Table de matières 1ère PAR TIE : GESTION DE L 'INFORMATION I- DEFINITION DE L'I
Table de matières 1ère PAR TIE : GESTION DE L 'INFORMATION I- DEFINITION DE L'INFORMATION I-1- INFORMATION ET DONNEE I-2- INFORMATION ET COMMUNICATION I-3-INFORMATION ET CONNAISSANCE II- ESSAI DE DEFINITION III- UN CONCEPT, DES DOMAINES III-1- DROIT : III-2- LA PRESSE : III-3- PHYSIQUE : III-4- INFORMATIQUE : _ L 'INFORMATION FORMALISEE _ L 'INFORMATION INFORMELLE IV- L'EVALUATION DE L'INFORMATION IV-1-LES NOUVEAUX CRITERES D 'E VALUATION D 'UNE INFORMATION IV-2-LA GRILLE D 'ANALYSE DE LA VALEUR DE L 'INFORMATION IV -3-LE SPECTRE DE L 'INFORMATION IV -4-CRITERES D 'E VALUATION DE L 'INFORMATION SUR INTERNET IV -4-1- LE CREATEUR IV -4-2- LA DATE DE PUBLICATION IV -4-3- L 'OBJECTIF DU SITE IV -4-4- L 'ANALYSE DU DISCOURS IV -4-5- LA VALIDATION DE L 'INFORMATION IV -4-6- L 'A UDITOIRE VISÉ IV -4-7- L 'ORGANISATION DU SITE IV -4-8- LA QUALITE DU TEXTE V- LES COUTS DE L'INFORMATION V-1-DEFINITION DES `'COUTS DE L 'INFORAMTION'' V-2-LES COUTS FIXES LIEES A LA GESTION E L 'INFORMATION V-3-LES COUTS VARIABLES DE L 'INFORMATION V.4.LA STRUCTURE DES COUTS DE L 'INFOMATION V-4-1- LES COUTS D 'ACQUISITION V-4-2- LES COUTS DE VALORISATION V-4- 3- LES COUTS DE GESTION V-4-4- LES COUTS DE STOCKAGE V-4-5- LES COUTS DE SYNTHESE V-4-6- LES COUTS D 'EXPLOITATION V-5- POURQUOI CONTROLER LES COUTS DE L 'INFORMATION ? V-5-1- LE COUTS DE LA NON-INFORMATION EST SUPERIEUR AU COUTS DE L 'INFORMATION. V.5.2. LE CO UT DE LA NON-UTILISATION D 'UNE INFORMATION EST SUPERIEUR A SON COUTS D 'ACQUISITION V-5-3- UNE TRIPLE APPROCHE V-5-4- LES BUTS DU CONTROLE DES COUTS DE L 'INFORMATION 2ème Partie : SYSTEMES D 'INFORMATION DE L 'ENTREPRISE I- Les systèmes d'information (SI) I-1- DEFINITION DU SYSTEME D 'INFORMATION I-2- LES SYSTEMES MANUELS II- INFORMATISATION DE LA VIE DE L 'ENTREPRISE II-1- QUOI INFORMATISER ? LE SI ET LES FONCTIONS DE L 'ENTREPRISE II-1-1- COMPTABILITE ET GESTION DES DTOCKS II-1-2- L 'INFORMATIQUE BUREAUTIQUE II-1-3- VENTES ET MARKETING II-1-4- PRODUCTION ET BRICATION II-1-5- LOGISTIQUE ET RELATION CLIENT-FOURNISSEUR II-1-6- MANA CIEMENT ET DIRECTION II-1-7- GESTION DES RESSOURCES HUMAINES II-2- LE `COMMENT' DE LA GESTION DE L 'INFORMATION II-2-1- LA GESTION ELECTRONIQUE DES DOCUMENTS (GED) II-2-1-1- DOCUMENTS PAPIER, DOCUMENTS ÉLECTRONIQUES II-2-1-2- NUMÉRISA TION DES DOCUMENTS PAPIER II-2-1-3- CLASSEMENT ET RECHERCHE II-2-1-4- GESTION DES VERSIONS II-2-1-5- LES BENEFICES DE LA GED II-2-1-5-1- RÉD UCTION DES COÛTS DE L 'ESPACE DE STOCKAGE II-2-1-5-2- RÉD UCTION DES COÛTS ET DES TEMPS DE RECHERCHE II-2-1-5-3- RÉD UCTION DES COÛTS ET DES TEMPES DE DIFFUSION II-2-1-5-4- ACCÈS SIMULTANÉ II-2-1-5-5- AMÉLIORATIONS DE LA SÛRETÉ ET DE LA SÉCURITÉ II-2-1-6- LA GED, FONDEMENT DES TECHNIQUES DE GROUPE II-2-1-7- EXEMPLE DE GED : BPS GED II-3- Les Progiciels de Gestion Intégrés (PGI) II-3-1- HISTORIQUE ET DEFINITION DES PROGICIELS DE GESTION INTEGRES II-3-2- FONCTIONNALITES ET MODULARITE II-3-3- NATURE DE L 'INTEGRATION II-3-4- MISE EN PLACE ET MARCHE DES ERP II-4 Les MES (Manufacturing Execution System) II-4-1- DEFINITION II-4-2 FONCTIONNALITES II-4-3 L 'OFFRE DU MARCHE II-5- Les SGDT (Systèmes de gestion des données techniques) II-5-1- DEFINITION II-5-2- FONCTIONNALITES D'UN SGDT 3ème Partie : G-Perso -SYSTEME