INITIATION À LA RECHERCHE : partie 01 POURQUOI L`ENSEIGNEMENT SUR LA RECHERCHE?

INITIATION À LA RECHERCHE : partie 01 POURQUOI L`ENSEIGNEMENT SUR LA RECHERCHE?  Fonctionne selon les réflexes implicites  Outil : résumé, fiche technique, questionnaire….  Combler les lacunes dans la maitrise d’outils  L`autonomie de l`étudiant dans la recherche  Concevoir et finaliser un projet de recherche LES PRÉREQUIS DE BASE : Les points faible dans les outils : la langue, la prise des notes écrites et orales, la fiche de lecture, le résumé, bibliographie… PROGRAMME :  Science et obstacles épistémologique  Méthodologie, méthode et technique  La démarche de recherche et ses étapes COMPÉTENCE À ACQUÉRIR :  Autonomie dans la préparation et l`organisation  Gestion du temps  Collecte d`information  Traitement (analyse des données)  Esprits d`analyse et synthèse  S`adapter aux nouvelles situations  Utiliser les techniques d`informatique  Rédiger avec différentes techniques L`IDIOLOGIE : ensemble d`opinions et de représentations coordonnées et structuré qui orientent l`action, pratique ou théorique, c’est aussi un système de réflexion, des pensées structurées, elle peut affecter le comportement COUR 02 : L`OBSTACLE EPISTEMOLOGIQUE LA NOTION D`OBSTACLE ÉPISTÉMOLOGIQUE : défini par GASTON BACHELARD, c`est un triple contenue :  Fonction négative que l`obstacle exerce sur la connaissance (empêche l`évolution)  L`inertie présupposé qui entrave la recherche  Agir inconsciemment NIVEAUX DE CONSTITUTION DE L`OBSTACLE :  Obstacle dans un jugement priori (défaut de distanciation entre percept et concept)  L`obstacle au sein de la science : o Les acquis ne sont pas régulièrement revisités o La connaissance n`est pas définitive o La connaissance d`ouverture au départ se referme : la connaissance devient un dogme, une vérité o La connaissance est un éphémère, l`important est le renseignement  L`obstacle interne à la méthodologie : touche à la manière de travailler (étouffe la voie de recherche si elle est appliqué sans regard critique)  Pour aristo, une méthode est spécifique par son objectif, aucune méthode s`applique de manière générale Définir l`objectif  le contextualiser  choisir une méthode parmi d`autre L`EXPERIENCE PREMIERE :  Connaissance obtenue par nos sens, elle est perceptible, sensible, résulte d`un processus corporelle  Impossible de connaitre le réel, la perception diffère d`une personne a une autre  Facteurs des écarts constatés qui orientent le jugement d`une personne: la langue, la mémoire, la position sociale, la situation économique L’OBSTACLE EPISTEMOLOGIQUE A L’ESPACE VRAI : Les 2 auteurs définissent une différence entre l’architecture et la peinture et sculpture, alors ils ont déterminés un obstacle ; celui de présupposer la définition de l’architecture comme art. - La possibilité d’analyser l’architecture aussi par rapport à la technique constructive dans un autre cadre - Le Corbusier cherche à définir l’architecture par rapport à la technique d’ingénierie Dans les 2 cas, il y’a une présupposition idéologique et selon l’analyse de définit de ZEVI et FOCILLON est un obstacle substantielle - En prend en considération l’esprit préscientifique et la substance à un myth intérieur dans l’analyse Pour définir l’essence de l’architecture, les 2 auteurs la transformé en substance = l’architecture c’est l’espace intense [Conclusion] Selon PHILIPE : (la conceptualisation de l’espace architectural indispensable à l’ingénierie ; ne consiste pas d’analyser l’espace vrai puis le construire de référence architecturologique, et ne peut pas se limiter à la perception vrai doit intégrer le concept). L’obstacle épistémologique à l’espace mental : Tomber dans l’obstacle opposé en oubliant l’espace concret ; cette posture privilégie l’espace mental en pensant l’architecture dans l’espace. - L’espace mentale peut influencer la démarche de l’architecte. Ainsi pour les fonctionnalistes, la ville est une machine. [Selon Philipe] l’obstacle rester dans l’esprit mental et négligé dans l’espace vrai. L’architecturologie : se réfère à une pensée du champs architectural et elle différente de : - l’architecture pratique - la théorie de l’architecture (références, principe et règles de projet) Donc : l’architecturologie c’est le 3 eme degré de pensée architecturale (concept) Cette formulat part : - l’épistémologie de GASTON BACHLAR - la phénoménologie de MERLON/PONTY Les sciences de concept : mets l’architecturologie se distingue par la recherche de spécifié : - limiter aux champs architecturaux - Considérer comme science autonome - elle repose sur 2 concepts clé : l’échelle et la partie architecturale L’échelle : régisse le passage de l’espace mentale à l’espace vrai La partie architecturale : l’axiomatique intentionnelle du projet (refléter l’idée de l’architecte) CONCLUSION : L`information est obtenu à l`état brut, ce n`est pas une données objectif car il y a de nombreux facteurs socioculturelle, géographique L`expérience première n`a pas de valeur scientifique, car la valeur de l`objectivité est la base de toute mesure scientifique. INTRODUCTIF : Les spécialistes qui ne sont pas architecte définissent l`architecture en générale  FACILLON (historien d`art) : les formes de l`architecture semblent soumise à des données spéciales qui ne sauraient changer  BRUNO ZEVI (architecte, historien, critique d`architecture) : trouver une méthode claire qui définit l`essence de l`architecture  Pour ces 2 auteurs c`est dans l`espace architectural spécifique pré dimensionnel incluant l`homme que résiderait la spécificité de l`architecture  L`ensemble de mesure des vides de l`espace interne dans lequel les hommes marchent et vivent. BRUNO ZEVI uploads/Philosophie/ initiation-cours01-02-2.pdf

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