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2 3 SYNTHESE DU PROGRAMME DE FORMATION CODE TITRE DU MODULE Durée en H 101 Sens

2 3 SYNTHESE DU PROGRAMME DE FORMATION CODE TITRE DU MODULE Durée en H 101 Sensibilisation à la Profession 20 102 Hygiène Sécurité Environnement 40 103 Lecture et interprétation des plans et documents technique 60 104 Maintenance des équipements et outillage 60 105 Caractéristiques et construction des véhicules automobiles 40 106 Notion d'assemblage des véhicules automobile 40 107 Chimie en peinture automobile 20 108 Préparation d'un véhicule pour la peinture 210 109 Peinture Industrielle 30 110 Démarche qualité 20 111 Gestion d’atelier 30 201 Ajustement des couleurs de la peinture 80 202 Pulvérisation de la peinture 210 203 Pulvérisation de la peinture à base d’eau 60 204 Traitement de surface aéronautique 80 205 Technique de raccord en peinture automobile 80 206 Désigne décoration 100 207 Préparation d’un véhicule pour la livraison 20 208 Intégration au milieu de travail 220 4 OBJECTIF OPERATIONNEL DE PREMIER NIVEAU COMPORTEMENT ATTENDU Pour démontrer sa compétence, le stagiaire doit tracer des croquis et des schémas selon les conditions, les critères et les précisions qui suivent. CONDITIONS D’EVALUATION ▪ A partir : - De directives spécifiques. - De volume de références ; - D'un dessin d'ensemble, ▪ A l'aide : - D’éléments de machines tels que engrenages, arbre, poulies, roues dentées. Crayons et de gabarits à symboles, - D’instruments de mesure. - À main levée (croquis) CRITERES GENERAUX DE PERFORMANCE ▪ Méthode de travail ▪ Respect des proportions ▪ Respect de la disposition ▪ Travail propre et soigné. ▪ Relevé des dimensions et de renseignements essentiels. 5 OBJECTIF OPERATIONNEL DE PREMIER NIVEAU PRECISIONS SUR LE COMPORTEMENT ATTENDU CRITERES PARTICULIERS DE PERFORMANCE A. Connaître les normes de lecture du dessin industriel B. Interpréter : - Des projections isométriques ou obliques. C. Relever les dimensions et la forme d'une pièce sur un véhicule. D. Dessiner à main levée des croquis D’une pièce ou d'un ensemble mécanique • En projection orthogonale ; • En projection isométrique, • En coupe (total ou partiel) • En vues auxiliaires simples. E. Tracer les schémas : • D’une transmission mécanique. • D'une partie ou de l’ensemble ; • D'une structure métallique. F. Coter les croquis et les schémas - Respect de la technique et de la Méthode de dessin. - Justesse de l'identification et l'interprétation des : - Projections isométriques ou obliques - Projection orthogonale - Coupes et des vues auxiliaires simples ; - Respect. • Des dimensions ; • De la forme ; - Respect : • De la disposition des vues ; • De la méthode ; • De la technique ; • Choix judicieux des vues Des coupes ; de l'échelle. - Respect : - De la méthode ; - Des techniques ; - Des symboles ; - Respect des règles d'inscription des côtes ; - Précision des dimensions. Résumé de Théorie Lecture et interprétation des plans et documents technique 6 DUREE : 60 H OBJECTIF STANDARD Enoncé de la compétence : Interpréter des dessins d’ensembles, des plans de mécanique, et plans de soubassement. Eléments de la compétence 1. Connaître les normes de lecture du dessin industriel. 2. Connaître des plans d’ensemble de mécanisme en automobile. Contexte de réalisation • A partir de manuels techniques. • A partir des diagrammes de cycles thermodynamiques. • A partir de la maquette de moteurs. • A l’aide de documents pertinents. Critères de performance. 1.1 Identification et représentation de pièces. 1.2 Identification et représentation de systèmes 1.3 Identification et représentation de schéma. 2.1 Identification et représentation de pièces. 2.2 Identification et représentation de systèmes. 2.3 Identification et représentation de schéma. 