Oracle Administration Nouveautés Oracle 12c Oracle Database 12c apporte plus de
Oracle Administration Nouveautés Oracle 12c Oracle Database 12c apporte plus de 500 nouveautés. La plus importante, l’architecture multi-tenant, simplifie le processus de consolidation des bases de données dans le Cloud : les clients peuvent gérer de nombreuses bases de données comme si elles ne faisaient qu’une, sans changer leurs applications. Un simple conteneur multi-tenant peut héberger et gérer des centaines de bases de données enfichables : les coûts baissent drastiquement et l’administration en est grandement simplifiée. Nouveautés Oracle 12c Oracle Database 12c compte aussi une nouvelle banque de colonnes in-memory. En accélérant les requêtes de base de données, elle aide à prendre rapidement de bonnes décisions. Les applications existantes peuvent automatiquement et en toute transparence tirer parti du traitement in-memory sans aucun changement ni perte de fonctionnalités de base de données Oracle. De plus, Oracle Database 12c améliore les fonctionnalités de sécurité. Principales nouveautés (11g) Oracle Database 11g représente la nouvelle génération de la gestion des informations en entreprise, qui permet de faire face aux exigences qu’imposent la croissance rapide des volumes de données, l’évolution constante de l’environnement et la nécessité de fournir une qualité de service maximale tout en réduisant et en contrôlant les coûts informatiques. Oracle 11g offre une performance améliorée du stockage sur fichiers, des fonctionnalités renforcées pour la sécurité, d’importantes améliorations de performances pour Oracle XML DB, et des fonctions nouvelles pour l’OLAP et le datawarehouse. Principales nouveautés (11g) Oracle Database 11g reste centré sur le grid computing : il permet de constituer des matrices de serveurs et de systèmes de stockage économiques, capables de traiter les données de façon rapide, fiable et évolutive, en supportant les environnements les plus exigeants, qu’il s’agisse de datawarehouse, de transactionnel ou de gestion de contenus. Oracle 11g multiplie les outils de gestion et introduit de nouvelles fonctionnalités d’auto gestion et d’automatisation. Automatic SQL, Partitioning Advisor ou Support Workbench accompagnent les administrateurs pour améliorer les performances et les informer le plus rapidement possible des incidents. Principales nouveautés (11g) l Oracle Flashback Transaction permet de revenir plus facilement sur une erreur de transaction et de dépendances. l Parallel Backup and Restore augmente les performances des sauvegardes sur les grosses bases de données. l Hot Patching permet d’appliquer les mises à jour sans arrêter les bases. l Data Recovery Advisor accompagne les administrateurs pour déterminer intelligemment les plans de secours. Principales nouveautés (11g) l Oracle Fast Files adopte un comportement proche des systèmes de gestion de fichiers, ce qui est un gage de performances avec les objets de type LOBs (Large Objects) ou les fichiers contenant du texte, des images, des données XML ou encore les objets tridimensionnels. l Oracle XML DB permet de stocker et manipuler nativement les données XML. Le langage XML se révèle « lourd », et avec cette approche Oracle 11g limite la dégradation de ses performances. De même la base supporte les interfaces standard XQuery, Java Specification Requests (JSR)-170 et SQL/XML. Principales nouveautés (11g) l Oracle Transparent Data Encryption permet de crypter les données des tables, des index ou encore les données stockées de type LOB. l Cubes OLAP apporte des fonctionnalités de datawarehouse (fermes de données), Oracle 11g embarque les cubes OLAP pour visualiser les informations stockées, ce qui autorise le développement de requêtes au format SQL. l Continuous Query Notification notifie immédiatement les changements apportés dans la base de données Principales nouveautés (11g) l avec Query Result Caches, requêtes et fonctionnalité de la base ou d’applications tierces sont placées en cache afin d’optimiser leur accès. l Database Resident Connection Pooling est destiné aux applications qui ne sont pas multithreadées (en multithreaded server : MTS), par exemple pour certains systèmes Web, Oracle 11g permet de créer des « pools » de connexions en multithreaded server (MTS). Notion de grid computing A partir de la version 10g, la base de données intègre la notion de Grid Computing (réseau distribué d’ordinateurs hétérogènes en grille). Le but du Grid est de créer des pools de ressources : l De stockage l De serveurs Exemple Grid Computing Les deux applications présentées ci-dessous, Facturation et Comptabilité se partagent des ressources de deux serveurs. La gestion ASM (gestionnaire de fichiers : Automatic Storage Management) La nouvelle fonctionnalité Automatic Storage Management (ASM) permet à la base de données de gérer directement les disques bruts, elle élimine le besoin pour un gestionnaire de fichiers de gérer à la fois des fichiers de données et des fichiers de