Université El Bosque LIRE III : Bibliographie annotée par : Jhoiner Tetê Crespo

Université El Bosque LIRE III : Bibliographie annotée par : Jhoiner Tetê Crespo - Eh bien, Gustavo. Métaphysique : définition et objet de la métaphysique. Ediciones Anaya, 1955. Électronique. C'est la quinzième leçon deNotions de philosophie, par le philosophe espagnol Gustavo Bueno. On y expose les différentes définitions de la métaphysique qui ont été données tout au long de l'histoire de la philosophie, et comment cette la science elle s'est ramifiée en différentes branches concernant Dieu, le Monde, l'être humain, la morale, etc., prétendant émerger comme la connaissance qui affecte toutes les autres connaissances philosophiques et scientifiques. Je le considère comme un manuel important pour mon sujet de recherche, car il me permettra de faire une analyse comparative entre métaphysique et philosophie, de voir si, individuellement, ils consistent en une seule et même chose, m'aidant ainsi à répondre à la question de qu'il s'agissefaire de la philosophie c'est comme faire de la métaphysique. L'essai de Bueno, aux fins de mon travail, fournit des informations précieuses sur les différents degrés ou niveaux d'abstraction métaphysique qui existent, qui pointent toujours vers leuniversalité connaissance des choses, que je trouve intéressante, considérant que la philosophie semble jouer le même rôle par rapport à d'autres connaissances, procédant comme un objectif-étude de ceux-ci. - Johannes, Hesse. Théorie de la connaissance. Editores Mexicanos Unidos, SA, Mexico DF, 1978. Dans ce travail préliminaire, Hessen entend définir leessence de la philosophie. Mais pour ce faire, il parcourt d'abord la tradition philosophique à la recherche de sa définition, car, selon lui, pour savoir ce qu'est la méthode de la philosophie ou ce qu'est la philosophie, il faut d'abord savoirQu'est que c'est. L'ouvrage se présente comme une enquête phénoménologique de la théorie de la connaissance, s'arrêtant à chacune des étapes par lesquelles le train de la philosophie est passé : de Platon et Aristote, à l'émergence de grands courants de pensée qui ont survécu jusqu'à nos jours (ou au moins jusqu'au XXe siècle, qui est le siècle où se déroule l'œuvre), ses problèmes épistémologiques et ses diverses solutions métaphysiques.Théorie de la connaissance de Hessen me permettra d'entrer au cœur même de la tradition philosophique et de la pensée de ses représentants les plus emblématiques, en me montrant de manière très amicale et claire le panorama global de la philosophie et en quoi elle a consisté depuis ses origines. Étant donné que ce à quoi j'ai proposé de répondre est de savoir si, lorsque nous faisons de la philosophie, nous faisons réellement de la métaphysique, je pense que les travaux de Hessen, ainsi que ceux de Gustavo Bueno, faciliteront la tâche de comparerles deux les disciplines, telles qu'elles ont été comprises historiquement, et s'inscrivent dans un cadre de référence impartial et, bien sûr, critique ; ce dernier, afin de pouvoir porter des jugements objectifs sur cette éventuellesimilitude qu'y aurait-il entre la métaphysique et Traduit de Espagnol vers Français - www.onlinedoctranslator.com philosophie, qui, bien que ce ne soit pas quelque chose d'évident ou de facile à démontrer, il y a des raisons de le croire. Et c'est ce que je montrerai à la lumière de ces deux ouvrages. - Hason, R. Norwood. Observation et explication : un guide de la philosophie des sciences. Alianza Editorial, SA, Madrid, 1977. Comme son nom l'indique, cet ouvrage du philosophe américain Norwood Russell Hason est une enquête sur les bases conceptuelles de la science. Dans ce document, Hason effectue une analyse exhaustive de concepts tels que "observation", "faits", "causalité", etc., les implications philosophiques que ceux-ci ont dans le contexte de la science et "les aspects philosophiques de la pensée microphysique" (Hason 73 ), en réponse à la dissidence de certains philosophes des sciences concernant la théorie élémentaire des particules ou physique quantique. Comment les travaux de Hason pourraient-ils m'aider en tant que guide de la philosophie des sciences ? Car ce que je recherche, ce sont des indications sur la façon dont la philosophie conçoit le phénomène de la science, en lui laissant le soin de l'étudier de manière critique dans toute sa compréhension, dans toute sa globalité. Cela m'aidera à lever quelques doutes sur les similitudes entre philosophie et métaphysique dans leur manière d'appréhender la totalité de leurs objets d'étude et de réfléchir de manière critique sur leur dimension. Mais le plus important est que le travail d'Hason me permettra aussi d'argumenter contre cette notion traditionnelle de la métaphysique, à savoir : comme une discipline morte qui traite de choses qui se retrouveraient littéralementau-delà de la physique (le « spirituel », « Dieu », l'âme du corps, etc.). La racine de ce préjugé réside dans une compréhension erronée de ce qu'Aristote appelait la « philosophie première », un concept avec lequel il se référait à la nécessité d'une science capable de transcender les préoccupations particulières des sciences spéciales, ne cherchant pas littéralement des choses au-delà de la physique. . De cette façon, ma lecture deObservation et explicationpar Norwood Hason, vous me donnerez le droit de dire que même faire de la philosophie des sciences revient essentiellement à faire de la métaphysique. La métaphysique entendue au sens aristotélicien, c'est-à-dire dans son sens juste, exige sa justification ; et je trouve cela dans la bibliographie suivante. - Marias, Julian. Idée de Métaphysique. Editorial Columba SA, Buenos Aires, 1954. Dans ce bref essai, l'auteur nous expose les problèmes et les critiques correspondantes que la métaphysique a historiquement présentés. Mais au chapitre V, intituléRetour à la métaphysique, Marías explique très brièvement et gentiment comment la critique du positivisme logique et du kantisme a suscité une réaction au XXe siècle pour revendiquer la métaphysique et l'impossibilité de son anachronisme. Le philosophe qui est le plus entré dans ce piège, selon l'auteur, est Husserl, qui « essaie de faire, face au positivisme dominant partiel, un positivisme total et efficace ; sa fidélité à cette attitude le conduisit, plus que quiconque, à affirmer le terrain sur lequel la métaphysique renaissait, malgré lui ». Pourquoi est-ce que j'insiste à ce stade sur le retour (ou plutôt la subsistance de la métaphysique) et en quoi cela se rapporte-t-il à mon thème ? Ce n'est pas parce que je crois que la scolastique, la métaphysique cartésienne ou lawolffiana est revenu et a rempli les livres actuels de philosophie. C'est plutôt parce qu'il ne suffit pasinterpréter réalité (comme le croyaient les positivistes logiques pour qui la réalité et l'étude scientifique de la réalité étaient la même chose), mais pour la dériver et la justifier ; et pour cela, qu'on le veuille ou non, il faut faire de la métaphysique. Le scientifique présuppose une réalité, une monde comme quelque chose de donné ; c'est-à-dire le scientifiquecroire en l'êtrePar conséquent, son questionnement, son enquête scientifique, est conditionné « pré-théoriquement » (Marías 35). Autrement dit, le scientifique ne sait pas ce que « sont » les choses et pourtant il les présuppose en croyant à l'être. Le scientifique a donc une croyance métaphysique (et les positivistes l'auraient aussi) ; et la nature problématique de ce fait appelle une philosophie, ou... une métaphysique ? uploads/Philosophie/ scribd-metaphisic.pdf

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