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UMPJ DES MINISTRES DE FINANCE : LE DON COMME ADORATION Alléluia ! Examinons Sal

UMPJ DES MINISTRES DE FINANCE : LE DON COMME ADORATION Alléluia ! Examinons Salomon dans l’adoration de Dieu au travers du don. J’ai besoin que quelqu’un lise 1 Rois 3 : 4-15. Frère, peu de temps après que Salomon était devenu roi, il s’était rendu au haut lieu à Gabaon. Ce n’était pas un lieu de culte indiqué. Dieu ne voulait pas qu’Israël l’adore dans les hauts lieux comme on adore les idoles. Mais quand David avait ramené l’arche de Dieu, il avait installé l’arche dans son palais, parce qu’il s’était rendu compte que Dieu avait béni Obed Edom parce que l’arche avait demeuré dans sa maison. Parce que l’arche était restée chez Obed Edom, Dieu avait béni Obed Edom. Donc David était toujours en train d’apprendre. Il avait appris d’Obed Édom que, quand on se soucie de la présence de Dieu, Dieu nous bénit. Il voulait Dieu, il voulait Dieu. Et il était prêt à apprendre des autres comment ils ont fait pour avoir Dieu. Il avait appris d’Obed Edom : Avant Obed Édom, il croyait qu’être à côté de l’arche de Dieu était une chose dangereuse parce qu’on pouvait mourir comme Uzza. Mais quand il a vu qu’Obed Édom, juste en offrant sa maison pour qu’elle devienne une église de maison pour garder la maison de Dieu, que cela a apporté les bénédictions sur Obed Edom, David s’est dit, « Ah quel raccourci pour avoir Dieu ! » Il a donc dressé une tente pour l’arche de Dieu dans une partie de sa maison. Dans une partie du palais, il avait dressé une tente et y avait ramené l’arche, et l’avait installée là-bas. C’était sa manière de dire à Dieu, « Dieu je Te veux ». Et ce sont là des images des églises de maisons dans l’Ancien Testament. L’église de maison chez Obed Edom, l’église de maison dans le palais de la nation, partout où on avait donné à Dieu un endroit ou rester. David avait appris. Nous, nous devenons jaloux quand les autres trouvent Dieu, nous n’apprenons pas d’eux. David avait appris. Il était le roi, il craignait l’arche. Obed Edom était un sujet, mais Obed Edom avait expérimenté le bon côté de la présence de Dieu et David a appris de lui. Combien j’aurais souhaité que nous puissions apprendre des autres. Combien j’aurais souhaité que nous puissions apprendre des autres. Au lieu de toutes les jalousies qu’on a au milieu de nous, combien j’aurais souhaité que nous puissions demander : « Quel est le secret de la vie de cet homme-ci ? » Au contraire, quand nous voyons que Dieu a béni cette personne, nous commençons à demander, « En quoi me dépasse-t- elle ? » Ça ce sont des questions de Caïn. Mais ce ne sont pas là des questions de David. « Oh Dieu a bénis cette personne ; il a appris un secret que je n’ai pas appris. Qu’es ce qu’il a fait ? Je vais faire comme lui, parce que Dieu est le Même aujourd’hui, le même hier et le même pour toujours. S’Il a béni Obed Edom, il va me bénir parce que Dieu est le même. Il ne fait pas de favoritisme. Qu’est-ce qu’Obed Édom a fait ? Il a hébergé l’arche. Que devrais-je faire ? Moi aussi je vais héberger l’arche. » Donc il a dressé le Tabernacle de David. Et cela était devenu le deuxième Tabernacle de l’Ancien Testament. Il y avait au-paravent le tabernacle dans le désert et maintenant, David avait dressé un Tabernacle, le Tabernacle de David. La Bible parle beaucoup du tabernacle de David. Dieu a eu un palais ou demeurer, Parce que David était un roi humble. Il n’avait pas pensé qu’il avait le monopole de Dieu. Il pouvait apprendre d’un sujet. Il pouvait apprendre. Est-ce que trois personnes peuvent prier pour que les frères cessent d’être jaloux et que nous apprenions ? Quand on est en train de creuser de l’or, il y a des veines d’or. Subitement, quelqu’un peu creuser et il se retrouve avec une veine d’or, des filons d’or. Il se surprend sur un filon d’or. Quelqu’un d’autre peut creuser toute sa vie sans jamais tomber dessus, mais quelqu’un d’autre, d’un coup, il tombe sur un filon d’or. Quand on trouve que dans la vie spirituelle, celui-ci est tombé sur un filon d’or, pourquoi ne pas lui demander : « mon frère, tu as fait comment ? Tu as fait