Les vrais gestes barrière contre la Covid ont presque 200 ans (ce n’est pas le

Les vrais gestes barrière contre la Covid ont presque 200 ans (ce n’est pas le masque) A l’heure de la pandémie, les gestes barrière se multiplient : port du masque, distanciation, tests en masse… Si l’hygiène est la base d’une bonne santé, trop d’hygiène est aussi néfaste pour notre immunité. Voici la lettre coup de poing de Christian Brun, notre naturopathe, adressée à nos dirigeants. Faites-vous votre opinion. M essieurs le Président, le Premier ministre, le ministre de la Santé, messieurs les professeurs de médecine et du Comité scientifique, je vous écris ici, sans animosité, mes réflexions et questionnements sur la gestion de la crise sanitaire actuelle. Je suis naturopathe depuis près de cinquante ans, et l’auteur notamment d’un livre – Stress et immunologie – dans lequel je démontre, preuves scientifiques à l’appui, la relation entre notre système immunitaire, les peurs ressenties et notre manière d’affronter la vie. Conserver sa liberté de penser Il est important de préserver son esprit critique et sa liberté de penser. Je prends personnellement avec recul toutes les théories « pseudo scienti­ fiques » énoncées depuis la crise par des « professeurs » de virologie et d’immunologie dont on pourrait se deman­ der s’ils ont eu leur diplôme dans une pochette surprise. Oui ! J’ose cette affirmation. Je n’ai jamais vu autant de professeurs qui, interrogés sur des plateaux télé, four­ nissaient des réponses alambiquées, sans queue ni tête, par manque de connaissances sur ce virus, seulement pour être conformes aux déclarations ministérielles. e s Les vrais gestes barrière contre la Covid ont presque 200 ans (ce n’est pas le masque)............................. 1 Le régime sans sucre, prometteur contre le cancer du sein !. ............... 7 L’aérobic : un sport intelligent… pour votre cerveau.......................... 8 Perdre du gras sans manger moins, c’est possible !. ................................ 8 Raisin et fruits rouges au secours de vos os. ......................................... 8 Terrain atomique : voici comment la NASA décèle les maladies !. ....................... 9 Donnez de votre temps, il vous remerciera..................................... 12 Alerte des cardiologues : prenez‑vous cette menace au sérieux ?......................... 13 Alzheimer « guéri » par des bonnes bactéries ?. .................................... 19 Stop aux ruminations : domestiquez votre ego pour éloigner les maladies. ........... 20 L’océan : mine d’or médicinale ?.23 Anti-âge : cet oligo‑élément rallonge vos télomères !. ............... 23 Prise de poids : vos écrans responsables ?. .............................. 23 Tao du sexe : votre remède anti‑âge. .............................. 24 Incontinence à l’effort : osez le sport !............................. 28 Pour sauver votre cœur, faites des étirements (passifs) !. .............. 30 SOMMAIRE n°53 - novembre 2020 2 Les vrais gestes barrière contre la Covid ont presque 200 ans (ce n’est pas le masque) Mesdames, messieurs, un peu d’hu­ milité s’il vous plaît ! Pour précision, je ne suis pas « com­ plotiste » comme aiment à le déclarer certains au seul motif que je les dérange. Simplement, je n’adhère pas systématiquement aux conclu­ sions gouvernementales comme à celles des médias. J’analyse seule­ ment la situation actuelle avec ma logique et mon bon sens. Je ne rejette aucune idée si elle est développée et justifiée par des arguments concrets et indépendants ! Nous devons notre liberté de penser à nos ancêtres, défendue quelquefois au prix de leur vie ! Rendons-leur hommage en la préservant, surtout en cette période de crise sanitaire. C’est urgent car elle est menacée. Quand j’observe la gestion de la crise, je ne peux m’empêcher d’y voir de nombreux paradoxes. C’est pourquoi j’aimerais poser quelques questions aux « responsables de la santé » afin de faire le point sur leurs mesures de sécurité sanitaire. Port du masque : une bonne idée ? On affirme désormais, après de nom­ breuses contradictions, que le port du masque est la seule possibilité d’en­ rayer l’épidémie. Je me demande alors : est-ce que les mailles des différents masques, dont les chirurgi­ caux, sont si fines qu’elles empêchent le coronavirus de passer vers l’exté­ rieur et donc d’éviter la contagion ? Que penser du masque que vous retirez puis déposez sur la table ou mettez dans votre poche ? N’est-ce pas un lit à microbes, un « bouillon de cultures » ? En supposant que le virus ne puisse pas passer la bar­ rière du masque, lorsque je respire dans mon masque le coronavirus, je devrais donc m’auto-intoxiquer sans cesse ? Que faut-il penser des per­ sonnes seules dans leur voiture et qui portent néanmoins un masque ? Et que penser des sportifs qui pratiquent le vélo ou la course à pied avec un masque ? Pourquoi est-il obligatoire de