• G 4 Les Carrés du dcg 8 – Systèmes d'information de gestion 2 Matériels, rése

• G 4 Les Carrés du dcg 8 – Systèmes d'information de gestion 2 Matériels, réseaux et sécurité informatique Le micro-ordinateur 75 Les périphériques 83 Les réseaux informatiques 91 L’interconnexion des réseaux 97 Les formats d’échange 107 Principes de sécurité informatique 111 Réglementation sur l’utilisation des données 121 3 Modélisation à l’aide de logiciels Le tableur et ses fonctions 125 Les algorithmes 141 Le modèle conceptuel de données (MCD) ou modèle entité –association et le modèle relationnel 151 Les extensions du MCD 159 Le système de gestion de bases de données relationnelles (SGBDR) 167 Les opérations de base en SQL 175 Les fonctions d’agrégation en SQL 183 Les tris et les regroupements en SQL 187 Les requêtes actions en SQL 191 Les requêtes paramètre, calculée et les sous-requêtes 195 4 Les logiciels « métiers » La gestion comptable et financière 199 La dématérialisation 203 Les outils collaboratifs 211 Fiche 15 Fiche 16 Fiche 17 Fiche 18 Fiche 19 Fiche 20 Fiche 21 Fiche 22 Fiche 22 Fiche 24 Fiche 25 Fiche 26 Fiche 27 Fiche 28 Fiche 29 Fiche 30 Fiche 31 Fiche 32 Fiche 33 Fiche 34 international.scholarvox.com:CESAG:321459934:88834583:41.82.166.128:1487170136 • G 73 Fiche 14 ♦ Les systèmes décisionnels B – Les outils fournis par le SIAD Selon Michel Volle, délégué général du « Club des maîtres d’ouvrage des SI », « les outils fournis par le SIAD sont : –  le tableau de bord comportant des alertes ; –  des tableaux préformatés contenant l’essentiel de la statistique et d’environnement ; –   des tableaux et graphiques restituant les résultats d’interrogation en utilisant la technologie « hypercubes » (l’analyse hypercube permet de croiser plus de deux critères) ; –  la restitution d’analyses sophistiquées utilisant les outils de « datamining » ». C – L’architecture d’un SIAD Un SIAD peut être représenté selon 3 couches (alimentation, stockage, exploitation) comme ci-dessous : Source : image extraite du site www.colombus.fr. 5 ♦ L’ENTREPÔT DE DONNÉES OU DATAWAREHOUSE L’entrepôt de données est défini par la Commission générale de terminologie et de néologie comme un « ensemble de données collectées dans une entreprise ou un organisme pour être exploitées par des outils d’aide à la décision ». Le concept est né dans les années 1980. Selon le Journal du Net, « si un entrepôt de données utilise le principe des bases de données relationnelles, il s’en distingue par de nombreux points. Tout d’abord, il n’applique pas un modèle relationnel précis, car les tables n’ont pas toujours une structure commune. Les entrepôts de données servent justement à croiser des informa- tions a priori non liées directement (exemple : rattacher les informations des systèmes de production avec celles du support client pour en tirer des requêtes qui font sens) ». international.scholarvox.com:CESAG:761775948:88834583:41.82.171.37:1487166989 • G 74 Les Carrés du dcg 8 – Systèmes d'information de gestion Selon J.-M. Franco et S. de Lignerolles, « un datawarehouse ne s’achète pas, il se construit ». En amont, ces données vont être : –  extraites ; –  épurées ou transformées : procédures de filtrage, de validation et de codage. En aval, l’entreprise utilisera des outils de requêtage, de reporting ou de datamining. 6 ♦ LE FORAGE DE DONNÉES OU DATAMINING Il est défini comme une : « méthode de recherche sur les bases de données de l’entreprise, éventuellement celles créées dans le datawarehouse, dans le but de détecter des situations ou des schémas d’actions non courants : par exemple, en bourse, des tractations anormales, en assurances, des comportements à risque, en distribution, des mouvements de stocks hors normes... Les outils de recherche ne travaillent pas sur des critères, mais sur des questions qui permettent de détecter des faits remarquables intervenus dans l’intervalle de temps examiné : recherche par association de paramètres (qui a fait quoi ?), recherche par occurrence (y a-t-il une rela- tion entre les deux faits ?) ou recherche par groupe de critères [...] » (source : Dictionnaire d’informatique, Michel Ginguay, Annette Lauret, Yves Waché). Attention ! La délégation générale à la langue française et aux langues de France préfère le terme : « exploration de données ». On peut également lire « fouille de données » ou encore « Extraction de Connaissances à partir de Données » (ECD ou KDD Knowledge Discovery in Databases). international.scholarvox.com:CESAG:761775948:88834583:41.82.171.37:1487166989 Fiche 15 1 ♦ DÉFINITION « Un ordinateur comprend une partie matérielle, constituée de circuits électroniques hautement intégrés, et des logiciels. La partie matérielle regroupe un ou des processeurs, une mémoire, des unités d’entrée-sor- tie et des unités de communication. Le processeur exécute, instruction par instruction, le ou les programmes contenus dans la mémoire. Les unités d’entrée-sortie sont constituées de claviers, d’écrans d’affichage, d’unités de stockage [...] d’impri- mantes, etc. Elles permettent l’introduction des données et la sortie des résultats. Les unités de communication autorisent la mise en relation de l’ordinateur avec des terminaux ou d’autres ordinateurs et la connexion à des services télématiques [...]