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Plan I. Introduction : II. Historique : III. Leonard De Vinci IV . La Mona Lisa

Plan I. Introduction : II. Historique : III. Leonard De Vinci IV . La Mona Lisa a une sœur jumelle ! V . Mona Lisa est un homme ! VI. Mona Lisa, Œil et code… VII. 21 août 1911 : le vol de La Joconde I. Introduction : En 1503, Léonard de Vinci entame le portrait d'une belle florentine. Cette œuvre va devenir le projet le plus obsessionnel de toute sa vie. Il va travailler sur ce tableau pendant plus de 10 ans et le garder à ses côtés jusqu’à sa mort. On l'a surnommé Mona Lisa. Elle est devenue l'image la plus célèbre de toute l'histoire de l’art. Qui est cette mystérieuse femme ? Pourquoi ce tableau est-il entouré d'autant de mystères ? II. Historique :  1503 De Vinci peint La Joconde: De 1503 à 1505, Léonard de Vinci s'attache à la création de diverses œuvres (Une Madone assise, La bataille d'Anghiari…) et surtout son tableau le plus célèbre : le portrait de la Joconde. [T apez un texte] Page 2  21 août 1911 On a volé « La Joconde » Le tableau le plus célèbre du monde, la "Mona Lisa" peinte par Léonard de Vinci au début du XVIème siècle, a disparu de la Grande Galerie du Louvres ou elle était accrochée depuis 1804. Guillaume Apollinaire, dont un des amis a volé une statuette au Louvre, sera inculpé. Mais, après deux ans de vaines recherches, le tableau sera retrouvé à Florence. Son voleur, Vincenzo Perugia, un peintre en bâtiment, sera arrêté en tentant de revendre le tableau à un antiquaire. III. Leonard De Vinci Léonard est un vrai Merlin enchanteur de la Renaissance. Ce toscan artiste et scientifique est un bel homme, élégant, facétieux, homosexuel, végétarien et gaucher. Il est aussi peintre, sculpteur, musicien, dessinateur, ingénieur [T apez un texte] Page 3 militaire, architecte, organisateur de fêtes, décorateur, inventeur et savant. Apprenti génial en peinture, il a dépassé son maître Verrocchio. Ce n'est pas un lettré, mais un autodidacte chercheur de connaissances. Il s'intéresse à la botanique, l'anatomie, la géométrie et aux machines volantes. Il analyse tout. Pour notre époque, son regard est d'une certaine froideur : lorsqu'il dessine un conjuré pendu (musée Bonnat à Bayonne), il note la couleur du bonnet, la texture des vêtements, les couleurs. Dans ses récits de dissections, il raconte comment, discutant avec un vieillard le matin, mort dans la journée, il procède à sa dissection en recherchant la cause de la mort. Il note tout dans ses carnets. Il ne nous reste que 7000 pages d'art et de sciences mélés à la liste des courses. Fils d'une paysanne et d'un notaire, il fréquente César Borgia, Julien de Médicis, Macciavel, Boticcelli, Raphaël, Charles d'Amboise et meurt dans les bras de François Ier(1) roi de France. [T apez un texte] Page 4 IV . La Mona Lisa a une sœur jumelle ! Au hasard d'un rangement dans les stocks du musée du Prado à Madrid, les conservateurs ont découvert un bien étrange tableau... Cette seconde Joconde aurait été réalisée en même temps que l'originale. Beaucoup de mystères demeurent autour du fascinant tableau de la Joconde de Léonard de Vinci. Est-ce finalement un homme ? Le peintre lui-même ? Que cache son sourire ? Qu'y a t-il derrière son regard ? Et un nouveau mystère vient s'ajouter à cette liste ! En effet, les conservateurs du musée du Prado à Madrid ont découvert une soeur jumelle de la Joconde en rangeant les stocks. Au départ, sous la peinture sombre, les conservateurs imaginent qu'il s'agit d'une simple copie de la Mona Lisa d'origine, mais en grattant un peu, il découvrent le fameux [T apez un texte] Page 5 paysage de Toscane qui avait servi de fond à la Joconde de Léonard de Vinci. Authentifiée par le Louvre Plus intriguant encore, après avoir passé le tableau aux rayons infrarouges, les spécialistes ont pu remarquer l'existence des mêmes tracés et croquis de départ que ceux de Léonard de Vinci. Pour en avoir la certitude, le musée du Prado demande une authentification au musée du Louvre, qui ne peut que reconnaître les similitudes troublantes entre les deux oeuvres. Ce sont donc bien deux tableaux jumeaux. La question se pose alors : qui est l'auteur de cette seconde Joconde ? Les spécialistes hésitent entre deux élèves de Vinci : Andrea Salai (qui aurait également été l'amant du peintre), et Francesco Melsi. L'élève aurait