1 Oleg Eric ANITOFF Normalien, Docteur Es Sciences Physiques 1051 rue des Bois
1 Oleg Eric ANITOFF Normalien, Docteur Es Sciences Physiques 1051 rue des Bois de Vaux, 45210, Nargis , Loiret Tel : 02 18 12 51 88 et 06 75 92 18 76 anitoff.oleg@neuf.fr CURICULLUM VITAE BIOGRAPHIQUE Je rajouterais mes publications et conférences enregistrées de 1978 à 1986 Conférences récentes : 2005 AES2005 All-Electric Ship Conference ; SEE ; 13-14 octobre 2005 « Description and reliability of a 100kW DC/DC Converter involving IGBTs in a TO247 package at an output voltage of 200 Volts to 200 kilovolts » 2003 Congrès de la Société Française de Physique, Lyon, juillet 2003 « Effets et propriétés de l’eau d’hydratation dans des systèmes mésoscopiques synthétiques et naturels. Perspectives d’instrumentations spécifiques en cours 2002 Institute of Physics UK et Société Française d’Acoustique SFA Conférence, Wissant, décembre 2002 2002 Institute of Physics UK, Electromagnetics Methods in Pharmacy ; 8 -10 avril 2002 ; Darwin College, Canterbury, Kent « Project for the design of a time domain dielectric spectrometer » 2 1997 Rapport présenté à l’ENSEA ; Etude de Générateurs Haute Tension et projet de séparateur isotopique du carbone 13 Formation : 2003 Formation continue par participation au Congrès de la Société Française de Physique, Lyon Participation à des conférences de l’Institute of Physics UK, la Société Française d’Acoustique, la Société Française de Physique et la Société des Electriciens et Electroniciens en 2002, 2002, 2003 et 2005 1983 Thèse de Doctorat D’Etat Es Sciences Physiques à l’Université de Paris Sud Orsay, Paris XI, préparée au CEA Saclay sur poste CNRS « l’effet photodiélectrique dans des systèmes d’intérêt biologique » https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01270877v1 inis.iaea.org/search/search.aspx?orig_q=RN:46026885 1977 Thèse de Doctorat de 3ème Cycle en Chimie Organique à l’Université de Paris VI – Jussieu et l’ENS Ulm, préparée au CEA – CEV – Centre d’Etudes Militaires de Vaujours « étude de voies d’obtention de dérivés boro-azotés nitrés » https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01270841v1 1977 Biadmissibilité à l’écrit de l’Agrégation de Chimie, ENS Ulm 1975 DEA de chimie organique, ENS Ulm et Université de Paris VI 1974 Maitrise et AEA de Chimie à l’Université Paris VI et ENS Ulm 1972 Equivalence DUES, admission à l’ENS Ulm concours chimie 3 1970 Baccalauréat série C, Lycée Eugène Delacroix de Drancy Etudes et parcours professionnel Je faisais mes études secondaires au Lycée d’Etat Mixte Eugène Delacroix de Drancy (93700). A 14 ans, je savais réparer ma machine à écrire Olivetti, et j’ai commencé à étudier la chimie et la radio avec les produits des quincaillers et préparatrices en pharmacie de Drancy, les cyanures de potassium et d’argent pour galvanoplastie et les télés à réparer (à lampes à l’époque) de mon professeur de travaux manuels au Lycée, les livres, composants et appareils Thomson – Sescosem des collègues de ma mère, qui y était chef de service, et les cours de radio « votre carrière radio TV » des éditions Chiron, actuellement téléchargeables.. Je faisais allemand et anglais en langues vivantes. J’ai écrit « chimie minérale » et « chimie organique », qui sont téléchargeables : https://www.scribd.com/document/39655003/Oleg-Eric-Anitoff-Chimie-Organique Dés l’âge de 16 ans, j’avais ma carte de lecteur à la bibliothèque universitaire Sainte Genevève (place du Panthéon, à Paris, près de l’ENS Ulm) et un compte ouvert à la Société de produits chimiques Touzart et Matignon, rue Amyot, près du Panthéon également. En 1970, à l’âge de 17 ans, j’ai obtenu mon baccalauréat C avec la mention Bien, préparé au Lycée Eugène Delacroix de Drancy. Ma professeur de Sciences Physiques agrégée en terminale à Drancy m’a conseillé le Lycée Claude Bernard à Paris XVIème pour faire Mathématiques Supérieures, j’ai été admis, étudiais aussi les cours des éditions russes MIR en Français, dont le cours Piskounov de calcul différentiel et intégral, et j’ai été premier en cette matière toute l’année. Ensuite, Mathématiques Spéciales B’ au Lycée Janson de Sailly, Paris XVIème. J’ai été premier en chimie et cinquième en physique toute l’année. En octobre 1972, j’étais reçu au concours chimie de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, ce qui confère l’équivalence DUES et le statut d’élève fonctionnaire stagiaire. En 1974, j’avais la maitrise et l’AEA de chimie, avec deux mentions bien (en chimie organique et chimie physique) et le certificat de physique « vibrations – phénomènes de propagation ». 