La verite ta trace ecrite La vérité - la raison - la Science A LA VÉRITÉ INTRODUCTION a Étymologie véritas b Ne pas confondre vérité et réalité c La dé ?nition classique de la vérité La vérité désigne la correspondance exacte de la pensée et de la réalité

La vérité - la raison - la Science A LA VÉRITÉ INTRODUCTION a Étymologie véritas b Ne pas confondre vérité et réalité c La dé ?nition classique de la vérité La vérité désigne la correspondance exacte de la pensée et de la réalité qu'elle décrit Saint-Thomas d'Aquin- XIIIe siècle d la vérité est par dé ?nition universelle Elle vaut en tout lieu et en tout temps VOCABULAIRE Évidence intuition intellectuelle immédiatement vu comme vraie Déduction Tout ce qui se conclut avec certitude d'une vérité établie LA RECHERCHE DE LA VÉRITÉ a Du mythe à la raison Mythos et logos La pensée rationnelle se développe en Grèce au Vème siècle avant J C Thales de Milet est le plus ancien des sages de la Grèce Antique - av JC dont parle Platon b Socrate - av J C l ? art de l ? accouchement Dans un échange verbal en questionnant l'interlocuteur Socrate le fait accoucher de la vérité qui est déjà en lui explique Platon ??Mon art de ma? eutique a les mêmes attributions générales que celui des sagesfemmes La di ?érence est qu ? il délivre les hommes et non les femmes et que c ? est les ? mes qu ? il surveille en leur travail d ? enfantement non point les corps Platon Théétète c Platon et Aristote la recherche de vérité désintéressée texte annexe explication de texte- ac-Amiens Attacher une valeur égale aux opinions et aux imaginations de ceux qui sont en désaccord entre eux c ? est une sottise Il est clair en e ?et que ou les uns ou les autres doivent nécessairement se tromper On peut s ? en rendre compte à la lumière de ce qui se passe dans la connaissance sensible jamais en e ?et la même chose ne para? t aux uns douce et aux autres le contraire du doux à moins que chez les uns Cl ? organe sensoriel qui juge des saveurs en question ne soit vicié et endommagé Mais s ? il en est ainsi ce sont les uns qu ? il faut prendre pour mesure des choses et non les autres Et je le dis également pour le bien et le mal le beau et le laid et les autres qualités de ce genre Professer en e ?et l ? opinion dont il s ? agit revient à croire que les choses sont telles qu ? elles apparaissent à ceux qui pressant la partie inférieure du globe de l ? ?il avec le doigt donnent ainsi à un seul objet l ? apparence d ? être double c ? est croire qu ? il existe deux objets parce qu ? on en voit deux et qu ? ensuite il n ? y en a plus qu ? un seul puisque pour ceux qui ne font pas mouvoir le globe de l ? ?il l ? objet un para? t un ? ARISTOTE Métaphysique IV siècle av J -C Aristote critique le relativisme des sophistes qu'il considère

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