Les Grandes Lumières Les 10 Sefiroth de La Kabbale 7 Le « Séfér Yétsirah » ou l
Les Grandes Lumières Les 10 Sefiroth de La Kabbale 7 Le « Séfér Yétsirah » ou livre de la Formation, attribué au patriarche « Abraham » lui-même, expose en seulement quelques pages le processus de la création de notre monde, à partir de dix Emanations divines ; les dix « Sefiroth ». De ces dix Grandes lumières, « Oroth Gdolim » en hébreu, l’« Ein Sof », l’Infini, la Substance de l’Etre invariable, va Se manifester puis S’épancher dans Sa création, jusqu’à aboutir à un être vivant, façonné à Son Image. Ainsi, à partir de ces dix « Attributs divins », seront données à l’âme dix qualités essentielles appelées « Midot » ou mesures, qui permettront à la créature de recevoir le Souffle Saint : le « Rouakh Ha Qodesh » ; le Souffle de la vie véritable et éternelle. Plus tard, dans son livre de la Splendeur (le Séfér Ha Zohar), « Rabbi Shimon Bar Yo’haï » va, en développant sur les fonctions séfirotiques du corps spirituel (les degrés ou qualités de l’âme), dévoiler les chambres de la conscience, où se loge une mémoire secrète ; celle d’un futur à accomplir : rétablir l’être authentique. 9 Avant-propos 9 Avant-propos L’étude séfirotique présentée dans cet ouvrage, prend pour référence l’enseignement dévoilé de « Rabbi Shimon Bar Yo’haï » dans ses Saintes Assemblées initiatiques : les « Idrot », avec ; l’« Idra Rabba Qadisha » – la Grande et Sainte Assemblée (Zohar III, 127b-145a), et l’« Idra Zouta Qadisha » – la Petite et Sainte Assemblée (Zohar III, 287b-296b). Nous la compléterons par les révélations de « Joseph ben Avraham Gikatilla » (1248-1325), et d’autres Kabbalistes de renom, dont ; « Moise de Léon » (1240-1305), « Moïse ben Jacob Cordovéro dit le Ramaq » (1522-1570), et « Rabbi Isaac Ashkenazi Louria », dénommé le « Ari Zal » (1534-1572). Mais avant de débuter, rappelons quelques notions fondamentales largement développées dans notre précédent écrit ; « l’Œuvre de la création ». – Au commencement, par un retrait de Lui-même en Lui-même, D.ieu laissa un espace libre pour sa création : ce processus de contraction de l’Unité divine est appelé « Tsimtsoum ». – Dans cette vacuité de l’Infini, l’Etre Suprême projeta EnregistrerEnregistrer Les Grandes Lumières Les 10 Sefiroth de La Kabbale pour plus tard Documents Études de langues étrangères Les Grandes Lumières Les 10 Sefiroth de La Kabbale Transféré parJeanMarcDiCea Date du transfertle Feb 25, 2019 75% (4) 75% ont trouvé ce document utile (4 votes) 271 vues 98 pages Informations du document cliquez pour développer les informations du document Description :kabbale Date du transfert Feb 25, 2019 Copyright © © All Rights Reserved Partager ce document Partager ou intégrer le document Options de partage Partager sur Facebook, ouvre une nouvelle fenêtre Facebook Partager sur Twitter, ouvre une nouvelle fenêtre Twitter Partager sur LinkedIn, ouvre une nouvelle fenêtre LinkedIn Partage par courriel, ouvre le client de courriel Courriel Copier le lien Copier le lien Avez-vous trouvé ce document utile ? 75%75% ont trouvé ce document utile, Marquez ce document comme utile 25%25 % ont trouvé ce document inutile, Marquez ce document comme n'étant pas utile Ce contenu est-il inapproprié ?Signaler ce document EnregistrerEnregistrer Les Grandes Lumières Les 10 Sefiroth de La Kabbale pour plus tard Les Grandes Lumières Les dix Sefiroth de la Kabbale Eric Daniel El-Baze Ignorer l'invitation d'évaluation de l'utilisateur Améliorez votre expérience L'évaluation nous aidera à suggérer des documents encore plus adaptés à tous nos lecteurs ! 75% ont trouvé ce document utile, Marquez ce document comme utileUtile 25 % ont trouvé ce document inutile, Marquez ce document comme n'étant pas utileInutile 2 3 A ma mère, Yolande. 4 5 « Tu désires connaître Mon Nom ? Sache qu’il est fonction de Mes accomplissements ». Midrash Shémot Rabbah 3,6. 6 7 Le « Séfér Yétsirah » ou livre de la Formation, attribué au patriarche « Abraham » lui-même, expose en seulement quelques pages le processus de la création de notre monde, à partir de dix Emanations divines ; les dix « Sefiroth ». De ces dix Grandes lumières, « Oroth Gdolim » en hébreu, l’« Ein Sof », l’Infini, la Substance de l’Etre invariable, va Se manifester puis S’épancher dans Sa création, jusqu’à aboutir à un être vivant, façonné à Son Image. Ainsi, à partir de ces dix « Attributs divins », seront données à l’âme dix qualités essentielles appelées « Midot » ou mesures, qui permettront à la créature de recevoir le Souffle Saint : le « Rouakh Ha Qodesh » ; le Souffle de la vie véritable et éternelle. Plus tard, dans son livre de la Splendeur (le Séfér Ha Zohar), « Rabbi Shimon Bar Yo’haï » va, en développant sur les fonctions séfirotiques du corps spirituel (les degrés ou qualités de l’âme), dévoiler les chambres de la conscience, où se loge une mémoire secrète ; celle d’un futur à accomplir : rétablir l’être authentique. 