- le rôle des marqueurs discursifs dans l’agencement et la structuration de l’é

- le rôle des marqueurs discursifs dans l’agencement et la structuration de l’énoncé - l’analyse sémantique des marqueurs polysémiques, notamment la relation entre leur valeur aspectuo-temporelle et leur valeur causale ou concessive Marqueurs de discours : Introduction Sommaire [masquer]  1 Caractéristiques générales o 1.1 Définition o 1.2 Caractéristiques générales o 1.3 Exemples o 1.4 Les fonctions o 1.5 Les types o 1.6 La Bibliographie  2 Sources lexicales des marqueurs de discours o 2.1 Problématique fondamentale : d’où viennent les MD ? o 2.2 Les origines lexicales  2.2.1 Par exemple : écoute  2.2.2 La bibliographie  3 Marqueurs de discours et la pragmatique o 3.1 le modèle de Yael Maschler o 3.2 Cohérence o 3.3 Facework o 3.4 Principe de Coopération  3.4.1 La Bibliographie: Définition[modifier] Une marqueur de discours, c'est une expression de la langue orale qui indiquer l’attitude ou l’intention du locuteur Caractéristiques générales[modifier] Ils sont:  connecteurs  variables  spontanés  utilisés seulement dans la langue parlée  en général extérieurs à la structure de la phrase  Ils ne contribuent pas aux contentes propositionnel des énonces – leur présence ou absence ne change pas la valeur ou la validité d’un énonce (leur absence n’entraine pas un agrammaticalité)  L’emploi de marqueurs de discours illustre que la langue n’est pas utiliser dans la même manière pour toutes situations  Si la langue change, les situations linguistiques pour les marqueurs de discours changent aussi. Il y a des constants qui reste dans les marqueurs de discours, mais pour la plupart les marqueurs de discours devient flexible avec la langue  Quand ils sont au début ou à la fin d’une phrase, ça marque une espace de distanciation ou le début d’une séquence discursif Exemples[modifier]  Bon  Alors  Enfin  Ok  Cependent  Quand même  C’est-à-dire  Si vous voulez  Quoi  Je pense  Tu vois Chacun des particules ont les caractéristiques unique mais ils ont les similarités  Quelques marqueurs de discours indiquent un air d’insuffisance communicative (on les utilise quand il y a un décalage entre le locuteur et l’interlocuteur) Exemples:  « Enfin » modifie l’information qui a déjà donné  « Ben » indique que le locuteur n’est pas capable de répondre au affirmative et ça introduire une explication  « Hein » demande une confirmation ou la validation d’un argument  « Ben » introduit une perspective imprévue, c’est un marqueur d’évidence Les fonctions[modifier] 1. Fonction structurelle : faire le tour de parole, l’organisation du discours 1. Fonction interpersonnelle : exprimer l’émotion ou l’attitude Les types[modifier] 1. Les marqueurs de discours prototypique : les mots comme « hein, » « bon, » « ben, » « quoi » 2. Les marqueurs de discours non prototypique : les expressions qui ont un sens lexical et une fonction comme marqueur de discours tous les deux La Bibliographie[modifier] Dostie, Gaétane and Claus D. Pusch. « Présentation : Les marqueurs discursifs. Sens et variation. » Barnes, Betsey K. « Discourse particles in French conversation : (eh) ben, bon, enfin » Sources lexicales des marqueurs de discours[modifier] Révision : le lexique = les mots, le vocabulaire Problématique fondamentale : d’où viennent les MD ? [modifier] Les origines lexicales [modifier] Les MD viennent des mots lexiques, mais ils ne contribuent pas au contenu propositionnel des énoncés. Donc, les MD acquièrent une fonction pragmatique/discursive plutôt que sémantique. On prend une approche asémantique des MD = ils sont considérés comme vides de sens lexicale  un groupe de MD formés à partir d’un verbe conjugué, une proposition complète (S + V). Maintentant, ils ont un sens discursif qui est different de son sens original. o Deux sous-groupes : 1. l’un caractérisés par l’emploi de la première personne en singulière (ex. je pense, je crois). 2. l’emploi de la deuxième personne (ex. tu sais, vous voyez)  Les adjectives (ex. bon)  Les adverbes (ex. ben est derivé de bien)  Les imperatives (ex.