Fiches nietzsche -remettre la vie comme critère de la vie -marteau bâtisseur et

Fiches nietzsche -remettre la vie comme critère de la vie -marteau bâtisseur et démolisseur -interroger les concept, les enjeux de pouvoir derrière eux, ne sont pas naturels et consensuels -démonte la métaphysique -esprit de lourdeur, négation de la vie, se retourne contre elle-même -perversion de la civilisation depuis Socrate et Platon : lien Bien beau vrai juste insensé pour N : style d’Euripide -la vie, le monde est : *contradictoire, équivoque *non duel (pensée métaphysique) *dionysiaque (pulsions, instincts, explosif, passions, tendance, affects) *matérielle de fou ! *pas d'universalité Pulsion= matière animée d'une énergie méta N, grandes idées : -surhomme : se dépasser soi-même, devenir plus grand, plus haut que la foule pleine de ressentiment et d'absence de jugement personnel car absence d'individualité. L'homme fort ne craint pas l'injustice, il crée ses propres valeurs sans souci de l'avis, de l’approbation de la foule -volonté de puissance -ressentiment -cycle chameau, lion, enfant -dieu est mort -zarathoustra -les métaphores -devenir -marche en avant -philosophie de l'impulsion -non hiérarchie des valeurs, ni de nécessité -anthropocentrisme -diktat des valeurs -) domination -retournement de la vie (valeurs mortifères, mort lente) -religion et métaphysique = poisons, instances qui glorifient la haine de la vie, la souffrance, une autre vie au-delà du matériel, un repentir, une hiérarchie, une attente -être un bon lecteur du réel (liberté, indépendance de la pensée) -dissimulation de la pulsion derrière les concepts (très freud) -réenchantement du monde, lui redonner une musicalité, une représentation plus fidèle et donc sortir de toute dichotomie, de tout ressentiment aussi -apparence = seule réalité -destruction de la dichotomie B/M -) généalogie de la morale aussi pour montrer en quoi elle est de ouf humaine -pulsions faibles (démocratie, égalité, justice universelle) dominent les sociétés, les individus faibles s'assemblent et se croient forts -faiblesse est dissimulation, lâcheté, coups bas, stratégies cachées, la force tend vers la liberté, la libre pensée, n'a pas peur de s'exposer au grand jour -) jalousie et ressentiment, jalousie et convoitise des faibles (mouches qui alimentent une haine contre le prophète, le sage, celui qu'elles perçoivent comme libre et au-dessus de la foule informe) -la raison est une pulsion comme les autres, pas chercher à la supprimer comme le veulent les faibles -prêtre ascétique est un type (prêtre, platon, métaphysiciens...), passent pour forts alors que sont faibles, utilisent la peur, se fqit guide, prêcheur d'une morale, veut guider son troupeau -faiblesse= *lâcheté *mensonge *ressentiment *domination -attitude aristocratique/plébéienne -concepts –) simplification du réel, le lisse, lui font perdre sa force (langage), sa profondeur, son émotion, sa musicalité profonde. Le langage reste une force libre, peut pas le soumettre froidement. Redonner au langage sa force de jaillissement son imprévisibilité, sa souplesse, sa dualité, son mouvement... (tout l'inverse de la métaphysique) -) le style de N est lié à sa pensée : se veut exotérique, le langage ne peut être clair, transparent -réalité= apparence phénoménale, n'est vrai que ce qui apparaît -digestion lente ! Sélection -) pas de dégoût de tout ni de boulimie (Hegel ou les jouisseurs) -culture de la culpabilité ! Prêtre qui délivrent morale ascétique -la grande santé -morale plébéienne : vengeance, ressentiment (morale des faibles), masse, anonymat, lâcheté, dissimulation -morale aristo : affirmation de soi, création de valeurs propres, liberté, unicité, individualité -modernité veut anesthésié toute souffrance, en faire un gain : « la souffrance ne m'a rien appris, elle m'a approfondi » : rencontrer la souffrance -sorte de pénitence par la souffrance, un repentir prôné largement par la religion -) valeurs morales sont cruelles, mais cela se cache derrière une masse, des discours de lâches... avance masqué, justice guidée par le ressentiment, on cherche à tout prix à punir, à retirer à ceux qui ont, à faire souffrir pour oublier sa souffrance, mais c'est lâche ! -la châtiment empêche toute compréhension de la faute morale (Foucault) -pulsion=force interprétative -bon ennemi, les militaires Ainsi -accepter échecs, conflits, souffrance, solitude -vivre dangereusement -pas chercher la paix, la tranquillité car