JSKIl est au chevet de son père malade Ech Chergui attendu mercredi IL PARRAINE
JSKIl est au chevet de son père malade Ech Chergui attendu mercredi IL PARRAINE UNE ASSOCIATION CARITATIVE Magic comme Zizou Le quotidien 100 % foot Comment arracher le nul en Egypte Les astuces de Renard >«Lutter et rester organisé» >«Jouer sans avoir peur» >«Le 4-5-1 est l'idéal au Caire» L u n d i 1 9 o c t o b r e 2 0 0 9 N ° 2 2 9 6 p r i x 2 0 D A F R A N C E 1 . 6 E U R O - I S S N 1 1 1 1 Alain Michel : «Il me faut un Achiou» APRÈS 3 MOIS, IL ROMPT LE SILENCE Amrous : «J'irai au bout de mon mandat» BOUGHERRA explique son retard «J'ai perdu mes papiers et mon portable à Paris» >«Mon coach est au courant de tout» USMB Mouassa renvoie Belahouel L’USMH ACCUSE BENAÏSSA CRB Kerbadj : «Alex est loin de son niveau» NAHD Nehari : «On méritait un résultat meilleur» 2 - Vous êtes le parrain d'une association caritative qui lutte contre les maladies cérébrales qui touchent les enfants. Ça représente quoi pour vous ? - Depuis quelque temps mainte- nant, je parraine une association nommée Zakariya qui lutte contre tout genre de maladies cérébrales qui touchent essentiellement les petits enfants. J'ai accepté d'asso- cier mon image à cette association afin d'aider les plus démunis qui souffrent de ce genre de maladie, d'observer les soins nécessaires et leur apporter un peu de réconfort. C'est un devoir pour moi que de participer à des actions pareilles qui amèneront, je l'espère, du bonheur aux enfants malades et leur permet- tront de grandir comme tout le monde. - Comment s'est effectuée l'ap- proche entre vous et le fonda- teur de cette association, Samir Boutaghane ? - En fait, ma famille connaissait depuis bien longtemps Samir et lorsque j'ai su qu'il avait fondé une association qui luttait contre les maladies cérébrales, vu que son fils aussi était atteint d'une lésion céré- brale, j'ai de suite donné mon accord pour la parrainer et lui venir en aide. C'est quelque chose de pri- mordial pour tout musulman. Lors du dernier stage qu'on a effectué avec l'EN au cercle de Béni Messous, j'ai eu l'occasion de ren- contrer aussi une petite fille qui s'appelle Sana et qui présente elle aussi une maladie semblable. On essayera de la transférer en France pour suivre les traitements et guérir Incha Allah. - Avez-vous parlé avec vos coéquipiers de l'EN de cette association ? - Oui, j'en ai parlé avec eux, et je les ai convaincus d'aider cette asso- ciation et de faire des dons. Lors du prochain regroupement, on fera avancer les choses. - Un appel à lancer … - Je profite de cette occasion pour lancer un appel à travers votre jour- nal pour que les gens puissent aider les petits enfants atteints. C'est un devoir pour moi d'aider les enfants atteints de maladies cérébrales en faisant des dons à cette association. C'est un devoir pour nous, les musulmans. - Vous n'avez pas pris part à la rencontre de championnat de votre équipe disputée samedi après-midi, en raison du retard que vous avez enregistré pour rallier l'Ecosse. Peut-on connaître les raisons de ce long retard ? - A vrai dire, il n'y a rien d'alarmant dans cette his- toire. Jeudi dernier, alors que je me trouvais à Paris, j'ai perdu tous mes papiers, mon portable et mon passeport y compris, et c'est ce qui fait que je n'ai pas pu rentrer à temps en Ecosse. Il faut savoir que j'avais obtenu l'autori- sation de prendre quelques jours de repos de la part de la direction de mon club après le match internatio- nal que j'ai disputé avec l'Algérie. Il était prévu que je rentre en Ecosse le vendredi matin, mais comme j'ai perdu mon passeport, ça a pris plus de temps. - N'êtes-vous pas déçu d'avoir raté ce match de championnat ? - Non, pas du tout. A mon arrivée à Glasgow le soir du vendredi, j'ai pu discuter avec l'entraîneur- adjoint de l'équipe qui m'avait signifié que je n'étais pas concerné par ce match de championnat face à St-Johnston, dans la mesure où on craignait que je contracte une bles- sure, étant donné que je ne me suis pas entraîné régulièrement durant la semaine. Il m'a conseillé de bien me reposer afin d'être prêt pour la rencontre de ligue des champions ce mardi. - Mais votre entraîneur en chef Walter Smith a déclaré après le match qu'il n'avait aucune nou- velle de vous et qu'il ignorait la raison de votre retard... - Je vais vous expliquer bien les choses. Ayant perdu mon portable, les responsables du