4 Le Professeur Marc Julia, Directeur du labo de chimie organique de l’ENS Ulm, nous faisait en supplément son C4 de stéréochimie. Ensuite, pour mon DEA et ma Thèse de Doctorat de 3ème Cycle, on m’a proposé un stage au CEA – CEV – Centre d’Etudes Militaires de Vaujours, pour étudier la synthèse possible de N-nitro borazènes, à partir de l’article initial de T. Hirata au Picatiny Arsenal, New Jersey, USA. J’étais externe et habitais Drancy, or, Vaujours est aussi dans le 93, donc pas très loin par la N3.Le climat était agréable, et je me suis vite adapté. J’ai travaillé à mon DEA puis à ma Thèse de juin 1974 à septembre 1975, J’ai fait de nombreuses synthèses, et fait faire des analyses par infra-rouge, microanalyse et couplage chromatographie en phase gazeuse – spectrométrie de masse, ces dernières au laboratoire du Pr. Basselier à l’Université de Paris VI – Jussieu. Octobre 1975 – juillet 1976 : préparation de l’agrégation de chimie, sous la direction et avec les cours de Mme Josianne Serre, directrice de l’ENSJF (Ecole Normale Supérieure de Jeunes Filles). Commençant par un stage de ski à Vars, auquel je me suis adapté immédiatement, et le cours sur les solvants en chimie organique. Des cours très intéressants de Chimie Organique (le VOGEL), physico-chimie des semiconducteurs inorganiques, et électrochimie. Le problème est que j’étais timide, gauche, et bègue. Difficile pour l’agrégation, j’ai trouvé une solution basée sur Journal of Chemical Education. J’en ai profité pour passer deux semaines de congés en angleterre, et ai fait deux inventions, qui m’ont servi par la suite. 1) le communicateur directionnel à ultra-sons, réinventé plus tard (en 1992)par la société Acoustic Hétérodyne et décrit dans le rapport de Mrs Eleanor White que j’ai trouvé sur internet chez 2ADI en 1999. 2)je pensais que l’alchimie devait avoir un sens. Pour moi, le catalyseur de projection devait avoir des propriétés quantiques, liées aux modes longitudinaux des courbures de bandes au voisinage des interfaces, et être 5 sensible aux électrons libres émis par émission thermoionique, d’où l’emploi d’un isolant diélectrique, cire ou papier, ce qui peut avoir aussi d’autres interprétations. Ce modèle m’a servi par la suite, et mène à des théories genre Z.P.E de Harold Puthoff, dont j’avais acheté et commencé d’étudier le livre « électronique quantique en vue des applications ». Ceci m’a permis d’Être admissible aux épreuves écrites, mais je n’ai pas réussi l’oral. Je suis ensuite parti passer 5 semaines de congés en scandinavie, parlant en anglais et un peu en allemand. A l’année scolaire suivante, en octobre 1976, le sous directeur du laboratoire de chimie organique m’avait trouvé un poste d’attaché de recherche CNRS au Centre d’Etudes Nucléaires de Saclay. Bien sur, il restait encore à mettre en forme et soutenir ma Thèse de 3ème Cycle. Travail au Centre d’Etudes Nucléaires de Saclay. Octobre 1976 – Novembre 1986 J’ai commencé par continuer quelques essais de chimie minérale, notamment la nitration du lithien de la diméthylamine par le fluorure de nitryle gazeux, et fait faire des analyses par résonance quadrupolaire nucléaire du chlore des complexes nitranilines – trichloroboranes, par le Pr. Lucien Guibé, de l’Institut d’Electronique Fondamentale à la Faculté d’Orsay. J’ai pris mon premier appartement, et rédigé et soutenu à l’ENS ma thèse de 3ème cycle le 15 juin 1977. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01270841v1 Je m’étais aussi représenté à l’agrégation de chimie, et ai été une seconde fois admissible sur une seule épreuve, la question de cours sur la thermodynamique de l’oxyde ferreux semiconducteur, cas unique dans les annales de l’agrégation d’après Mme Josianne Serre. Au CEA, mes chefs de laboratoire étaient Maurice Ceccaldi, avec lequel j’ai commencé à étudier la construction d’éléments de spectromètres infra-rouge, 6 et Jean Pierre Leicknam, dont j’ai présenté les travaux à la 4ème Conférence Internationale de Photosynthèse à Reading, UK, en septembre 1977. Il m’avait commandé des nitrures de magnésium, nickel et cobalt, que j’ai préparés à partir des thiocyanates préparés dans l’ammoniac liquide. Au début, nous avions les séminaires du Pr. Michel Magat de la Faculté d’Orsay, mais il est mort, son action n’a pas été suivie, et j’ai laissé la chimie. Le cadre de ma thèse était mentionné très largement, je cherchais des idées et ai trouvé dans Phys Rev 1975 un article du Pr. Herbert Fröhlich sur la possibilité d’un effet superdiamagnétique dans le lyzosyme. J’ai trouvé cela suffisament intéressant comme départ, assemblé un petit susceptomètre à oscillateur RF à transistor MOSFET (dont j’ai observé le fonctionnement jusque immergé dans l’hélium liquide) et fait rectifier les pièces polaires d’un électroaimant de 1 Tesla pour spectrométrie de masse, pour y insérer mon susceptomètre.Je n’ai pas retrouvé l’effet de H. Fröhlich, une équipe italienne équipée d’un SQUID non plus. L’effet observé était peut être du à une microparticule ferromagnétique. Un éventuel effet superdiamagnétique conduirait aux théories de Victor Veselago et de Kosyrev, une uploads/Sante/ cv-nouveau-2018 1 .pdf
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- Publié le Jan 17, 2022
- Catégorie Health / Santé
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