Nom et prénom : Fakhreddine Amr Classe : 3e5 Métier choisi : chirurgien Sommair
Nom et prénom : Fakhreddine Amr Classe : 3e5 Métier choisi : chirurgien Sommaire Argumentation du choix du métier………………………page 2 Histoire et evolution du métier…………………..page 3 Nature et évolution du métier……………………….page 4 Les études à faire pour devenir chirurgien …….page 5 Conclusion………………………………………………….page 6 Pourquoi-aie-je choisi ce métier ? J’ai choisi ce métier car être chirurgien, c’est accumuler des expériences, assimiler des anatomies diverses et savoir faire face à l’imprévu. C’est ce qui fait la beauté du métier. Mais la chirurgie ce n’est pas que la technique, c’est aussi un métier humain. Le patient confie son corps à son chirurgien. Quels sont les avantages d’être chirurgien ? -Sauver des vies et guérir des patients. -Un très bon salaire (Un chirurgien peut gagner entre 5 800 € et 11 500 € brut par mois). -Rassurer les patients et les suivre avant l’intervention. Quels sont les inconvénients d’être chirurgien ? - Possible perte du patient pendant une opération, devoir annoncer la mauvaise nouvelle aux proches . - Les heures de travail qui sont souvent très élevées. - Les nombreuses années d’études qu’il faut faire pour arriver a pratiquer ce métier. Page 2 Nature du métier de chirurgien Le métier de chirurgien consiste à réaliser des opérations chirurgicales sur le corps des personnes victimes de fractures ouvertes, de malformations… Ses principales fonctions sont les suivantes : recoudre, poser des prothèses, faire des transplantations… Histoire du métier de chirurgien Origines Depuis l’Antiquité , il existait une tradition médico-chirurgicale savante, basée sur l’écrit, mais aussi tout un ensemble de pratiques empiriques transmis par voie orale et par apprentissage. Les soignants illettrés empiriques étaient majoritaires : fermier-guérisseur, serveuse-sage-femme, guerrier-chirurgien, rebouteux, herboristes... Il y avait ainsi une médecine agricole ou domestique, où un propriétaire de bétail ou d’esclave pouvait être capable de donner des soins. La pratique médico-chirurgicale était un art public, dans un marché libre et ouvert à tous, où les iatroi ou medici pouvaient être côtoyés ou concurrencés par des boxeurs, des palefreniers, des maitres d’école ou tout autre amateur éclairé.Le rôle et la position sociale de ces soignants et guérisseurs restaient le plus souvent indéterminés. D’après Vivian Nutton , ce qu’on appelle aujourd’hui les « professionnels de santé », subdivisés en catégories bien distinctes et règlementées, n’existaient pas tels qu’on les connait depuis le début du XIXe siècle. Ils se répartissaient alors, et jusqu’au début du Moyen Âge, de façon continue sans ligne de partage fixe ou identique partout, en se chevauchant dans leur domaine de compétence.Dans l’Antiquité tardive, à partir du IIIe siècle a.p. J.-C., au sein de la tradition écrite et sous l’influence du galénisme, la théorie et la pratique médico-chirurgicale tendent à se séparer. La dislocation du monde romain et le monothéisme chrétien entérinent cette scission dans la tradition savante (« orthodoxie » canonique des textes religieux, puis médicaux) Moyen Âge central En Occident, au début du Moyen Âge central , vers l’an mille , la pratique médico-chirurgicale est le fait de religieux et de clercs exerçant dans des couvents ou les premiers hôpitaux. La première grande école est l’École médicale de Salerne , qui reçoit les premières traductions des textes chirurgicaux grecs, byzantins et arabes vers la fin du XIIe siècle.En 1163 , lors du concile de Tours , l’Église décrète : « Ecclesia abhorret a sanguine », « l’Église hait le sang». Avec ce décret, les médecins, la plupart membres du clergé à l’époque, ne peuvent plus pratiquer la chirurgie, et celle-ci est reléguée à un rang inférieur pour plusieurs siècles. En 1215 , le quatrième concile du Latran va plus loin et interdit explicitement aux prêtres d’exercer la chirurgie. Cependant, ces textes mettront plus de deux siècles pour s’appliquer réellement. Il existe de nombreuses tolérances et indulgences , surtout dans le sud de l’Europe, par proximité géographique avec la cour des Papes, car le Saint-Siège entend garder auprès de lui les médecins-chirurgiens les plus réputés.En 1231, Frédéric II fixe les études médicales à une durée de cinq ans, incluant la chirurgie, et validées par les maitres de Salerne. Tout au long du XIIIe siècle la chirurgie de Salerne diffuse aux premières universités médicales italiennes, comme Bologne (dissections anatomiques humaines). Des évêques, prêtres ou autres clercs plus ou moins émancipés sont de grands chirurgiens comme Guillaume de Salicet , Théodoric , Lanfranc , Henri de Mondeville ... Près de la Papauté d’Avignon , l’Université de Montpellier garde une liberté d’action pour former des médecins-chirurgiens clercs ou laïcs. Séparation de la médecine et de la chirurgie D’un point de vue intellectuel et technique, la séparation de la médecine et de la chirurgie est toujours restée