. Les logiciels sont écrits dans un langage que l’ordinateur est capable de traduire en une série limitée d’ins- tructions élémentaires directement exécutables par les circuits électroniques. L’enchaînement des instructions est susceptible d’être modifié par les résultats mêmes des opérations effectuées ou par l’arrivée de nouvelles informations venues de l’extérieur. La fonction d’un ordinateur se limite à ordonner, classer, calculer, trier, rechercher, éditer, représenter des informations qui ont au préalable été codifiées selon une représentation binaire » (Larousse). Pour pouvoir fonctionner, un ordinateur standard a au moins besoin d’être équipé d’une carte mère, d’un micro- processeur, d’une mémoire centrale, d’une carte graphique, d’un écran, d’un clavier et d’un disque dur. Le terme « hardware » désigne l’ensemble des éléments matériels et le terme « software » désigne la partie logicielle. Le micro-ordinateur international.scholarvox.com:CESAG:761775948:88834583:41.82.171.37:1487166989 • G 76 Les Carrés du dcg 8 – Systèmes d'information de gestion 2 ♦ LES COMPOSANTS D’UN ORDINATEUR A – L’unité centrale Il existe deux significations à ce terme : –  la première, la plus courante, désigne le boîtier d’un ordinateur et tous ses composants internes (carte mère, processeur, mémoire vive, alimentation et périphériques de stockage) ; –  la seconde, moins courante mais plus précise, désigne une partie du processeur. B – Le processeur Il permet de manipuler des informations numériques (sous forme binaire) et d’exécuter les instructions stockées en mémoire. Pour cela, il reçoit et renvoie des données et commandes par du courant électrique (binaire 1 = le courant passe, 0 = il ne passe pas). L’horloge interne (ou la fréquence) d’un processeur fait vibrer un quartz. Son unité de mesure est le Hertz (Hz). Un processeur dit cadencé à une fréquence de 500 MHz signifie donc que le quartz produit 500 millions d’impulsions par seconde. Aujourd’hui, les composants des processeurs sont miniaturisés (on parle de microprocesseur) et regroupés sur une seule plaque : c’est un circuit intégré complexe. Un microprocesseur peut être divisé en quatre grandes parties : Les registres Les accumulateurs stockent le résultat de l’instruction traitée. Le compteur ordinal permet de retrouver l’adresse de l’information dans la mémoire. Les registres d’instructions enregistrent le code de l’instruction qui vient d’être lue dans la mémoire et ramenée dans le microprocesseur. Le décodeur Il sert à animer les circuits électriques nécessaires à l’exécution de l’instruction lue. Le séquenceur Il a pour but de mettre en place chaque section de microprocesseur en service à tour de rôle. L’Unité Arithmétique et Logique (UAL) Elle est chargée d’exécuter les opérations arithmétiques et logiques du programme. Les deux catégories de supports de processeur sont : –  le Slot (= fente) : c’est un connecteur rectangulaire dans lequel on enfiche le circuit imprimé verticalement ; –  le Socket (= embase) : c’est un connecteur carré possédant un grand nombre de petits connecteurs sur lequel le processeur vient directement s’enficher. Intel et AMD se partagent quasi entièrement le marché avec environ 80 % pour Intel et 20 % pour AMD. Ils produisent désormais des processeurs que l’on appelle dual core (et quad core et bientôt hexa/octo core) qui sont constitués de deux (quatre, huit) processeurs accolés. L’objectif étant de multiplier la puissance potentielle sans avoir à augmenter les fréquences. international.scholarvox.com:CESAG:761775948:88834583:41.82.171.37:1487166989 • G 77 Fiche 15 ♦ Le micro-ordinateur C – La carte mère 1) Définition et contenu La carte mère (en anglais « mainboard » ou « motherboard ») est le socle permettant la connexion de l’ensemble des éléments essentiels de l’ordinateur. Source : www.commentcamarche.net. La carte mère contient un certain nombre d’éléments intégrés sur son circuit imprimé : Le chipset C’est un ensemble de circuits destinés à seconder le processeur en se chargeant des com- munications entre les différents composants de la carte mère. Il se compose de deux puces : –  le Northbridge situé près du processeur auquel il est relié par le bus système et s’occupe des éléments les plus rapides du PC (mémoire vive, affichage) ; –  le Southbridge, relié au Pont Nord, qui gère les autres fonctions (disque dur, entrée/sortie...). Le CMOS (Complementary Metal-Oxyde Semiconductor) C’est une petite mémoire qui conserve certaines informations importantes (comme uploads/Management/ les-carres-informatique.pdf

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  • Publié le Sep 13, 2021
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