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LE TROISIÈME SECRET Source : http://www.fatima.be/fr/fatima/secret/index.php Historique et chronologie . LE TROISIÈME SECRET toujours caché par le Vatican Ce n'est qu'en juin 1943, suite à une grave maladie, que sœur Lucie rédige sur papier le troisième secret. Mis sous enveloppe et cachetée, Mgr. da Silva en devint le dépositaire. Il plaça l'enveloppe dans une autre plus grande, cachetée à la cire, et écrivit dessus : « Cette enveloppe avec son contenu sera remise à Son Éminence le cardinal don Manuel, Patriarche de Lisbonne, après ma mort. Leiria, 8 décembre 1945. José, évêque de Leiria. » Cette grande enveloppe fut ensuite placée dans un coffre de la curie car le Vatican refusa d'en devenir le dépositaire. Le troisième secret, selon la demande de Notre-Dame, devait être lu au monde en 1960. Cette date avait été expressément fixée par la Très Sainte Vierge Elle-même car à cette date son contenu aurait été mieux compris. Au début de l'année 1957, le Vatican demande à la curie de Leira l'envoi photocopié de tous les écrits de sœur Lucie, ainsi que l'enveloppe conservée par Mgr. da Silva. C'est donc le 16 avril de la même année que le Saint-Siège accuse réception des documents demandés : les photocopies, ainsi que l'original de la fameuse enveloppe cachetée contenant le troisième secret. Pourquoi le Vatican qui, en 1943, avait refusé de devenir le dépositaire du troisième secret se décida tout d'un coup à vouloir ce document ?. En 1957, on pouvait penser que ce serait en vu de sa publication en 1960... mais aujourd'hui on se demande si ce n'aurait pas été plutôt pour le faire disparaître selon l'importance de son contenu. Après la publication en 2000 d'un faux secret, le Saint-Siège se refuse toujours à montrer l'enveloppe et à autoriser l'analyse des documents présentés afin d'ôter toute suspicion sur la valeur du dossier dont tous les papes, depuis 1960, refusèrent la publication. On peut penser que Jean-Paul Ier avait l'intention de le faire, mais il disparut trop tôt, dans des circonstances mystérieuses. Le 25 janvier 1959, le nouveau pape Jean XXIII annonce la convocation d'un Concile qui s'ouvrira le 11 octobre 1962 (1) , et le 17 août il prend connaissance du troisième secret et dès lors on ne sait où est passée cette lettre écrite quelques années plus tôt par sœur Lucie. Arriva l'année 1960 avec cette attente, pour les catholiques du monde entier, de connaître le message du Ciel ; mais le 8 février, l'agence de presse A.N.I. annonce le communiqué suivant qui tombe comme une bombe ! : « Cité du Vatican : Il est probable que le "secret de Fatima" ne sera jamais rendu public ». Que contient donc ce texte pour que le Vatican décide de ne « jamais » le rendre public !?!. Face à cette stupéfiante décision, l'évêque de Leiria s'adresse courageusement à tous les évêques du monde, sans demander l'avis du pape. Il envoie donc un courrier dans lequel il demande d'organiser une nuit de prière à Fatima-ville, les 12 et 13 octobre 1960 afin d'obliger le Vatican à écouter les ordres de la Sainte Vierge. Le 12 octobre, 500 000 pèlerins venus du monde entier, participeront à cette nuit de prières ; mais le pape ne tiendra aucun compte et continua à mépriser la demande de Notre-Dame d'une part, et les catholiques eux-mêmes par la même occasion. C'est dès ce moment là que, peu à peu, les modernistes purs et durs, les gens d'églises plus ou moins francs-maçons (plutôt plus que moins), entreront en masse dans les hautes sphères de la hiérarchie vaticane !. Le 3 juin 1963, le pape Jean XXIII meurt et Paul VI lui succède. Il se fait communiquer le texte du troisième secret, mais comme son prédécesseur il n'en tint aucun compte et fera même pire que lui, puisque le Concile Vatican II adopta plusieurs textes blasphématoires contre la Sainte Vierge ; supprima plusieurs fêtes de la Vierge dans le nouveau calendrier liturgique ; réduisit le culte au strict minimum... et dans les textes votés lors des sessions dudit concile, n'apparaîtront jamais les mots : « Cœur Immaculé de Marie », « Sacré-Cœur », « rosaire », « chapelet »... Bref, l'esprit de satan s'infiltrait dans l'église, lui faisant perdre le culte de Marie et de Jésus pour lui ouvrir une nouvelle ère : celle du culte de l'homme, nouveau et seul dieu dans l'esprit inavoué de ce sinistre concile !. Paul VI se rend à Fatima le 13 mai 1967. On aurait naïvement pensé qu'il révélerait