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Contact courrier : UPR - 60, avenue de la République - 75011 PARIS Contact courriel : contact@u-p-r.fr Date de parution : 9 mai 2010 Site internet : www.u-p-r.fr DE PÉTAIN À LA CIA, LA FACE CACHÉE DE ROBERT SCHUMAN Opposez les faits aux mensonges de la propagande européiste DOSSIER SPÉCIAL pour démasquer les mensonges de la propagande européiste et des commémorations officielles 60 ans après la « Déclaration Schuman » par François ASSELINEAU NOTE IMPORTANTE SUR L’UTILISATION DE NOS DOSSIERS, VIDÉOS ET ANALYSES Les dossiers de l’UPR et les vidéos des conférences de François ASSELINEAU sont mis en ligne sur le site de l’Union Populaire Républicaine (UPR) pour une large diffusion, dans un objectif d’information du public et de militantisme politique. Tout un chacun est donc non seulement libre de retransmettre ces dossiers par voie électronique à qui il le souhaite, mais est même chaleureusement invité à le faire. Les analyses et les informations contenues dans ces dossiers et vidéos demeurent néanmoins la propriété intellectuelle de leur auteur. De même que les dossiers et les vidéos de l’UPR citent toujours scrupuleusement leurs sources, la citation ou la reprise de nos dossiers et de nos vidéos doivent toujours veiller à bien mentionner François ASSELINEAU et l’Union Populaire Républicaine (UPR). Si nous insistons sur ce point, c'est malheureusement parce que nous avons constaté qu’un nombre croissant de journalistes ou de responsables d’autres mouvements politiques reprennent à leur compte sans vergogne tel ou tel passage de nos dossiers, de nos vidéos, ou des analyses de François ASSELINEAU, comme si ces analyses étaient les leurs et en évitant soigneusement de mentionner l’UPR et François ASSELINEAU. La citation ou la reprise de nos dossiers, vidéos et analyses doivent donc se faire selon les modalités suivantes : Reprises par d’autres sites Internet Les dossiers, vidéos et analyses de l’UPR et de François ASSELINEAU peuvent faire librement l’objet de citations sur des sites Internet tiers. Cependant, nous demandons aux sites tiers de respecter deux conditions : 1) d’établir un lien hypertexte très visible avec notre site www.u-p-r.fr au début ou à la fin de la citation ou de la reprise comme nous le faisons nous-mêmes dans nos dossiers ; 2) de mentionner très clairement nos coordonnées postales : UPR, 60 avenue de la République - 75011 PARIS. En respectant ces deux demandes, le site Internet tiers montre ainsi qu'il a la déontologie de ne pas s’accaparer la propriété intellectuelle du dossier établi par l’Union Populaire Républicaine, et qu'il permet au contraire à l’internaute de retrouver sans difficulté toutes les autres analyses de l’Union Populaire Républicaine figurant sur note site. Ces points sont évidemment importants puisque l’Union Populaire Républicaine (UPR) est un parti politique, et que nous souhaitons - comme c'est bien normal - attirer à nous le plus grand nombre possible d’adhérents et de sympathisants. Reprises par des médias radiophoniques et télévisés ou dans des conférences publiques Les dossiers, vidéos et analyses de l’UPR et de François ASSELINEAU peuvent être librement repris sur des médias radiophoniques et télévisés ou au cours de conférences et débats publics. Cependant, nous demandons aux journalistes, aux conférenciers ou aux responsables politiques et économiques qui reprennent nos analyses d’annoncer de façon claire et intelligible la source - François ASSELINEAU ET L’UPR - ainsi que les coordonnées postales et électroniques de l’UPR (UPR, 60 avenue de la République 75011 PARIS ; www.u-p-r.fr) afin de permettre à l’auditeur ou spectateur de retrouver sans difficulté nos analyses dans leur intégralité sur note site Internet. Reprises dans des documents papier (journaux, revues, magazines…) Toute reprise totale ou partielle des dossiers, vidéos, articles ou analyses de l’UPR sur des supports papier (journaux, revues, magazines) est soumise à une demande d’accord écrit préalable qui doit être transmise à l’UPR. Cette demande doit être formulée : − par courrier à : UPR, 60 avenue de la République 75011 PARIS − par courriel à : contact@u-p-r.fr En cas d’approbation, le demandeur recevra un courrier lui précisant les modalités de reprise. L’absence éventuelle de réponse vaut refus tacite. Union Populaire Républicaine - Date de parution : 9 mai 2010 - Droits réservés 2 Union Populaire Républicaine - Date de parution : 7 mai 2010 - Droits réservés 3 « Il était dépourvu des qualités brillantes, de l’ampleur de vues, de l’audace sans scrupules qui font les personnages hors norme. En 1939, à 53 ans, rien n’annonçait un grand destin. En 1945, à 59 ans, rien n’annonçait le père de l’Europe.» Robert Schuman, du Lorrain des frontières au père de l’Europe, Fayard, 2008 Union Populaire Républicaine - Date de parution : 9 mai 2010 - Droits réservés 4 Jean-Pierre Schuman (1837-1900), père