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PHOTO : DR Prix : 20 DA - France : 1 euro - weekend@elwatan.com - @elwatan_weekend 28 octobre 2016 weekend@elwatan.com 390 ÉLECTRICITÉ DE NOUVELLES MESURES POUR LE SUD 62E ANNIVERSAIRE DU DÉCLENCHEMENT DE LA RÉVOLUTION Nos universitaires en marche vers l’Histoire Pages 6,7,8,9... 18 et 19 Page 3 2 7 jours l’essentiel de la semaine El Watan Week-end Vendredi 28 octobre 2016 Par Nassima Oulebsir Tamanrasset : 3 morts dans un accident de la route Encore un drame sur la RN1. Trois personnes ont trouvé la mort et trois autres ont été blessées dans un grave accident de circulation, survenu avant- hier soir à 40 km au nord de la ville de Tamanrasset. L’accident s’est produit à 19h40, à la suite d’une collision frontale entre un taxi transportant cinq passagers d’une même famille et un camion de transport de marchandises, a-t-on appris, hier, auprès de la direction locale de la Protection civile. Les victimes, Allal Bahemmou, Abdenour Ben Zemit et sa sœur Intissar, âgés respectivement de 34, 7 et 6 ans ont été transportées à la morgue de l’hôpital Mesbah Baghdadi de Tamanrasset, tandis que les blessés, dont le conducteur du poids lourd, une femme et sa ﬁ lle de 4 ans, ont été évacués vers les urgences du même établissement hospitalier où ils ont été mis sous observation médicale, aﬃ rme une source hospitalière. Ravah Ighil T ébessa : 3 personnes gravement brûlées dans l’explosion d’une bouteille de gaz Trois personnes d’une même famille ont gravement été blessées, mercredi, dans l’explosion d’une bouteille de gaz qui a provoqué un incendie dans une maison familiale, sise au quartier Laawara, à la sortie de la ville d’Ouenza, 90 km de Tébessa, apprend-on d’une source hospitalière. Notre source précise qu’il s’agit du père (65 ans), de la mère (56 ans) et de leur ﬁ ls âgé à peine de 10 ans. Présentant des brûlures au 3e degré, les trois victimes ont aussitôt été transférées à la clinique des grands brûlés à Annaba. Cette explosion, qui a souﬄ é pratiquement toute la maison, a provoqué une grande panique parmi les voisins qui croyaient qu’il s’agissait d’une bombe artisanale. Une enquête a été ouverte. Lakehal Samir L’artiste Hamdi n’est plus Le peintre et calligraphe algérien Abdellah Hamdi est décédé jeudi à Dbila (El Oued), sa ville natale, à l’âge de 64 ans, a-t-on appris auprès de ses proches. Né en mars 1952, Abdellah Hamdi rejoint en 1969 l’Institut islamique d’El Oued où il apprend l’art et la peinture de professeurs égyptiens. En 1981, il rejoint l’Ecole nationale des Beaux-arts d’Alger avant d’abandonner ses études. Calligraphe autodidacte, les oeuvres de Hamdi sont empreintes de «souﬁ sme», et allient calligraphie et enluminure, un style par lequel il évoque les multiples facettes du patrimoine local, notamment le désert et la vie saharienne. Abdellah Hamdi a participé à plusieurs manifestations culturelles en Algérie et à l’étranger, notamment le Festival international des Beaux-arts en Tunisie et au Festival du Tiers monde à Baghdad (Irak, 2002). APS SAMEDI Il insiste avant d’annoncer sa démission ; et montrer que ce n’est pas un retrait de conﬁ ance : «Qui a retiré sa conﬁ ance au secrétaire général ?». Une seule main se lève. «Personne n’a retiré sa conﬁ ance au secrétaire général.» C’est le départ de Amar Saadani qui est annoncé. Ould Abbès est désormais le leader du FLN. DIMANCHE Sans qu’il l’annonce, on s’y attendait de toute façon ! Le nouveau secrétaire général du FLN croit annoncer un scoop : Il faut «s’attendre à une grande annonce pour bientôt» en réponse à une question sur ses déclarations faites la veille sur un soutien à Bouteﬂ ika pour 2019. Il annonce déjà la couleur… LUNDI Le petit Constantinois Mohamed Abdallah Farah, 6 ans, qui a obtenu à Dubaï la première place au concours de lecture intitulé «Arab reading challenge» est passé inaperçu. C’est surtout la grève des intersyndicales qui fait l’actualité. Ça chauﬀ e entre Benghebrit et ses syndicats, et aussi les réponses de Mohamed El Ghazi réchauﬀ ent le climat. Pas question de revenir sur la question de la retraite et le code du travail n’est pas à l’ordre du jour. Ils accusent même certains politiques et syndicalistes de «vouloir tromper l’opinion publique». Mais ce n’est tout de même pas cela qui a déclenché l’important incendie à Dounia Parc diﬃ cilement maîtrisé par la Protection civile. Sour El Ghozlane : l’Ecole nationale de l’administration pénitentiaire fermée Pas d’hommage aux Algériens aux Journées cinématographiques de Carthage Les Journées cinématographiques de Carthage 2016 débutent aujourd’hui. C’est la 27e édition qui coïncide cette année avec le cinquantenaire de ces