donc peint au fur-et-à-mesure, en même temps que son maître ! V . Mona Lisa est un homme ! [T apez un texte] Page 6 Silvano Vincenti, président du Comité national pour la valorisation des biens historiques vient de dévoiler l'un des plus grands mystères de l’histoire de la peinture: La Joconde ou la Mona Lisa est en fait un homme est un homme... Il s’agirait de Gian Giacomo Caprotti qui était la muse du génie italien. Le jeune homme qui a commencé à travailler à 16 ans pour De Vinci est resté avec lui pendant 25 ans. Cet homme aurait été l’amant de l’artiste. Gian Giacomo Caprotti surnommé Salai aurait été le célèbre portrait de Mona Lisa, dont l’identité n’est toujours pas connue. Il a émis cette hypothèse avec son équipe de chercheurs après avoir étudié le Saint Jean Baptiste. Ils se sont aperçus qu’il existait de fortes similitudes entre son visage et celui de la Joconde. De plus, selon Mr Vincenti, le peintre aurait laissé des indices dans les yeux de Mona Lisa, un L et un S, pour Léonard et Salai… Cette nouvelle est fortement critiquée par le Louvre qui affirme que le tableau a été [T apez un texte] Page 7 soumis à « toutes les analyses possibles en 2004 et 2009″ et qu’aucune inscription n’a jamais été trouvée. VI. Mona Lisa, Œil et code… Il semblerait que des chercheurs aient fait une étrange découverte sur le non moins célèbre portrait de Mona Lisa… En effet, le célèbre portrait qui est exposé au Louvre contiendrait des lettres minuscules ainsi que des chiffres sur les pupilles des yeux. Sur l’un des yeux des chercheurs ont pu voir les lettres L et V , les deux initiales de l’auteur. Léonard de Vinci nous aurait-il laissé un secret sur ce tableau ? A l’œil nu on ne peut rien voir, mais à l’aide d’une loupe on peu clairement voir ces caractères. [T apez un texte] Page 8 Sur l’œil de droite on peut voir les lettre L et V , pour Léonard de Vinci. Sur l’autre on pourrait voir d’autre symbole mais ils sont difficiles à déchiffrer. On peut penser aux lettres CE, voir un B, peut être le nombre soixante douze, ou bien la lettre L et le chiffre deux. Ce n’est que le début des recherches, et les experts espèrent bien découvrir toute les lettres et symboles et découvrir à quoi ils ont trait. On sait que Léonard de Vinci aimait les énigmes et les codes. On sait aussi que le célèbre peintre appréciait énormément ce tableau, vers la fin de sa vie il se déplaçait toujours avec et ne la quittait que rarement. Certain pense même que ce tableau pourrait être une sorte d’autoportrait de son auteur mais en femme… Il reste à attendre d’autres preuves, si elles existent, de ces caractères. On a du mal à voir, même avec un agrandissement, ces caractères et je doute que l’on conclu à quoique ce soit. D’ailleurs le fait qu’il faille un important grossissement pour pouvoir voir ces lettres peut faire douter que [T apez un texte] Page 9 Léonard de Vinci ait pu peindre de si petits caractères. De plus il es difficile de savoir où il aurait voulu en venir… VII. 21 août 1911 : le vol de La Joconde Le 21 août 1911, le peintre Louis Béroud se rendit au Louvre pour y réaliser un croquis de La Joconde. Surpris de ne pas trouver le tableau à son emplacement habituel, il signala cette disparition aux autorités compétentes. On fit chercher le tableau auprès des photographes du musée, puis auprès des conservateurs, sans succès. C’est alors que l’évidence du vol s’imposa et suscita dans le monde entier incrédulité et indignation. La Société des amis du Louvre se mobilisa et offrit une récompense de vingt-cinq mille francs. La revue L'Illustration promit quant à elle cinquante mille francs pour qui rapporterait le tableau dans les locaux du journal. [T apez un texte] Page 10 Les artistes cubistes premiers furent parmi les premiers soupçonnés : ils avaient entamé un combat contre l’art officiel, considéré comme une entrave à la réelle activité créatrice. Picasso, Braque affichaient vigoureusement leur opposition à un art accroché aux murs d’un musée. Le plus violent avait été le poète Apollinaire qui avait appelé à « brûler la Joconde ». Il fut arrêté, la police le soupçonnant d’avoir mis en pratique une de ses fanfaronnades, puis innocenté. C’est finalement en décembre 1913 qu’une imprudence naïve permit de confondre le voleur. Vincenzo Peruggia, d’origine italienne, était ouvrier et avait participé aux travaux uploads/s3/ mona-lisa.pdf