaissance (le savoir), La pratique (le savoir-faire), Les attitudes (le savoir-être) dans le contexte de l’entreprise. 1. LE SAVOIR Le savoir est l’ensemble des connaissances acquises par l’apprentissage (études, lectures, etc…) ou l’expérience. Si ce savoir tend à s’enrichir, il peut aussi se dégrader. Il possède surtout la précieuse qualité d’être composé d’une multitude de savoirs utilisables et communicables. 2. SAVOIR-FAIRE Le savoir-faire est l’expérience pratique qui témoigne de la maitrise technique d’un domaine et qui permet l’application d’une connaissance, d’un savoir. C’est donc l’habileté à mettre en œuvre son expérience et ses connaissances acquises dans un art ou un métier quelconque. 3. SAVOIR-ÊTRE Le savoir-être est lié à votre attitude, à vos valeurs. Ce sont les qualités personnelles et comportementales dont vous allez faire preuve dans le domaine professionnel (courtoisie, maîtrise de vos émotions, bon relationnel, capacité à travailler en équipe…). Ce sont typiquement les compétences que l’on n’apprend pas à l’école mais qu’on utilise tous les jours. Elles vont refléter la manière dont vous réagissez dans l’environnement professionnel. Petite précision, on parle bien ici de votre comportement au sein de la tribu : vous pouvez être bordélique chez vous et méticuleux et rigoureux au travail. L’un n’empêche pas l’autre. Rappelons que l’objectif clé du MSTCF c’est de formé des étudiants à l’environnement du travail, non seulement au niveau de la compétence mais aussi au niveau des aptitudes. Afin qu’ils répondent aux atteintes des entreprises et qu’ils aient la capacité de prendre des décisions en tant que leader. C’est une fois mis à profit pour exécuter une tâche professionnelle que les savoirs prennent de la valeur pour l’entreprise. Si le savoir, associé au savoir-faire, était traditionnellement la priorité des recruteurs, le savoir-être gagne désormais en importance. De nos jours, le savoir-être en entreprise est un facteur clé de l’évolution professionnelle, ce sont les comportements qui font la cohésion et la performance de l’entreprise. En effet, notre quotidien au travail et bouleversé par les nouvelles technologies et les multiples changements sociologiques et concurrentiels. Cela nous oblige à nous réinventer, solliciter des compétences différentes de celles de nos parents et apprendre à manager autrement. L’information est à portée de clic. Les équipes doivent être en mesure de s’adapter et d’apprendre en continue pour suivre le marché et innover. Ainsi, les entreprises recherchent désormais des tempéraments intuitifs, chaleureux et optimistes qui vont interagir de façon harmonieuse avec les autres membres de la tribu pour aider à collaborer ensemble. Le fait de s’attacher davantage au savoir-être permet à l’entreprise de trouver des individus capables de contribuer au-delà de leurs compétences techniques. À quoi bon être le plus expérimenté sur un sujet si personne n’aime travailler avec nous ? Si par exemple, vous êtes de ceux qui voient toujours le verre à moitié vide, apprenez à cultiver votre optimisme au travail ! Les entreprises dédient de plus en plus de temps et de budget à instaurer l’harmonie et l’efficacité au sein de la tribu pour augmenter la productivité. 4. CULTURE GENERALE Alors que les Grandes Écoles des SCIENCES ET TECHNIQUE COMPTABLE FINANCIERE proposent des entretiens de personnalité, mais aussi une épreuve mixte qui commence par un bref travail de culture générale suivi de l'entretien évoqué, MSTCF suggère aux étudiants admissibles l'oral de culture et sciences humaines. Désignée plus usuellement par les candidats comme oral de culture générale, cette épreuve leur fait rencontrer des intitulés aux formes variées. Le jury, composé d'un professeur de lettres et d'un professeur de (matière de la culture), va évaluer votre prestation sur un sujet, de façon à pouvoir comparer et hiérarchiser la rigueur, l'inventivité, la maîtrise par les admissibles de repères culturels de tous ordres. Il faut éviter de Meubler avant même d'édifier. Il ne convient pas de se précipiter pour " placer " des références qui seraient comme appelées magiquement et directement par l'intitulé De Juxtaposer. Il n'appartient pas au jury de deviner le lien entre ce qui est annoncé artificiellement comme première partie, deuxième partie et troisième partie. De Se contenter d'affirmer et mettre ainsi le jury devant du " factuel ". On se méfiera particulièrement de l'argument dit " de fait ", qui prétend en appeler directement à l'évidence il est pertinent, sans perdre de vue ce qui est commun à toute dissertation orale, d'envisager des stratégies spécifiques pour affronter une notion ou un couple de notions, une question, un proverbe, une citation, une opposition, une équivalence, une référence littéraire ou mythologique. Il faut savoir argumenter, illustrer, savoir conclure, ne pas paniquer, faire confiance à sa culture personnelle. uploads/Management/ document-4.pdf
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- Publié le Fev 05, 2021
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