comment ? » Si Dieu est le même hier, aujourd’hui et éternellement, ce qu’Il a fait hier pour l’autre, Il va aussi le faire pour moi si je convoite Dieu. Voilà ce que David avait appris. C’était lui le dirigeant, mais il a appris de quelqu’un qui était son subordonné, parce que la personne a touché Dieu d’une manière qu’il n’a jamais touché Dieu. Que trois personnes prient pour que Dieu nous donne un baptême de la faim pour Dieu, enfin que nous cherchions Dieu, trouvions Dieu, que nous trouvions Dieu. Je vais vous dire ce que j’ai appris il y a de cela trois jours. Hyacinthe Bekolo est revenu du voyage qu’il avait fait avec le frère Menye, et il était en train de partager avec moi. Il m’a dit comment il a vu le frère Xavier Ngompe recevoir la foi et la guérison. J’étais très content parce que nous avions prié pour le frère Xavier Ngompe pendant si longtemps. J’ai remercié le Seigneur. Le lendemain dans ma méditation, j’ai remercié le Seigneur, le troisième jour, je continuais à remercier le Seigneur et puis je me suis arrêté et j’ai posé une question dans mon cœur, j’ai dit, « Seigneur, j’avais ordonné aux anciens d’aller oindre le frère Xavier au moins trois fois, qu’est ce qui c’est passé ? Pourquoi n’a-t-il pas eu de guérison évidente ? » Et le Seigneur m’a dit, « Fils, c’est juste une question simple d’obéissance à Ma parole. Ma parole dit, ‘Cherchez et vous trouverez ; demandez et vous recevrez ; frappez et la porte vous sera ouverte.’ » Et Il m’a demandé, « est-ce que tu connais pour combien de milliers de personne Menye à rechercher la guérison ? Combien de milliers de jeûnes il a amené les gens à élever afin que je puisse apporter la guérison ? Est-ce que tu connais ? » J’ai dit, « Non ». Il a dit, « Prêt de 40.000. Donc quand il cherche la guérison, je lui donne. Si les autres cherchaient la guérison pour leurs gens, je leurs donnerais. » Je ne pense pas que même Boniface lui-même a demandé, mais j’ai demandé. Donc j’ai appris. J’ai appris comment Dieu S’y prend. L’autorité pour donner la guérison vient de la justice de Dieu. Demandez, et vous recevrez, cherchez et vous trouverez. Combien de pasteur connais-je qui ont demandé la guérison pour au moins 10.000, 20.000 ou 25.000 personnes et Dieu ne leur a pas accordé ? Qui a compris le principe ? Donc quand les gens se rassemblent, mus par la pression du moment, ce n’est pas la même chose. Dieu sais que celui-ci, il veut la guérison pour ses gens, pour les gens. Si toi-même tu étais Dieu et quelqu’un a bombardé ton trône avec près de 40.000 jeûnes sur une même chose : la guérison, serais-tu indifférent ? Est-ce la même chose pour toi que pour quelqu’un d’autre qui en passant te demande la même chose ? Est-ce que c’est la même chose ? NON ! Dieu est Juste. Il va donner à ceux qui demandent. Il va permettre à ceux qui cherchent de trouver. Il va permettre à ceux qui frappent d’avoir des portes ouvertes. Il va permettre aux violents d’avoir accès. Qui a compris ? Donc nous marchions tous là, mais nous ne sommes pas les mêmes. Il a apporté les fruits de ses récoltes. Abel avait son troupeau il a apporté ce qu’il avait. Nous adorons avec ce que nous avons, il faut que nous adorions avec ce que nous avons, c’est un principe. Lorsque les trois vaillants hommes de David avaient bravé tous les obstacles pour lui apporter de l’eau du puits de Bethléhem. David avait dit cette eau-ci à la valeur du sang, ça c’est le genre de chose qu’il faut donner à Dieu ; en donnant de la valeur à cette eau à cause du sacrifice qui avait été effectué pour obtenir cette eau. David a eu quelque chose avec quoi adorer il a décidé de donner cela à Dieu ce n’était plus de la simple eau, moins chère c’était maintenant l’eau du sang. Il avait quelconque de chère, qu’il pouvait donner à Dieu. Pour David, quand il avait quelque chose qui était merveilleux, il pensait immédiatement à Dieu. Pour Salomon, quand il avait quelque chose de merveilleux, il pensait à lui-même. David était un adorateur, Salomon était un roi. Dans le cas de Caïn et Abel, nous voyons le don comme étant le premier réflexe du culte et nous apprenons une leçon sur uploads/Religion/ le-don-comme-adoration 1 .pdf