3.1 Identification et représentation d’une pièce. Résumé de Théorie Lecture et interprétation des plans et documents technique 7 SOMMAIRE Présentation du module Page Tracés géométriques : Le point, la droite, les perpendiculaires, les parallèles 7 Division de là de droite, des angles, des arcs de cercle, de la circonférence 11 Construction des angles 19 Droite tangente à la circonférence. Raccordement 24 Anse de panier 26 La normalisation du dessin technique 27 Le format des feuilles, Les échelles, Le cartouche, Les traits 29 Ecriture de lettre et chiffre en bâton droit 31 Représentation orthogonale 33 Méthode de représentation 35 La cotation 36 Les coupes 40 Résumé de Théorie Lecture et interprétation des plans et documents technique 8 Tracés géométriques Traçage du point. Un point est déterminé par l’intersection de 2 droites, ou 2 arcs de cercle, ou encore par l’intersection d’une droite et d’un arc de cercle. Le maximum de précision est obtenu lorsque les droites ou les tangentes aux arcs de cercle aux points d’intersection forment un angle qui se rapproche de 90° : les points A, B, C sont bien déterminés (fig. 1-1) les points D ; E ; F (fig. 1-2) sont mal déterminés. Traçage d’une droite. Une droite AB est déterminée par 2 ponts C et D. la construction est d’autant plus précise que les ponts C et D sont plus éloignés (fig. 1-3) (1) ; la construction du croquis (2) manque de précision. Traçage de perpendiculaire : 1° Au milieu d’un segment AB (fig. 1-4). Avec une ouverture de compas plus grande que la moitié de AB, et des points A et B comme centres, décrire 2 arcs de cercle qui se coupent en E et F ; joindre EF. 2° par un point donné O d’une droite AB (fig. 1-5) Du point O comme centre, avec une ouverture de compas quelconque, tracer 2 arcs qui coupent AB, en C et D. Elever la perpendiculaire au milieu de CD, comme figure 1-4, en déterminent les points E et F, tracer la droite EF qui doit passer par o. 3° A l’extrémité d’une droite AB que l’on ne peut pas prolonger vers B. 1er méthode (fig. 1-6). D’un point quelconque O ; tracer une circonférence qui coupe AB en B et C. joindre OC, qui coupe la circonférence en D, joindre BD qui est perpendiculaire à AB. Inconvénient : DC est déterminé par les points C et O trop rapprochés. Résumé de Théorie Lecture et interprétation des plans et documents technique 9 2ème méthode (fig. 1-7). Elever, en un point O de la droite AB, la perpendiculaire EF. Mener par B. une parallèle à EF. La 2ème méthode est préférable pour de plus grande précision, et d’autant plus qu’il est indispensable de tracer en premier lieu les axes de l’épure (voir fig. 1.29à 1.33) 4° par un point P n’appartenant pas à la droite AB (fig. 1.18). Du point P comme centre ; tracer un arc de cercle qui coupe AB en C et D. Elever, au milieu de CD, la perpendiculaire EF qui doit passer par P. Traçage de parallèles à une droite AB. 1° Parallèle à une distance donnée r (fig. 1.19). En 2 points O et O1 (aussi éloignés que possible) de la droite AB, Elever des perpendiculaires EF et E1F1. Des points O et O1 comme centres, avec une ouverture de compas égale à r, tracer 2 arcs de cercle qui coupent les perpendiculaires en G et G1, joindre G-G1. Tracé pratique (fig.1.20). Des points C et D comme centres, avec une ouverture de compas égale à r, tracer 2 arcs de cercle. A l’aide d’une réglette, mener avec soins la tangente à ces 2 arcs. Si les points des outils sont bien fins, on obtient ainsi rapidement un tracé clair, avec toute la précision désirable, malgré le caractère approché de la construction. 2° parallèle à AB ; passant par un point donné, P (fig. 1.21) Méthode géométrique. Du point P comme centre, tracer un arc quelconque de rayon R, qui coupe AB en E, puis du point E comme centre, avec la même ouverture du compas R, tracer un arc qui coupe AB en C. Régler le compas à l’ouverture CP (r), et tracer un arc de centre E, et de rayon r, qui coupe ; en D ; l’arc de centre P. joindre DP qui est la parallèle cherchée. Résumé de Théorie Lecture et interprétation des plans et documents technique 10 Méthode pratique. Soit à tracer par le point A, une parallèle à CD, pour déterminer le point A1. a) PETITES LONGUEURS : On déplace une équerre comme sur une planche à dessin (fig. 1.22). b) POUR GRANDE LONGUEURS : On place une règle sur CD, et on élève une perpendiculaire ; au compas, on mesure BA, et en reporte en B1A2 . Joindre A. A2 Plus simplement, du point A comme centre ; on règle par tâtonnement, une ouverture de compas, telle que l’arc de rayon R, soit tangent à CD (fig. 1.24). D’un point B de CD, on trace un arc de même rayon R et on même, par A, la tangente à cet arc. (Même observation que pour le tracé de la (fig. 1.20). Axe rectangulaire d’une tôle ou d’une épure (trait carré des traceurs). Cette construction est la base de tous les tracés, et elle doit être, de ce fait ; exécuter avec beaucoup de soin et de précision. 1er méthode (fig. 1.25) : A l’aide de la réglette graduée, tracer uploads/s3/ m-103-m-c-lecture-et-interpretation-des-plans-et-documents-techniques.pdf