Projet de fin d x27 etudes
CADRE THEORIQUE CPremier chapitre Généralité sur l ? assurance I Historique de l ? assurance A L ? ANTIQUITE La première allusion à la notion de sécurité relevée dans les textes anciens au sujet d ? une intervention en faveur des victimes d ? un événement malheureux remonte à ans avant J C Un manuscrit relate que les tailleurs de pierres de la basse- Egypte avaient constitué une caisse d ? entraide qui leur permettait de se solidariser contre certains dangers Plus tard ans avant J C le Code du Roi de Babylone HAMMOURABI signale l ? existence d ? un contrat en faveur des transporteurs connu sous le nom de DARMATHA Le Talmud de Babylone qui constitue le recueil des lois et traditions juives de la période antique indique que moyennant certaines conditions il était donné aux ? niers un ? ne en remplacement de celui qui avait pu mourir au cours d ? un déplacement d ? une caravane mais sous la réserve formelle que la mort de l ? animal ne puisse être attribuée à de mauvais traitements C ? est en ?n à Rome que l ? on observe des institutions ou usagers pré ?gurant plus nettement les opérations d ? assurances c ? est ainsi que DURVY dans son histoire des Romains signale l ? existence du règlement du collège funéraire de LANUVIUM établi par une association funéraire dans le but d ? assurer à ses membres moyennant le paiement d ? un droit d ? entrée et d ? une cotisation mensuelle un prêcheur et un tombeau Certaines légions romaines avaient également constitué une sorte de mutuelle dont l ? adhésion donnait droit au versement d ? une indemnité pour frais de déplacement à l ? occasion d ? une mutation ou d ? un capital aux héritiers en cas de décès B LE MOYEN AGE Le prêt à la grosse aventure Ce prêt maritime constituait une autre pré ?guration de l ? assurance pour les navigateurs aux moyens ?nanciers limités La grosse aventure ? n ? était possible qu ? avec le concours de certains commerçants fortunés qui mettaient à la disposition des navigateurs des avances de fonds Ce prêt majoré d ? un intérêt allant de à n ? était cependant restitué que si le bateaux atteignait heureusement sa destination tandis qu ? en cas de naufrage c ? est le prêteur qui supportait tout le dommage mais comme le pro ?t réalisé par les prêteurs était disproportionné par rapport au risque couru l ? opération s ? apparentait fortement avec la spéculation ce qui ne manqua pas de scandaliser l ? Eglise qui frappa d ? interdit le prêt à la grosse ? considéré comme entaché d ? usure donc condamnable Les Sociétés de secours mutuel L ? organisation sociale de type féodal imprégnée du sentiment religieux a favorisé à l ? époque la création et le développement de certaines associations groupant des individus qui constituaient des communautés d ? aide
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Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Aucune attribution requise- Détails
- Publié le Jui 14, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
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