journaux. L’ASM répartit automatiquement toutes les données de bases de données entre tous les disques, délivrant le débit le plus élevé sans aucun coût de gestion. Au fur et à mesure de l’ajout et de l’abandon de disques, l’ASM actualise automatiquement la répartition des données. La gestion ASM (gestionnaire de fichiers : Automatic Storage Management) Pour utiliser ASM vous devez démarrer une instance appelée « ASM instance » qui doit être démarrée avant de démarrer l’instance de votre propre base de données. Les instances ASM ne montent pas de base de données (ensemble de fichiers constituant la base) mais gèrent les metadatas requises pour rendre les fichiers ASM disponibles à n’importe quelle instance de base de données. Les deux, instance ASM et instance « ordinaire » ont accès au contenu des fichiers. Communicant avec l’instance ASM seulement pour connaître le layout des fichiers utilisés. La gestion ASM (gestionnaire de fichiers : Automatic Storage Management) Règles de nommage dans Oracle Un nom de structure Oracle doit respecter les règles suivantes : l 30 caractères maximums l Doit commencer par une lettre l Peut contenir des lettres, des chiffres et certains caractères spéciaux (_$#) l N’est pas sensible à la casse l Ne doit pas être un mot réservé Oracle Notion de schéma Le terme SCHÉMA désigne l’ensemble des objets qui appartiennent à un utilisateur, ces objets sont préfixés par le nom de l’utilisateur qui les a créés. Il s’agit d’une notion logique désignant la totalité des objets créés par un utilisateur. C’est ainsi que la base Oracle peut faire la différence entre la table AVION appartenant à l’utilisateur BETTY (BETTY.AVION) et la table avion appartenant à l’utilisateur CHARLY (CHARLY.AVION). Les tables et vues statiques Les vues statiques sont basées sur de vraies tables stockées dans le tablespace SYSTEM, et sont accessibles uniquement quand la base est ouverte. Les vues statiques sont caractérisées par leur préfixe : l USER_* : Informations sur les objets qui appartiennent à l’utilisateur l ALL_* : Information sur les objets auxquels l’utilisateur a accès (les siens et ceux sur lesquels il a reçu des droits) l DBA_* : Information sur tous les objets de la base Les tables et vues dynamiques de performance Ces tables sont basées sur des informations en mémoire ou extraites du fichier de contrôle. Elles donnent des informations sur le fonctionnement de la base de données, notamment sur les performances. Elles sont remises à zéro si on arrête la base de données. Elles sont accessibles même lorsque la base n’est pas complètement ouverte (MOUNT) Les vues dynamiques de performance sont : Préfixées par « V$ » Derrière le préfixe, le reste du nom de la vue est représentatif de l’information accessible Outils d'administration Trois outils sont présents pour administrer une base de données Oracle l SQL*Plus (sqlplus), interface d’accès à la base de données en mode commande l iSQL*Plus, peut être utilisé en application indépendante ou connecté à un référentiel Oracle Management Server (OMS) l Oracle Enterprise Manager (OEM), appelé Grid Control ou Database Control. l Database control est créé à la création d’une base oracle et ne permet d’administrer graphiquement que cette base de données. l Grid control est un outil qui permet d’administrer une ferme de bases de données (oracle ou non oracle). Connexion utilisateur Lorsqu’un utilisateur se connecte à la base de données, il ouvre une session. Les processus utilisateur sont alors pris en charge par les Processus serveur qui sont chargés de traiter les requêtes des utilisateurs, notamment de charger dans le Database Buffer Cache les données nécessaires. Le processus serveur communique (localement ou à travers le réseau) avec un processus utilisateur correspondant à l’application de l’utilisateur. Dans la configuration par défaut, Oracle lance un processus serveur dédié à chaque utilisateur (dedicated server configuration) Mais Oracle peut être configuré en multithreaded server (MTS) de manière à avoir des processus serveur partagés par plusieurs processus utilisateur. Connexion utilisateur L’instance est dimensionnée par un ensemble de paramètres stockés dans le fichier de paramètres système SPFILE<SID>.ora, celui-ci a été créé à la création de la base de données à partir d’un fichier de paramètres caractère : PFILE<SID>.ora. <SID> correspond au nom de l’instance La PGA (Program Global Area) Mémoire privée des différents processus distribuée au moment de la connexion d’un client. Pour un processus serveur, la PGA contient : l Une zone de tri (allouée dynamiquement lors d’un tri) l Des informations sur la session l Des informations sur le traitement des requêtes de la session l Les variables de session La SGA: System Global Area Cette zone de mémoire partagée par les différents processus de l’instance est allouée uploads/Management/ oracle-administration.pdf
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- Publié le Jui 18, 2022
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