Introduction à Oracle Cours présenté par Mr ali cheick Institut Supérieur de ma
Introduction à Oracle Cours présenté par Mr ali cheick Institut Supérieur de management (ISM) DEFINITION Un SGBD est un logiciel qui prend en charge la structuration, le stockage, la mise à jour et la maintenance d'une base de données. Il est l'unique interface entre les informaticiens et les données (définition des schémas, programmation des applications), ainsi qu'entre les utilisateurs et les données (consultation et mise à jour). LES DIFFERENTS SGBD DANS LE MARCHE Oracle est un SGBD relationnel (et relationnel-objet dans ses dernières versions) très reconnu pour les applications professionnelles. PostgreSQL est un SGBD relationnel et relationnel-objet très puissant qui offre une alternative open source aux solutions commerciales comme Oracle ou IBM. MySQL est un SGBD relationnel libre (licence GPL et commerciale), simple d'accès et très utilisé pour la réalisation de sites Web dynamiques. Depuis la version 4 MySQL implémente la plupart des fonctions attendues d'un SGBD relationnel. Access est un SGBD relationnel Microsoft, qui offre une interface graphique permettant de concevoir rapidement des applications de petite envergure ou de réaliser des prototypes. Comparaison Oracle Database et Mysql Le prix • Le prix représente la différence la plus importante entre les deux bases de données. Oracle possède un produit qui s'appelle Oracle Express Éditions, et cette édition est totalement gratuite. Malheureusement, l'édition a trop de limitation avec les fonctionnalités. Cela vous coûtera des milliers d’euros, si vous achetez une édition standard complète ou une édition Enterprise. • My Sql, d'autre part, est une base de données open source, et est complètement gratuite. Le site du réseau social le plus célèbre appelé Facebook s'exécute sur My Sql. Oracle s'adresse aux grandes organisations avec un budget élevé mais cette base de données open source gratuites manque de possibilités d'ajout et de fonctionnalités robustes d'Oracle. - La sécurité • Alors que MySQL utilise trois paramètres pour authentifier un utilisateur, notamment nom d'utilisateur, mot de passe et l’emplacement, Oracle possède un grand nombre de fonctionnalités de sécurité comme le nom d'utilisateur, le mot de passe, les profils, l'authentification locale, l'authentification externe, les améliorations de sécurité anticipées, etc. - La syntaxe SQL • La syntaxe Oracle SQL différé quelque peu de Mysql. Oracle offre plus de flexibilité pour le langage de programmation appelé PL / SQL. L'outil SQL * Plus d'Oracle offre plus de commandes que MySQL pour générer une sortie de rapport et une définition de variable. - Le stockage • Comparez avec Oracle, MySQL n'a pas d'espace de tables, de gestion de rôle, de synonymes, de packages et de gestion de stockage automatique. - Type de sauvegarde Oracle Database fournit différentes fonctionnalités de sauvegarde de type, comme la sauvegarde à froid, la sauvegarde à chaud, l'exportation, l'importation, la pompe de données. Oracle offre l'utilitaire de sauvegarde le plus populaire appelé Recovery manager (RMAN). En utilisant RMAN, nous pouvons automatiser notre base de données de récupération et de récupération en utilisant très peu de scripts de commande ou stockés. - Utilisation des bases de données Oracle et MySQL MYSQL est plus populaire dans les sites Web et l'intégration PHP. Oracle est populaire dans les grandes bases de données, telles que Banking, ERP, assurance, sociétés de financement. Les ERP populaires utilisent Oracle comme pour exemple la base de données back-end SAP. Oracle possède son propre ERP appelé E-business Suite. - Administration de base de données : Dans la partie Administration de base de données, Oracle DBA gagne en popularité par rapport que MySQL . Il existe beaucoup de possibilités disponibles pour Oracle Database par rapport à MySQL. - La base de données MySQL ne prend en charge aucune fonctionnalité d'audit. Oracle, d'autre part, prend en charge plusieurs extensions et programmes sur son serveur de base de données, par exemple, Active Data Guard, Audit Vault, Partitionnement et data Mining, etc. - Oracle prend en charge la création de programmes intégrés dans la base de données au moyen d'un langage procédural et peut être exécuté indépendamment ou déclenchés par certains événements. FONCTIONNALITÉS PRINCIPALES D'ORACLE DATABASE • Possibilité de stocker de gros volumes de données. • Partitionnement des grosses tables. • Mirroring et Stand By Database pour la redondance. • Database Vault, Advanced Security pour la sécurité. • Oracle Data Mining pour l’extraction de connaissances à partir de données (ECD). • Star Transformation Optimizer pour l’optimisation de requêtes SQL basé sur la réécriture de requête. • … AVANTAGES D'ORACLE DATABASE • Possibilité de choisir entre une installation automatique ou paramétrer son installation à 100%. • Gestion entièrement automatique de la mémoire. • Gestion avancée de la compression