D 'INFORMATION POUR GRH I- INTRODUCTION II- PRESENTATION DU SERVICE DU PERSONNEL ET DE AFFAIRES SOCIALES III- LA PROBLEMATIQUE IV- OBJET DU PROJET Section 1 : PHASE D 'ANALYSE ET DE CONCEPTION I- ANALYSE DES DONNEES II- MODELISA TION Section 2 : DÉVELOPPEMENT I- ENVIRONNEMENT DU TRAVAIL II- PROGRAMMATION III- LES INTERFACES IV- MODELISATION Section 3- PROGRAMMATION CONCLUSION Une sociétépeut être dite nouvelle quand il y a transformation structurelle dans les relations de production, dans les relations de pouvoir, dans les relations entre les personnes. Comme l'humanité en a connu bien peu dans son histoire, nous vivons une révolution, un véritable changement d'ère et de société, qui se traduit à une rapidité surprenante et dont nous arrivons difficilement à prendre toute la mesure. L'apparition des technologies numériques et informatiques, et leur utilisation - de plus en plus en augmentation - ont bouleversé nos modes de vie et de production, au point qu'on a peine à imaginer que l'utilisation d'Internet remonte à moins de dix ans. C'est donc depuis relativement peu de temps que nous sommes entrés vraiment dans l'ère de l'information, de la communication et du spectacle. Il s'agit d'une nouvelle société, avec de nouvelles structures et de nouvelles relations, on parle d'un passage d'une société d'énergie à une société appelée d'information. Il faut se rendre à l'évidence, la société, les conditions de travail et les protections sociales en sont durablement affectées mais c'est l'ensemble de notre monde qui en fondement transformé, un changement vital mais méfiant. Le secret de ce nouveau monde, est l'information en tant qu'elle s'oppose à l'énergie et à la matière. Cela ne veut pas dire que l'information explique tous les bouleversements actuels, mais qu'il faut prendre la mesure de tout ce qu'elle permet d'expliquer. En effet, sur de nombreux plans nous quittons le monde matériel, de l'énergie et de la lutte, pour intégrer l'univers de l'immatériel, le monde de l'information et de la coopération. Pour caractériser cette opposition entre l'ancien et le nouveau monde, deux termes sont utilisés, on parle de "société thermodynamique" et de "société de l'information" (ou bien l'ère de l'énergie et l'ère de l'information), deux sociétés définies comme suit : La société de l'énergie : C'est ce que nous connaissons depuis le néolithique sans doute, mais surtout depuis la révolution industrielle et thermodynamique. Les guerres du pétrole se situent encore entièrement dans ce contexte, retour de la vieille Amérique dominée par le pétrole, bien loin de la nouvelle économie. C'est le domaine matériel de la force, de la contrainte, de la lutte, de la compétition, de l'appropriation, du nombre, de la quantité, du travail et de la peine. C'est le monde industriel de la mécanique et des machines, d'une productivité immédiate mesurée par le temps salarié. La société de l'information : C'est l'univers immatériel du savoir, de la direction par objectif, du contrôle, de la persuasion, de la coopération, de la qualité, de la résolution de problème et donc des pannes... C'est, au niveau du software, aussi bien la programmation et les communications que l'éducation ou le spectacle, et, pour le hardware, les automatismes aussi bien que les médias ou les appareils numériques. On n'y a