Giacomo leopardi poemes Giacomo Leopardi poèmes L ? INFINI J ? ai toujours aimé cette colline à l ? écart Et cette haie qui de tous côtés Cache la vue de l ? horizon lointain Mais m ? assoyant et méditant je m ? invente Par la pensée d ? interminables esp
Giacomo Leopardi poèmes L ? INFINI J ? ai toujours aimé cette colline à l ? écart Et cette haie qui de tous côtés Cache la vue de l ? horizon lointain Mais m ? assoyant et méditant je m ? invente Par la pensée d ? interminables espaces Au-delà et de surhumains silences Et une très profonde paix o? pour un peu Mon coeur s ? e ?raierait Et comme j ? entends Frémir le vent dans ce feuillage Je me mets à comparer à sa voix Ce silence in ?ni et je me rappelle L ? éternité et les saisons mortes et celle-ci Présente et vive et bruissante Ainsi Dans cette immensité sombre ma pensée Et m ? ab? mer m ? est doux dans cette mer À LA LUNE C? lune gracieuse je me souviens Que l ? an passé sur cette même colline Je venais plein d ? angoisse t ? admirer Et tu pendais alors sur ces bois Que tu éclairais comme tu le fais maintenant Mais nébuleux et brouillé par les larmes Qui montaient à mes cils se montrait À mes yeux ton visage car tourmentée Etait ma vie et elle l ? est ni ne change lune mon amie Et pourtant il m ? est cher Ce souvenir et le dénombrement De ma douleur Oh qu ? il est doux Au temps de la jeunesse lorsque s ? étend encore La voie de l ? espérance et qu ? est courte la mémoire De se ressouvenir des choses passées encore Qu ? elles soient tristes et que l ? angoisse dure LE SOIR DU JOUR DE FÊTE Douce et claire est la nuit et sans un sou e Et calme sur les toits et dans les jardins Se pose la lune et elle révèle au loin Sereines toutes les montagnes O mon amour CDéjà se taisent les chemins et aux balcons Transpara? t rarement une lampe nocturne Tu dors toi qu ? accueillit un sommeil facile Dans ta chambre tranquille nul souci Ne te ronge et déjà tu ne sais plus tu ne penses plus Aux coups que tu m ? as portés au coeur Tu dors et moi je me tourne pour saluer Ce ciel qui semble si clément Et l ? antique nature toute-puissante Qui m ? a destiné à l ? angoisse Je te dénie L ? espérance me dit-elle même l ? espérance Et tes yeux ne brilleront que de larmes Ce fut un jour solennisé maintenant Tu te reposes de tes plaisirs et peut-être Te souviens-tu en rêve de ceux à qui tu as plu Et de ceux qui t ? ont plu pas de moi je ne peux Espérer occuper ta pensée Je me demande Ce qui me reste à vivre et je me laisse Tomber par terre et crie et tremble Oh jours atroces En un ? ge si vert Hélas sur la route J ? entends non loin d ? ici le chant solitaire D
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- Publié le Nov 26, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
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