club n'avaient pas pu me joindre. Mon agent avait dès lors pris langue avec le direc- teur sportif du club, et lui a tout expliqué, l'informant aussi que je serai de retour dans la soirée de vendredi. Mon entraîneur ne m'a certes pas parlé directement, mais il connaissait en revanche la raison de mon retard. - On a pu lire dans la presse écossaise, qu'à cause de ce retard aussi, il se pourrait que vous ne jouiez pas ce mardi en ligue des champions. Qu'en est- il au juste de cela ? - Ce sont les médias qui disent cela, mais ce que je sais, c'est que l'entraîneur compte sur moi et va me faire jouer sans aucun problème mardi. J'ai parlé avec lui tout à l'heure (ndlr, entretien réalisé hier vers midi) et je lui ai tout expliqué. Il n'y a pas de souci, je prendrai bien part à cette importante rencon- tre européenne. S. F. Compétition édition du lundi 19 octobre 2009 IL NE SUFFIT PAS seulement de jouer dans l'un des plus grands clubs d'Europe, ni de marquer dans l'une des prestigieuses compétitions euro- péennes et ni même d'être une pièce maîtresse dans l'équipe de son pays pour être respecté et bien aimé du public. Chaque personne, quelle qu'elle soit, se doit d'apporter si pos- sible, du bonheur et du réconfort à autrui, pour que chaque jour que Dieu fait soit une victoire, une vic- toire inégalable et surtout, synony- me d'espoir, un espoir qui paraissait pourtant bien impossible avant. En plus des qualités techniques du joueur, aussi bien au sein des Verts, que dans son club, les Glasgow Rangers, Madjid Bougherra milite aussi dans une associa- tion caritative, qu'il par- raine. Cette association, dénommée Association Zakariya, renferme un bon nombre de malades atteints de retard psychomoteur. Son but est de prodiguer des soins qui ne sont pas à la portée des petites bour- ses. Raison qui a poussé Super Magic à entreprendre toutes les démarches afin de faciliter l'accès aux soins des chérubins qui revien- nent excessivement cher. Raison aussi pour que les bienfaiteurs s'as- socient au geste de Bougherra. L'image de marque, le label ose- rions-nous dire, de Bougherra fera affluer certainement les bonnes volontés et incitera les gens à faire le maximum de dons. Qu'est-ce que l'Association Zakariya ? L'Association Zakariya porte le nom du fils du fondateur, Samir Boutaghane âgé de 2 ans, et qui souffre d'un retard psychomoteur dû à des lésions cérébrales, à la suite d'une infection au cytomégalovirus in-utéro. Elle a pour but de rassembler le maxi- mum d'enfants souf- frant de maladies de ce genre, pour les aider à suivre les traitements nécessaires, qui se font à l'étranger. En France plus précisément. En récoltant le maximum de dons, cette associa- tion pourra ainsi satis- faire les demandes des nombreux malades. Comment faire vos dons Les personnes désirant faire des dons au profit de cette association n'auront qu'à se diriger vers le site www.zakariya.wifeo.com et suivre les instructions mises en ligne. Pour tout contact avec le responsable de l'association, vous pouvez envoyer un émail à l'adresse suivante : association.zakariya@yahoo.fr S. F. LORSQU'IL ÉVOLUAIT à Dijon en début de saison derniè- re, l'actuel sociétaire de l'ES Sétif, Hocine Metref, passait souvent son temps chez Samir Boutaghane, qui l'accueillait chez lui et lui a fait connaître la ville. L'ex-Usmiste a tenu à apporter son soutien à l'associa- tion et à appeler les gens à faire le maximum de dons. "Je connais bien Samir, qui m'a été d'une grande aide lorsque j'évo- luais à Dijon la saison dernière. Je tiens à apporter mon soutien à son association et j'invite les gens, les joueurs beaucoup plus à faire des dons et à aider les enfants à guérir et vivre leur vie le plus normalement possible. L'Islam nous a appris à être généreux et contribuer à aider nos petits frères et sœurs." S. F. LE FONDATEUR de l'Association Zakariya, Samir Boutaghane, nous parle du l'utilité de cette association et de son but à venir en aide à tous les enfants souffrant de maladies cérébrales. "J'ai un petit enfant qui se prénomme Zakariya, qui souffre d'un retard psychomoteur et c'est pour lui que j'ai décidé de fonder cette association, pour lui venir en aide et permettre aussi aux uploads/Sports/ edition-du-19-octobre-2009.pdf
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- Publié le Jui 15, 2021
- Catégorie Sports
- Langue French
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