partielle et incomplète car les deux domaines partageaient une tradition savante commune (mêmes sources, même doctrines). Selon Vivian Nutton, ces médecins ou chirurgiens savants lettrés (connaissant le latin) n’étaient que la pointe infime d’une pyramide de soignants en couches hiérarchisées : chirurgiens, barbiers, arracheurs de dents , opérateurs itinérants (taille , cataracte , hernie ...), inciseurs, rebouteux... plus ou moins illettrés ou empiriques, certains pouvant se prévaloir d’une réelle expérience acquise transmissible, d’autres n’étant que des charlatans (en termes médiévaux : circulateurs, bateleurs, triacleurs, imposteurs et abuseurs...).D’un point de vue institutionnel et professionnel la séparation entre médecine et chirurgie reste tout aussi complexe et diverse selon les régions. En Europe du Nord (régions non-méditerranéennes), la fondation des Universités de médecine s’effectue en l’absence locale d’une tradition chirurgicale savante. Celle de Paris se définit comme une université des arts libéraux (par opposition aux arts mécaniques ), la médecine est alors élevée au rang de discipline intellectuelle (scolastique médiévale) par opposition aux activités manuelles. Ce qui exclut la chirurgie (dont l’étymologie grecque est kheirourgia – opération manuelle –).Ainsi, à l’interdit religieux de la chirurgie aux clercs s’ajoute, dans plusieurs régions d’Europe, l’interdit universitaire de la chirurgie aux médecins. Par exemple, les effets du Concile de Latran de 1215 ne se feront sentir à Montpellier qu’à partir du XVe siècle, la fin de la papauté d’Avignon et son retour à Rome coïncidant avec l’abandon de la chirurgie par les médecins de Montpellier. Spécialisation des métiers Le développement économique et urbain favorise un processus de spécialisation des arts et des métiers à partir du XIIe siècle. À Paris, la profession de chirurgien se différencie lorsque Jean Pitard , premier chirurgien de Saint Louis , crée au XIIIe siècle la confrérie de Saint-Côme et de Saint-Damien qui distingue les chirurgiens dits « de robe longue » qui doivent désormais passer un examen devant leurs pairs avant d’exercer, des chirurgiens dits « de robe courte » ou barbiers qui ne sont plus chargés que des interventions minimes.Les chirurgiens « de robe longue » sont des chirurgiens lettrés, connaissant le latin, ayant accès aux sources savantes. Ils espèrent partager le prestige des médecins érudits des nouvelles universités, en défendant une « chirurgie scolastique », où la chirurgie serait plus qu’un art mécanique, mais une scientia basée sur la raison d’Aristote , un savoir (textes chirurgicaux), et sur une pratique basée sur un plan d’action. Un même processus concerne les architectes-maçons de cette époque, qui cherchent à dissocier l’architecture des métiers mécaniques, en se différenciant des artisans-maçons. Ascension sociale du barbier-chirurgien Les origines exactes du barbier-chirurgien sont obscures, et le plus souvent légendaires. Le terme de chirurgien est attesté en latin (chirurgicus) au VIIe siècle chez Paul d’Égine , il est largement usité à partir du IXe siècle. Le terme de cirurgie est attesté en ancien français en 1175 chez Chrétien de Troyes .Il n’en est pas de même pour les qualificatifs appliqués aux barbiers , dont les deux activités traditionnelles sont le rasage et la saignée . Au XIIe siècle, la terminologie désignant les opérateurs du rasoir n’est pas fixée : ils sont appelés minutor, sanguinator, phlebotomus, rasor ou rasorius et enfin barbator qui apparait en 1196. En 1221, le terme de barbator qualifie le barbier de Philippe-Auguste , Jean Racicot. À partir du XIIIe siècle, les termes dérivés du mot barba tendent à s’imposer, comme barbator, barbitonsor, barberius. Le terme barbier apparait en ancien français vers le milieu du XIIIe siècle.Il est impossible de préciser si, au XIIe siècle le sanguinator taillait aussi la barbe, ou si le rasor pratiquait aussi des saignées, et sinon à quel moment les deux fonctions furent réunies en un seul métier. Pour la France, le plus ancien statut connu de barbiers est celui de ceux de Montpellier en 1242, où les deux fonctions sont déjà réunies. Danielle Jacquart envisage plusieurs hypothèses pouvant expliquer cette fusion : un besoin accru de saigneurs (influence du galénisme arabe), l’interdiction conciliaire aux clercs, une meilleure insertion corporatiste par la tenue d’une boutique en ville (aspect commercial lié à la barbe et à la coiffure) Source : Wikipédia Page 3 Quelle est la nature du travail effectué par un chirurgien ? Après avoir fait réaliser des examens préliminaires, le chirurgien décide, en accord avec le patient et les autres professionnels de santé (sauf en cas d’urgence), s’il faut opérer ou non, à la suite de quoi il définit le mode d’intervention uploads/Sante/ page-de-garde.pdf
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- Publié le Fev 15, 2021
- Catégorie Health / Santé
- Langue French
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