de Robert Schuman, était un Mosellan né Français à Evrange, village lorrain à la frontière franco-luxembourgeoise. C’était un propriétaire terrien, partiellement exploitant agricole et partiellement rentier. Il avait servi dans l'armée française sous Napoléon III en 1870. Mais, après Sedan et l'annexion de l'Alsace-Lorraine au Reich, il n'avait pas usé du « droit d'option » pour sa patrie, la France. Il avait préféré devenir citoyen allemand. La mère de Robert Schuman, Eugénie Duren, était une Luxembourgeoise née à Bettembourg, qui avait acquis la nationalité allemande lors de son mariage avec Jean-Pierre Schuman. Robert Schuman, fils unique du couple, naquit citoyen allemand, le 29 juin 1886, au Luxembourg où la famille s’était installée. Le jeune Robert fréquenta l'école communale de Clausen, faubourg de Luxembourg où il est né, avant de poursuivre ses études à l'Athénée grand-ducal. Le jeune Robert Schuman avait donc trois patries d’origine, distantes de quelques dizaines de kilomètres. Très attaché à ses parents, il souffrit beaucoup de leur décès, à dix ans d’intervalle (1900 et 1911) avant la guerre de 1914. Schuman, ayant perdu son père à 14 ans et sa mère à 25 ans en 1911, aurait pu, n’ayant plus de famille proche, partir s’installer en France. Pourtant, il décida de rester allemand et fit le choix d’aller étudier le droit dans les universités allemandes. Ses études supérieures le conduisirent successivement à fréquenter les Universités de Bonn, Munich, Berlin et enfin celle de Strasbourg, la capitale du Reichsland annexé. Il s’installa enfin en 1912 à Metz comme avocat (3). Comme le note l’historien François Roth, Robert Schuman se montra ainsi un parfait sujet de l’Empire allemand, « respectueux des autorités et de l’ordre établi », et ne participant à aucune des manifestations du Souvenir français (4). DE PÉTAIN À LA CIA, LA FACE CACHÉE DE ROBERT SCHUMAN par François ASSELINEAU 1 - Robert Schuman, un Mosellan "respectueux des autorités et de l’ordre établi" (1) Cf. par exemple : http://www.ripostelaique.com/Un-individu-se-torche-avec-le.html (2) Ces formules sont extraites de l’hommage de 39 minutes 21 secondes de Michel Albert, Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences morales et politiques, à Robert Schuman en 2003, hommage dont l’enregistrement et le texte sont sur http://www.canalacademie.com/ida95-Robert-Schuman.html (3) Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Schuman ; Robert Schuman et l'idée européenne par Michel- Pierre Chelini sur le site de la Fondation Schuman : http://www.robert-schuman.eu/schuman_chelini.php ; Raymond Poidevin, Professeur émérite à l'université Robert Schuman - Strasbourg III. Extrait de son ouvrage : « Robert Schuman », collection Politiques et Chrétiens, éditions Beauchesne, 1988, pages 9-15, également sur le site de la Fondation Schuman : http://www.robert-schuman.eu/schuman_poidevin.php (4) Source : Robert Schuman, « père de l’Europe » ou saint en veston ?, (compte rendu de : François Roth, Robert Schuman, du Lorrain des frontières au père de l’Europe, Fayard, 2008) http:// www.europaforum.public.lu/fr/temoignages-reportages/2008/10/roth-schuman/index.html L’édition niçoise du quotidien Métro paru le 19 mars 2010 a révélé qu'un « jury de professionnels » du « Marathon de la photographie » organisé par le magasin Fnac de Nice venait de décerner, dans la catégorie « politiquement incorrect » [sic], son « coup de cœur » à la photo d’un individu s’essuyant les fesses avec le drapeau français (1). Dans cette ambiance abjecte, où le politiquement correct consiste bien au contraire à avilir tout ce qui a fait la France et sa grandeur, il est quelques personnages de notre histoire qui échappent, comme par miracle, à cet impératif d’humiliation de la nation française. Parmi ces rares rescapés figurent, tiens donc !, Jean Monnet et Robert Schuman, les prétendus « pères de l’Europe ». Rien n’est trop beau pour nous les présenter, et notamment le second. Robert Schuman est décrit à longueur d’ouvrages, de sites et de discours officiels en des termes qui feraient trépigner de rire si on les lisait sous la plume d’un journaliste nord-coréen pour qualifier Kim Jong Il. Schuman aurait ainsi été un « apôtre laïc », un « Gandhi chrétien » d’une « audace inouïe », un homme « sans ambition, d’une totale sincérité et humilité intellectuelles », le « plus modeste des grands hommes », « ayant la haine viscérale du mensonge », « aspirant à la sainteté », etc.(2). Le présent dossier, conçu à l’occasion du 60e anniversaire de la Déclaration du 9 mai 1950, a pour objet de rétablir la vérité historique sur un personnage qui fut servile devant tous les puissants, lâche en temps de guerre, traître à la République, et uploads/s1/ de-petain-a-la-cia-la-face-cachee-de-robert-schuman.pdf

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  • Publié le Oct 04, 2022
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