la vie n'est pas ainsi -souplesse, mouvement, changement, nuances -) voir finement la vie -volonté de puissance inversée : repentir, tenir en se sacrifiant, en prônant une souffrance constante.. inverser totalement cs perceptions et fonctionnements, ces valeurs sans hiérarchie mais avec la vie comme condition -conflits malades -être créateur, artiste au sens large, être artiste de la vie c'est concourir à créer une vie augmentée, un dépassement de soi, un amour de soi et de la vie -) les faibles haïssent les créateurs, les indépendants qui leur renvoient leur misère au visage -appétit, lié aux passions, poussée, tendance -) la vie, matière constat d'un mensonge dans la société -) cherche les origines de ce mensonge, comment le peuple a pu approuvé cela place des questions derrière les évidences : « pourquoi désirer le bien, le juste, le beau ? » l'interroger en la prenant sous tous les angles : quelle vérité, au service de quoi, qu'est ce qu'elle sert ? Deux réactions faibles face aux passions : -chercher à les supprimer -) retournement de la raison contre elle-même -laisser-aller total -) pure jouissance, relativisme total : « tout se vaut », « à quoi bon », aussi une forme de lâcheté, toutes les paroles se valent -) plus de valeurs du tout, flou, flottement (monde actuel) -) une certaine maîtrise ! Pour N, il ne faut ni être un mouton noyé dans la foule informe et anonyme ni être un berger (faible même). Le fort est une force qui va, pas peur de la solitude, crée ses valeurs en étant un bon lecteur des métaphores et du réel, ne le subie pas pour autant ! Force = laisser être la passion, l'accepter, = honnêteté, fort + quitter toute posture, imposture « la souffrance ne m'a rien appris, elle m'a approfondi » langage fait de signes réalité faite de symboles pour démêler, remonter à des seuils pré-langagiers, seuils affectifs, pulsionnels, réels donc le corps parle, le réel est symptomatique, toujours remonter vers ce que nous dit le corps, retournement de la vie c'est aussi retournement contre le corps, les corps, les faire souffrir par un repentir d'être en vie, d'être en chair et en passions : nier la vie c'est nier les corps et les faire souffrir renversement platonicien ! Retour dans la matière, dans la chair, dans le corps, l'apesanteur -) accès à nous même, ouverture à la vie et pas la combattre ne pense pas la vie au-delà de ce qu'elle est, cad comment elle nous apparaît retour au dionysiaque, au changeant, au pulsionnel, à la force et à la démesure de vivre, à l'éclatement des passions et pas à un lissage dont le sujet est l'amour, le retour au calme, au tempéré... philosophe qui ne condamne pas du tout la souffrance, les oppositions, les contradictions, l'échec, la violence, la guerre, les troubles -) se méfie de la paix, du calme : remet en question ce qui est d'ordinaire considéré comme « bien, beau, bon » apprendre à perdre, à lâcher, ne pas être, se tuer et tuer les autres par le ressentiment et voir la souffrance comme une compensation (pour soi mais aussi quand les autres souffrent on se dit « alors je ne suis plus seul » ou « je me sens augmenté par leur tristesse » -) lâche, faible, la haine et la lutte acharnée contre la vie la mauvaise conscience ne change rien aux faits, à la réalité, elle contribue à tuer la vie, à se tuer soi-même, aller vers la grande santé, être bien avec soi-même lâcheté = déguisement, dissimulation, falsification, le pire de tout le fort n'attend pas l'aval et l'amont sociaux derrière tout cela, il y a des intérêts servis et c cela qui est grave métaphore de la médecine, de la santé -) une vie pleine de ressentiment est le symptôme d'une vie malade, qui s'essouffle, se perd, se nie, ne se rencontre pas véritablement -) être un être de triomphe, de victoire ! Pour apprendre vraiment, il est parfois nécessaire de s'isoler, « aller vers quelque désert » et souffrir, se faire violence pour apprendre, se décentrer de nos anciennes croyances... être cruel pour être savant. Les forts ont tend à se séparer, chercher leurs valeurs, aller vers leur liberté peur -) ressentiment -) haine de la vie, groupe, culture pervertie, peur de la vie, négation de la vie -) cercle vicieux les schémas de pensée conditionnent la vie, ils font tenir l'h, c violent de les déconstruire mais c aller vers la liberté l'h libre connaît bcp d'échecs que veut dire vivre dans le confort ? uploads/Philosophie/ fiche-nietzsche.pdf

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