écoute)  Les phrases (ex. faut dire que, c'est à dire que)  Etc. Par exemple : écoute [modifier] Le MD ‘écoute’ est dérivé de l’impératif du verbe ‘écouter’. Mais, il est important de noter que la forme impérative d’écouter (ex. écoute-moi) ne fonctionne pas comme un marqueur discursif. Exemple: Après le locuteur a attendu pour beaucoup de temps chez le dentiste : A : Ecoutez, je suis presse. Je vais téléphoner demain pour prendre un autre rendez-vous. Dans cette situation, le locuteur n’exige pas à l’interlocuteur de l’écouter (le sens impératif). Il dit « écoutez » pour réagir à la situation et pour attirer l’attention de l’interlocuteur. Mais, n'oublie pas: bien que les MD ont les origines aux mots lexicales, ils acquièrent une fonction pragmatique/discursive plutôt que sémantique La bibliographie [modifier]  Dostie & Pusch  Somolinos Marqueurs de discours et la pragmatique[modifier] Les MD aident en comprenant la différence entre ce qu’on dit et ce qu’on veut dire. Les MD montrent l’intention du locateur le modèle de Yael Maschler [modifier] Il existe quatre fonctions des MD avec la pragmatique :  des relations et rapports entre des personnes (interpersonal relations)  référence (reference)  structure et contraints cognitif (structure and cognitive constraints)  des niveaux de discours (levels of discourse) Les aspects de ce model fait d’influence entre la pragmatique ensemble. C'est-à-dire qu’il est important d’évaluée à qui on parle, de quoi on parle, comment on parle, et la formalité dont on parle. En considérant tout ces aspects, on peut comprendre la différence entre ce qu’on dit et ce qu’on veut dire, avec l'intention du locateur. Le role de la pragmatique change sur la situation. Cohérence[modifier] Les MD aident en donnant la cohérence aux pensées. Les MD peuvent montrer les liens sous- entendu qui s’entende les propositions. Ils marquent les connections entre deux pensées ou parties des phrases. Quelque fois, les MD sont redondant, en insistant de redire ce qui est déjà dit. Ex. A. « Je crois qu’il y va » B. « Oui, bon, mais il essaye d’y aller » Ici, en regardant le mot « bon » il est clair que c’est un MD- il fonctionne pour montrer une réponse au la première phrase, et il conjoindre les deux parties de la conversation. Aussi, avec le mot « bon », Personne B change l’attitude de la conversation de la négative ton a une ton plus neutre. Facework[modifier] On peut dire une phrase et avec l’intonation de la voix avec la construction de la phrase, une declaration peut être plus ou moins sévère. La pragmatique ici c'est comment on montre le ton mitigé de la declaration. Ex. A. « Voulez vous aller au cinéma ? » B. « Ecoute, je le veux, mais… » Ici, Il y a une proposition et une réponse. La réponse a des parties : Le MD qui montre que la réponse n’est pas « oui », la déclaration qui renforce le MD, et la raison. En utilisant le MD, Personne B fait un type de facework en essayant de montrer qu’il ne veut pas d’être cruel. Principe de Coopération[modifier] En comprenant les MD et la pragmatique ensemble, il fait appel au Paul Grice et ses maximes de coopération. Si les maximes sont violées, on ne peut pas comprendre l’utilisation des MD et aussi la différence entre ce qu’on dit et ce qu’on veut dire. La Bibliographie:[modifier] Coupland, Justine. "How are you?": Negotiating Phatic Communion. Cambridge University Press, 1992. 206-215 Schiffrin, Deborah. Discourse Markers. Cambridge, 1987. 49-65. Jucker, Andreas H. Yael Ziv. Discourse Markers: Introduction. 1998. 1-5. › Marqueurs de discours : écoute, ben, par exemple Sommaire [masquer]  1 Ecoute o 1.1 Ecoute 1 o 1.2 Ecoute 2  2 Ben  3 Par Exemple o 3.1 Sources Ecoute[modifier] Ecoute est un marqueur discursif qui passe en les interactions orales. Ecoute fonctionne comme un «attention getter » ou «alerter ». Le but d’écoute est d’appeler à la raison d’interlocuteur. L’usage d’écoute est spontané et est une fonction du contexte de la conversation. En la forme MD écoute est une forme figée qui a deux formes : 1. Ecoute 1 2. Ecoute 2 Ecoute 1[modifier]  négocier un désaccord ou marque une réaction à une situation  doit base sur une déclaration précédente  Exemple : o A : Qu’est-ce que tu ferais a ma place ? o B : Ecoute, je pense que tu devrais y aller.  fonctionne comme une modalisateur par demander l’interlocuteur d’être raisonnable et d’accepter ce refus o prefacer un refus o fermer une sequence non-pertinente o permettre la locuteur d'éviter un question  Exemple : o A : Papa, est-ce que je peux emprunter la voiture. o B : Ecoute, cela fait trois fois que je la prête cette semaine. Ecoute 2[modifier]  marque le mécontentement  emploi absolu – n’accompagne pas une proposition  Exemple : o Elle s’exclame : « Aie ! mon bas, écoute ! ho ! »  Marque l’impatience de locuteur  Exemple : o Ecoute bien, Borelli !  Fonctionne uploads/Marketing/ marqueurs-de-discours.pdf

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  • Publié le Jan 15, 2021
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