plus tant besoin de force de travail contrainte et subordonnée mais de formation, d'innovation, d'autonomie, d'un travail virtuose qui ne se mesure pas à son temps d'exécution, pas plus qu'un travail de recherche ou un travail créatif dont les résultats restent complètement aléatoires par définition. Dans ce même cadre Norbert Wiener (1894-1964) dit : ``Prendre conscience de notre entrée dans l'ère de l'information ne signifie aucunement vouloir enrichir la situation et s'en faire le spectateur emporté, c'est bien plutôt vouloir prendre en main notre destin, assumer notre responsabilité collective, corriger le tir, surmonter nos échecs''. Et cela veut bien dire qu'il s'agit -seulement- de nouvelles possibilités que nous pouvons transformer en opportunités mais qui peuvent aussi bien se retourner contre nous, détruire de fragiles équilibres. C'est à nous de savoir tirer profit des nouvelles potentialités de régulation, de coopération et de développement humain ouvertes par les technologies informationnelles, ainsi que de lutter contre leurs mauvais côtés (flexibilité, temps réel, dictature du court terme, fracture numérique, insignifiance). Seulement, pour construire un monde plus humain et s'adapter à ses transformations, il faut d'abord l'interpréter correctement, essayer d'en comprendre la nouvelle logique. La récolte, le stockage et la diffusion de l'information est devenue une industrie à part entière. Et toute organisation quelle qu'elle soit, doit consacrer une partie de son effort à récolter, traiter, stocker et diffuser l'information issue de son propre fonctionnement dans le cadre de ce qu'on appelle système d'information.. Comprendre cette nouvelle logique, impose donc de bien cerner un concept primordial dans cette nouvelle ère. Il s'agit de ``l'information'' qu'on va essayer de traiter dans une 1ère partie, avant de consacrer une 2ème partie aux systèmes d'information. 1ère PARTIE : GESTION DE L'INFORMATION I- DEFINITION DE L'INFORMATION Avant d'essayer de donner une définition à ce concept, il s'avère important d'éliminer certaines confusions entre l'information et d'autres notions tel que : Donnée Communication Connaissance I-1- INFORMATION ET DONNEE Les données sont des faits qui n'ont pas encore été traités et dont on ne peut, à ce stade, tirer aucun enseignement. Par exemple, une simple opération de paiement ne nous dit pas si le paiement a été effectué en temps voulu et ne nous éclaire pas sur la situation du prêt. Les informations sont des données traitées ou transformées qui aident quelqu'un à prendre une décision ou à tirer des conclusions. La comparaison entre les paiements effectués et le calendrier des versements nous renseigne sur la situation du prêt et sa chronologie - informations qui peuvent être utilisées pour prendre une décision concernant le suivi ou le provisionnement du prêt en question. Une institution peut être noyée sous les données, sans pour autant avoir beaucoup d'informations. Un information et quelque chose de beaucoup plus qu'un donnée brute. C'est une donnée qui a un sens, et ce sens vient d'un certain modèle d'interprétation. Une même donnée uploads/Management/ systeme-d-x27-information 6 .pdf
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- Publié le Fev 08, 2021
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