des données. • Très performant sur des gros volumes de données. • Vues matérialisées… DIFFERENTES VERSIONS D’ORACLE • Depuis la version 7, les versions majeures du SGBD Oracle ont été les suivantes : • Oracle 7 : 7.1, 7.2, 7.3 • Oracle 8 : 8.0.3, 8.0.4, 8.0.5, 8.0.6 • Oracle 8i : 8.1.5 (Release 1), 8.1.6 (Release 2), 8.1.7 (Release 3) • Oracle 9i : 9.0.1 (Release 1), 9.2.0 (Release 2) • Oracle 10g : 10.1 (Release 1), 10.2 (Release 2) • Oracle 11g : 11.1 (Release 1), 11.2 (Release 2) • Oracle 12c : 12.1 (Release 1), 12.2 (Release 2) Plan de cours Les composants de l'architecture Oracle : Décrire l'architecture Oracle et ses principaux composants. Le dictionnaire de données Gestion de la sécurité et des ressources : Privilèges systèmes et privilèges objets, Rôles, Utilisateurs, Profiles, Audits Optimisations des bases de données : indexation, la partition L'architecture d’oracle et ses principaux composants. Instance Oracle L’instance Oracle est constituée : D’une zone de mémoire partagée appelée System Global Area(SGA); D’un ensemble de processus d’arrière-plan (background process) ayant chacun un rôle bien précis; D’un ensemble de processus serveur (server process) chargés de traiter les requêtes des utilisateurs. System Global Area(SGA) La SGA (System Global Area) est une zone de mémoire partagée par les différents processus de l’instance. Elle est allouée au démarrage de l’instance et libérée lors l’arrêt de l’instance. Elle est dimensionnée par un ensemble de paramètres définis dans le fichier de paramètres. La SGA comporte les structures suivantes: Database Buffer Cache: cache de données; Redo Log Buffer: mémoire tampon pour l’enregistrement des modifications apportées à la BD; Shared Pool: zone de partage des requêtes et du Dictionnaire des données Oracle; Java Pool: mémoire utilisée par la machine virtuelle Java intégrée; Large Pool: zone mémoire optionnelle utilisée par différents processus dans des configurations particulières; Streams Pool: zone de mémoire utilisée par la fonctionnalité Streams (fonctionnalité qui permet de faire circuler des informations entre processus); Shared Pool Elle permet de stocker : Les dernières instructions SQL exécutées; Les dernières définitions de données utilisées. Elle est constituée de deux structures mémoire clés liées aux performances : Cache « Library » Cache du dictionnaire de données Sa taille est définie par le paramètre SHARED_POOL_SIZE Cache «Library» Le cache "library" conserve des informations sur les dernières instructions SQL et PL/SQL utilisées. • Il permet le partage des instructions fréquemment utilisées. • Il est géré par un algorithme LRU (Least RecentlyUsed) : Oracle utilise l’algoLRU pour gérer le cache: en cas de manque de place, oracle supprime du cache la requête utilisée la moins récemment. Il est composé de deux structures: • la zone SQL partagée, • la zone PL/SQL partagée. Sa taille dépend du dimensionnement de la zone de mémoire partagée. Cache «dictionary» Le cache du dictionnaire de données contient les dernières définitions utilisées dans la base. Il contient des informations sur les fichiers, les tables, les index, les colonnes, les utilisateurs, les privilèges et d'autres objets de la base de données. La mise en mémoire cache des informations du dictionnaire de données réduit le temps de réponse aux interrogations et aux instructions LMD. La taille du cache dépend du dimensionnement de la zone de mémoire partagée. Database Buffer Cache Database Buffer Cache est utilisé pour stocker des blocs de données en mémoire afin d'accélérer l'interrogation et/ou la modification Aucune modification est faite directement sur les données du disque : Oracle lit les données suite à la demande d'un processus utilisateur et ensuite valide les modifications sur le disque Il utilise un algorithme nommé LRU mois récemment utilisés (Least- Recently Used) pour déterminer les données à libérer du cache RedoLog Buffer (Tampon de journalisation) Il enregistre toutes les modifications apportées aux blocs de données de la base : insert, delete, update, create, alter et drop. Sa principale fonction est la récupération de données. Les modifications enregistrées constituent des entrées de journalisation. Les entrées de journalisation contiennent des informations permettant de reconstruire des modifications. La taille du tampon est définie par le paramètre LOG_BUFFER. Zone de mémoire LARGE POOL Zone facultative de la mémoire SGA Elle réduit la charge de la zone de mémoire partagée. Elle n'utilise pas de liste LRU. Sa taille est définie par le paramètre LARGE_POOL_SIZE. Zone de mémoire Java et Zone StreamsPool La zone de mémoire Java répond aux besoins d'analyse des commandes Java : Elle est nécessaire si Java est installé et utilisé. Sa taille est uploads/Management/cours 7 .pdf
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Licence et utilisation
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- Publié le Jan 23, 2022
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