porter un masque quand vous êtes debout mais possible de le retirer dès que vous vous asseyez en face à face pour déjeuner ? Le microbe est-il plus virulent debout qu’assis ? Toutes ces questions perturbent mon esprit logique quant à l’obligation de porter le masque. Car de manière simple et logique, le port obligatoire du masque implique que : ●Je respire mon propre CO2. Ainsi, j’acidifie mon organisme alors qu’une grande partie de nos patho­ logies modernes sont la conséquence de cette suracidification. ●J’empêche mon cerveau – le plus grand consommateur d’oxygène dans l’organisme – d’être oxygéné, entraînant ainsi des conséquences physiques et psychologiques sur mon métabolisme cellulaires (cycle de Krebs). ●Je n’ai plus de contact physique et psychologique avec les autres puisque je ne vois plus leur sou­ rire et l’expression de leur visage, pouvant ainsi entraîner un stress supplémentaire. ●J’empêche mon contact avec les éléments étrangers et j’affaiblis ainsi mon système immunitaire qui ne peut se développer. Distanciation sociale : efficace ? Un autre élément me gêne : la dis­ tanciation sociale. Quelle en est la signification exacte : distance entre deux personnes ? Distance dans les moyens de transports en commun ? Ou distance dans certains événements comme des spectacles ? (Notez l’iro­ nie du maintien de manifestations comme celle du Puy-du‑Fou pouvant accueillir jusqu’à 9000 personnes). Qu’en est-il du coronavirus et des rapports intimes… Portez-vous un masque ? Le journal The Independant rapporte sérieusement que des cher­ cheurs de l’Université de Harvard Christian Brun Naturopathe, Christian Brun enseigne la naturopathie dans la plus prestigieuse école de formation en France : le CENATHO-Paris. Le port excessif du masque (des heures durant) empêche la bonne oxygénation du cerveau. 3 Les vrais gestes barrière contre la Covid ont presque 200 ans (ce n’est pas le masque) recommandent aux couples qui ne vivent pas ensemble de porter des masques durant leurs relations sexuelles. Ainsi le Pr Paul Hunter, un éminent scientifique britannique, a conseillé aux couples d’éviter de faire l’amour pendant l’épidémie de coronavirus : la promiscuité pen­ dant l’acte augmenterait le risque de transmission du virus. Les cher­ cheurs ont alors tenté de lister les pratiques sexuelles courantes et leur degré de risque d’infection. Au plus bas de cette liste : l’abstinence ! On nage dans l’idiotie, ce n’est plus le virus qui se propage… c’est la folie. Les règles imposées dans les maisons de retraite où les résidents n’ont pas pu voir leurs proches et leurs petits-enfants sont-elles justifiées ou inhumaines ? Que penser des céré­ monies funéraires sans la présence des proches ? Trop d’hygiène tue l’hygiène Bien sûr, je ne suis pas contre les gestes barrière que j’appliquais déjà avant l’épidémie. Il est essentiel d’éternuer dans son mouchoir et de se laver régulièrement les mains. Cependant trop d’hygiène tue l’hygiène ! En effet, nous possédons sur notre peau des microbes et des bactéries qui ont grande utilité dont celle de stimuler régulièrement notre système immunitaire. Plus on s’isole de ces microbes (port du masque, lavage intempestif au gel hydro-alcoolique, plus d’embrassades ni de poignées de mains…), plus nous réduisons nos défenses immunitaires. Protéger nos concitoyens avec trop d’hygiène c’est aussi prendre le ris­ que de les fragiliser en stoppant la fabrication d’anticorps spécifiques. Puis, lorsque nous serons entière­ ment déconfinés, libérés des masques, ce virus ou un autre réapparaîtra et l’on proposera (ou plutôt imposera) des médicaments agressifs, synthétiques et coûteux, voire un vaccin uto­ pique, obligatoire et expérimenté en urgence durant quelques mois seule­ ment pour des raisons de rentabilité ! Qu’en est-il de la notion d’immunité collective ? Allons-nous continuer à vivre avec un masque et dans cette insécurité permanente ? Et si nous renforcions plutôt notre système immunitaire, garant du respect de soi et du non soi, de façon naturelle pour éviter de dérégler ce système ? Chiffres et tests : quelle réalité ? Vraies ou fausses, qui interprète les statistiques ? Comment se fait-il que, cette année, il n’y ait pas eu de décès suite au virus de la grippe ou à d’autres pathologies ? N’aurait-on pas surexploité statistiquement ce coronavirus en lui imputant tous les décès ? Rappelons que ces chiffres alarmants sont distribués généreuse­ ment au grand public tous les soirs à 20 h 00 ! Il existe aujourd’hui 51 tests, cepen­ dant aucun ne permet de statuer si la personne est contagieuse ou pas, selon l’Autorité de Santé au 14 mai 2020. Les deux tests les plus fréquents sont : uploads/Sante/covid-19-et-gestes-barrieres 1 .pdf

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  • Publié le Jan 04, 2022
  • Catégorie Health / Santé
  • Langue French
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