Journées. Les Tunisiens annoncent 68 ﬁ lms en compétition oﬃ cielle et de nombreuses surprises. Mais pour ce qui est des surprises, il en est une, et de taille : aucun cinéaste algérien n’a été invité pour être honoré. Mohamed Allal, journaliste, de signaler : «Il est important que l’Algérie qui a toujours accompagné ces journées de Carthage par le passé soit au moins considérée. Merzak Allouache ﬁ gure seulement sur l’aﬃ che du festival, mais c’est insuﬃ sant. Il aurait été convenable d’honorer le ﬁ lm La Bataille d’Alger, chose qui a été faite notamment à New York et Alexandrie. Bouchouareb qui a tourné ses ﬁ lms en Tunisie, Ahmed Rachedi, Lakhdar Hamina ne ﬁ gurent pas sur la liste, contrairement à une longue liste de cinéastes africains». Salim Aggar, réalisateur et critique de cinéma, aﬃ che sa déception en expliquant que «les cinéastes algériens devraient normalement être plus conscients». «C’est dommage pour nos cinéastes qui ont toujours été aux côtés de leurs voisins tunisiens. C’est aussi de notre faute. Nous avons toujours été généreux et ce n’est pas le cas des autres», se désole M. Aggar et d’exprimer aussi sa déception de ne pas voir Amar Laskri ou Bouamari qui a été le premier Algérien à remporter un prix aux JCC en 1972 avec Le charbonnier, y ﬁ gurer. Mais, Mohamed Allal reste aussi sceptique et dit comprendre l’absence d’hommage aux cinéastes algériens. Selon lui, «l’Algérie doit revoir sa politique cinématographique. En ﬁ n de compte, le festival cherche des ﬁ lms de qualité». Or, explique-t-il encore, «les ﬁ lms long métrage recherchés par le jury ne sont pas de qualité, notamment ceux produits dans le cadre de Constantine, capital arabe» . Unique candidature, Le Puits de Lotﬁ Bouchouchi, mais ce ﬁ lm ne répond pas aux exigences des journées de Carthage puisqu’il est ancien. Nassima Oulebsir L’affaire Baroche à nouveau examinée Le tribunal criminel de Annaba a ouvert l’aﬀ aire du réseau international de prostitution, appelée par les médias «aﬀ aire Baroche», après le pourvoi en cassation. Dans cette aﬀ aire dont le premier verdict a été rendu en avril 2013, Jean-Michel Baroche ressortissant étranger de nationalité française est le principal accusé. Il a été condamné dans cette aﬀ aire à 7 ans de prison ferme assortie d’une amende de 200 000 DA. Les principaux chefs d’inculpation qui lui sont reprochés sont la «constitution d’un réseau international de prostitution», «production de ﬁ lms pornographiques en vue de leur diﬀ usion sur internet», «faux et usage de faux», «détention de drogue» et «incitation à la débauche». Le tribunal de Annaba avait également prononcé contre les quatre coaccusés dans cette aﬀ aire des peines de prison allant de un à six ans. L’aﬀ aire remonte à 2012, lorsqu’une des victimes a dénoncé l’activité du réseau de prostitution et de production de ﬁ lms pornographiques. APS Amar Fedjkhi afedjkhi@elwatan.com La décision visant la fermeture de l’Ecole nationale d’administration pénitentiaire a été motivée, selon nos sources, par les difﬁ cultés ﬁ nancières dans lesquelles se trouve le secteur, incapable d’assurer un budget de fonctionnement de l’établissement en question. Finalement, les restrictions budgétaires décidées par le gouvernement dans le cadre des mesures d’austérité pour parer aux effets induits par l’effondrement des cours du pétrole n’ont pas sufﬁ . Sous l’effet de la raréfaction et de l’amenuisement des recettes pétrolières, les pouvoirs publics qui dans un passé récent ont décidé de l’annulation de plusieurs projets structurants touchant essentiellement des secteurs stratégiques, en particulier l’habitat et les travaux publics, sont passés cette fois-ci à d’autres actions, celles de la fermeture d’établissements publics. En effet, dans la wilaya de Bouira, précisément dans la commune de Sour El Ghozlane, les pouvoirs publics ont mis ﬁ n au fonctionnement de l’une des plus importantes structures relevant du secteur de la justice, l’Ecole nationale de l’administration pénitentiaire en l’occurrence. L’établissement a été fermé et les formations ont été toutes suspendues, a-t-on appris de sources sûres. La décision de la fermeture de cet établissement a été prise par la direction générale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion qui a instruit, selon les mêmes sources, le personnel administratif de l’établissement de Sour El Ghozlane, plus de 130 employés, de rejoindre l’école de Koléa dans la wilaya de Tipasa. L’équipement pédagogique et le matériel existant au sein de l’école en question (véhicules de transport, ndlr) ont été déjà transférés vers l’établissement de Tipasa, a uploads/s1/ de-nouvelles-mesures-pour-le-sud-electricite.pdf