au monde ce qui aurait dû être fait 7 ans plus tôt ; mais déception, il ne fit rien !. Arrivée à l'aéroport portugais vers 9h30, le pape se rendit en Rolls-Royce (on ne se refuse rien...!) à la Cova da Iria. Il dit la messe moderniste qui se fait depuis Vatican II et à la fin de la célébration, la voyante lui fut présentée. Sœur Lucie lui implora à genoux, à plusieurs reprises, un entretien seule à seul, mais — selon le témoignage du Père Almeida — le pape refusa en ces termes : « Voyez, ce n'est pas le moment ; et puis si vous voulez me communiquer quelque chose, dites-le à votre évêque (de Leiria) ; c'est lui qui me le communiquera. Soyez bien obéissante à votre évêque ». On ne peut traiter une personne avec plus de mépris !... La voyante se retira donc. Très attristée, elle pleura. Elle qui connaît le troisième secret, sans doute avait-elle de bonnes raisons d'être triste !... Pourtant, le pape Paul VI accorda une série d'audiences : à l'épiscopat portugais, au corps diplomatique, à un groupe de chrétiens non catholiques, mais non à sœur Lucie. Pourquoi ? Lors de son voyage, il refusa de se rendre à la chapelle des Apparitions située sur l'esplanade même. Pourquoi ? Tout n'était que discours à la gloire et au culte de l'homme ; comme dans ces paroles lors de son homélie : « Hommes, rendez-vous dignes du don divin de la Paix ; Hommes, soyez des hommes ; Hommes, soyez bons, sages, ouverts à la considération du bien général du monde ; Hommes, soyez magnanimes ; Hommes, sachez voir votre prestige et votre intérêt, non comme étant contraires, mais comme étant solidaires avec le prestige et l'intérêt d'autrui. Hommes, pensez aux projets de commun bien-être ; Hommes, recommencez à vous approcher les uns des autres avec la volonté de construire un monde nouveau : le monde des hommes vrais ». Quelques mois plus tard, sœur Lucie remit une lettre à l'évêque de Leiria qui devait se rendre à Rome pour un pèlerinage. Le 27 septembre 1967, l'évêque remettait donc ladite lettre au pape, qui n'en donna aucune suite, ni verbale, ni écrite... l'a t-il au moins lu ? On ne le sait... ! Quoi qu'il en soit, de 1967 à 1978 Notre-Dame de Fatima est complètement oubliée au Vatican !... Personne, derrière les murs de cette citée ne parlera plus de la Vierge du Portugal. Le 26 août 1978, le cardinal Luciani devint Pape et prend le nom de Jean-Paul Ier. On sait que Mgr. Lugiani, patriarche de Venise, a vu sœur Lucie à Fatima. Selon le livre : « El diario secreto de Juan Pablo I », (éd. Planeta, 1990) ("Le journal secret de Jean-Paul I") l'auteur, Ricardo de la Cieva y de Hoces, raconte sous forme de fiction littéraire et d'une manière romancée, les faits suivants : Dans son journal secret le pape écrivit le 21 septembre 1978, huit jours avant son martyr : « Le 11 juillet 1977, don Diego Lorenzi m'accompagnait à la concélébration dans l'église des carmélites de Coimbra. Sœur Lucie, qui vivait dans le couvent, demanda à me voir. J'acceptais avec quelques défiances. Ces choses me causent une certaine perturbation. Lucie était une petite religieuse vive et communicative qui m'entretint deux longues heures alors que j'avais prévu quelques minutes pour la bénir et puis m'en aller. Elles me passèrent comme un souffle. Elle ne parla pas des Apparitions, ni du fameux Secret, mais d'une préoccupation qui lui tourmentait l'âme à propos de la dégradation du clergé et de la foi des fidèles. Elle resta alors comme assoupie et quelques moments de silence passèrent. Elle me parlait avec les yeux baissés, mais soudain elle me regarda fixement pendant quelques secondes : « Quant à vous monsieur le patriarche, me dit-elle avec des paroles qui manifestement n'étaient pas les siennes, la couronne du Christ et les jours du Christ. » Elle retomba dans le silence pendant que je me taisais très ému. Depuis lors je n'ai pas cessé de penser à cela une seule nuit. La couronne du Christ, quelque chose me le dit à l'intérieur de moi-même, est peut-être ce que j'appelle "oppression" : les jours du Christ seront mes jours, mes semaines, mes années... je ne sais pas. Aujourd'hui est le 25 ème jour de mon pontificat. Les années du Christ on été 33... Je ne sais pas ! » L'hebdomadaire Gente Veneta daté uploads/Religion/ chronologie-du-troisieme-secret-de-fatima.pdf

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  • Publié le Nov 22, 2021
  • Catégorie Religion
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