8 9 Avant-propos L’étude séfirotique présentée dans cet ouvrage, prend pour référence l’enseignement dévoilé de « Rabbi Shimon Bar Yo’haï » dans ses Saintes Assemblées initiatiques : les « Idrot », avec ; l’« Idra Rabba Qadisha » – la Grande et Sainte Assemblée (Zohar III, 127b-145a), et l’« Idra Zouta Qadisha » – la Petite et Sainte Assemblée (Zohar III, 287b-296b). Nous la compléterons par les révélations de « Joseph ben Avraham Gikatilla » (1248-1325), et d’autres Kabbalistes de renom, dont ; « Moise de Léon » (1240-1305), « Moïse ben Jacob Cordovéro dit le Ramaq » (1522-1570), et « Rabbi Isaac Ashkenazi Louria », dénommé le « Ari Zal » (1534-1572). Mais avant de débuter, rappelons quelques notions fondamentales largement développées dans notre précédent écrit ; « l’Œuvre de la création ». – Au commencement, par un retrait de Lui-même en Lui-même, D.ieu laissa un espace libre pour sa création : ce processus de contraction de l’Unité divine est appelé « Tsimtsoum ». – Dans cette vacuité de l’Infini, l’Etre Suprême projeta 10 Sa propre Essence, sous la forme d’un Rayon de Lumière infinie ; le « Or Ein Sof ». C’est ce Rayon, le « Qav », qui définira l’« Adam Qadmon » ou l’Homme primordial, Archétype de l’être à venir. – Au cours de sa progression dans l’espace de la création, le « Qav », de par sa nature macrocosmique, dessina dix cercles de lumière ; « les uns emboités dans les autres ». Ces dix Aspects absolus de la Quintessence première, définiront les dix premiers Réceptacles à l’Essence suprême ; les premières Manifestations de D.ieu dans Sa création : les dix « Sefiroth ». – Ne voulant garder pour eux-mêmes que leur propre lumière, les Vases primordiaux (les Kélim, les Sefiroth), s’épaissirent, puis se brisèrent sous la puissance concentrée du Flux divin. Ce processus qui se produisit à partir du quatrième réceptacle, est appelé « Shvirath Ha Kélim », la Brisure des Vases, il définit l’état chaotique de notre monde : le « Tohu ». – Bien que néfaste, la « Shvirath Ha Kélim » sera indispensable, pour permettre à l’Infini d’engendrer le fini, et à l’espace et au temps d’exister. Mais en se brisant, les réceptacles produisirent des écorces ou coquilles (les Qlipoth) qui atténuèrent l’Eclat de la Sainteté. Une restauration de l’Unité devint alors nécessaire, pour que se poursuive le Processus créatif. – La réparation des Vases primordiaux brisés, consista en un évidement de leur propre lumière par des échanges inter séfirotiques . Cela donna naissance à des groupes ou configurations appelées Visages séfirotiques ; les « Partsoufim » : ce rétablissement originel de l’Unité, situe le monde du « Bohu ». – Mais l’état parfait de notre monde fut à nouveau rompu, lorsqu’« Adam Ha Rishon » sépara le fruit de 11 l’Arbre, symbole de l’Unité restaurée. En fautant, « Adam » réactiva le processus de la « Shvirath », entrainant dans le même temps la chute (spirituelle) de l’homme, par un épaississement de l’égo, à la racine du sentiment égoïste. – A partir de là, débutera la véritable histoire de l’humanité, dont la mission sera le « Tiqoun » ou la restauration de l’être authentique, par le rétablissement du Désir divin altruiste à l’origine de la création. 13 Préambule Si, dans la littérature Kabbalistique, les « Sefiroth » sont habituellement décrites comme des lumières, des piliers, des degrés, des couleurs, des sons, des vêtements, des pierres précieuses, des couronnes, des rois, ou des réceptacles (Kélim) , le « Séfér Yétsirah » va d’abord les nommer Abîmes clos ou « Sefiroth Bli-Mah » , car : leur nature anorganique (littéralement sans quoi, Bli-Mah), est profondément unifiée à l’Essence originelle. Voilà pourquoi ; « leur fin est liée à leur début et leur début à leur fin » (Séfér Yétsirah – 1,7). Le nom « Sefirah » (singulier de Sefiroth), dérive de « Sapir », qui veut dire brillance, éclat, et de sa racine hébraïque, dérive « Mispar », le nombre, le compte. Cette racine commune, nous apprend que les dix « Sefiroth uploads/s3/ kabbale.pdf
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- Publié le Sep 29, 2021
- Catégorie Creative Arts / Ar...
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