Les sources orientales de la divine comedie

itmmmmmm I mummmfmt m m J C C y C CF ES MTTHRATURKS POPULAIRES roMi xij C CLES A hl A l LKi b PUi Ul AlKi DE rOUTFS U? S W-ITIOXS TRADITIONS LF GENDHS CONTES CHANSONS PROVERBES DEVINETTES SUPERSTITIONS lOSU XI I PARIS O U f A ? ' N H V E D U l F I R KLE DK MhZIIRlS ET RLK MADAME I OI C CLHS SOURCHS ÛKIKNTAJ liS DH LA DIVINE COMÉDIE C CLHS SOURCRS ORII-NI ALES DE LA n -i v ro i rf- PAR K R LOCH Kl ii' - '-Zv ? ? PARIS - KLI ni MI IL I I I ULI MAJJA ML i C CA Madame H Dl'Claun Mai tçoi C CPRHFACH L't'tmie complète des souvirs tir in Divitir en ?lé die sérail à la fois l'une des plus importantes et r une des plus ardues de celles qui rcItrepit de r histoire littéraire Malgré les innombrables travaux dont elle n'a cessé d'être l'objet la Divine Comédie est restée en bien des endroits l'un des textes les plus éni maliques que nous ait légués le Moyen-Age Cette obscurité tient beaucoup moins à la langue qu'à la divergence absolue qui existe entre l'esprit moderne et la mentalité des hommes de cette époque ou plutôt dans leurs ma- nifestations Tout ce qui parait incompréhensible h dans les ?uvres du X ou du XI siècle cesserait de l'être avec une connaissance plus compUtc de la Théologie et surtout ? le la Scolastique Jmbus d'une terminologie spéciale qui n'est pas beaucoup plus ridicule que les nôtres élevés au milieu de discussions dont on exagère la vanité les savants du Moyen-Age sont incompréhensibles quand on C ir PRKrACK veut les ctuiUcr avec nos prèjui ês el nos partis pris sa is tenir compte d'aucun des leurs Leur culture philosophique et scienti ?que nous échappe à un degré presque égal l'antiquité latine la seule que connût directement le Moyen-Age ne léguait aux siècles qui héri- tèrent d'elle ni philosophie ni doctrines scienti- ?ques qui lui fussent propres Les hommes qui vécurent à ces époques lointaines furent aussi curieux de problèmes métaphysiques et jusqu'à un certain point de questions scienti ?ques que des doctrines religieuses et des discussions théologiques ehutés par la pauvreté et surtout par le manque d'originalité des ?uvres philosophiques de la littérature latine i ils se résolurent à chercher dans d'autres mondes des documents plus riches et d'une inspiration plus libre L'antiquité hellénique resta lettre morte pour i Les savants du Moyen- Age recherchaient l'ori- ginalité plus qu'on ne le supposerait le seul philosophe latin qui malgré l'emprunt du fonds soit quelquefois el en quelques points oriii inal Lucrèce a joui d'une grande vogue à cette époque et a eu une grande in uence sur la littérature néo-latine CPRKI ACE Mil l'Europe occhlcnliile jusqu'aux premiers jours de la Renaissatiee et il fallut attendre le XFI sièele pour fu'Aristote et Platon fussent lus dans le texte orec Ce n'était point que le monde byzantin et

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  • Publié le Nov 09, 2022
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