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08/07/2020 De la lutte des classes à la guerre raciale, la France atteinte du syndrome de Stockholm - Egalite et Réconciliation https://www.egaliteetreconciliation.fr/De-la-lutte-des-classes-a-la-guerre-raciale-la-France-atteinte-du-syndrome-de-Stockholm-59805.html 1/8 X Accueil Vidéos Adhérer Faire un don E&R et Partenaires Décryptages Actualités Livres Agenda Organigramme Alain Soral => Derniers articles publiés Afficher la version bureau Egalité et Réconciliation https://www.egaliteetreconciliation.fr/ De la lutte des classes à la guerre raciale, la France atteinte du syndrome de Stockholm Publié le : mercredi 17 juin 2020 Mots-clés : Antiracisme; Communautés; États-Unis; Extrême gauche; France; Ingénierie sociale; Justice & Droit; Société Commentaires : 33 Nombre de vues : 11 580 Source : geopolintel.fr [http://www.geopolintel.fr/article2323.html] L’internationale de la subversion mondialiste et transhumaniste est à l’œuvre. Pour ce faire elle s’appuie sur toutes les pègres transgressives. Notre malheureux pays plaqué au sol, à demi asphyxié, le genou de l’État lui écrasant la nuque, s’ébroue et se relève, les yeux bordés de reconnaissance à l’égard de celui qui enfin le soulage…Mister Macron himself ! Et puis, nous voici rassurés, la statue de Colbert ne sera pas déboulonnée avant d’être jetée à la Seine, en tout cas pas cette fois… mais peut-être la prochaine ? 00 : 28 08/07/2020 De la lutte des classes à la guerre raciale, la France atteinte du syndrome de Stockholm - Egalite et Réconciliation https://www.egaliteetreconciliation.fr/De-la-lutte-des-classes-a-la-guerre-raciale-la-France-atteinte-du-syndrome-de-Stockholm-59805.html 2/8 N’est-ce pas l’ancien et particulièrement terne Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, président de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, qui prétend débaptiser la salle Colbert de l’Assemblée nationale ? Plus indigéniste que ce porte-parole officieux de la classe dirigeante hexagonale, on meurt. Cela surtout en dit long sur les dispositions d’esprit des soi-disant élites à l’égard de notre héritage politique… Alors faut-il vraiment croire le président Macron lorsqu’il nous passe de la pommade et la main sur le bas des reins ? Avec des individus de cet acabit, il faut toujours inverser la proposition, comprendre le contraire de ce qu’ils disent pour nous endormir… Car, tel le syndrome de Stockholm dans toute sa splendeur, pathologie mentale circonstancielle, le confiné voue un amour irrépressible à M. Macron, son geôlier d’hier, d’aujourd’hui et peut-être encore de demain, dans une France otage de la mondialisation. Ainsi va le monde tandis que les « Manifestations contre la violence policière, la violence sociale et la violence raciale » se succèdent et se ressemblent sur fond de véhicules incendiés et de vitrine brisées… Avec pour dénominateur commun, la haine des forces de l’ordre (qui ne sont pas toujours blanc-bleu, en témoigne la brutale répression des défilés de Gilets jaunes), et à travers elles, la haine de l’ordre tout court, de la France et des Français. Cependant, laissons la République de côté puisque les émeutiers en sont les enfants chéris, promus par la grâce de la discrimination positive, à tous les échelons, grands et petits, de l’appareil d’État. Nous en sentons déjà les effets : le céfran n’a qu’à filer doux, écraser, raser les murs… surtout dans les cours de justice où les uns bénéficient de l’indulgence plénière (Traoré, ce saint innocent, traînait comme autant de titres de gloire une quinzaine de chefs d’inculpation) et où les autres - le quidam lambda – s’exposent à une stricte sévérité. Il est vrai que les rigueurs de la loi ne s’appliquent – presque exclusivement - qu’à ceux qui la respectent ! Assa Traoré – que l’ancien garde des Sceaux, Christiane Taubira, vient délicieusement de désigner comme une vraie « chance pour la France » - ci-devant présidente du Comité « Justice pour Adama », est la sœur d’un « jeune homme » - dixit la presse – « assassiné », c’est-à-dire tué avec préméditation, en juillet 2016 par la gendarmerie de Persan dans le Val d’Oise. Première remarque, le gentil jeune homme en question, Adama Traoré, était un multirécidiviste (viol, vol, violence, narcotrafic) fuyant les représentants de l’ordre qui tentaient de l’interpeller. On pourrait dire dans ces circonstances, que sa mort a été accidentelle, en l’occurrence un accident de parcours participant des risques du métier auxquels s’expose tout individu au comportement aventureux. La délinquance n’est-elle un sport un peu extrême ? Mais en France nos délinquants sont des petits bourgeois dégoulinants de droits qui à ce titre n’entendent courir aucun danger dans l’exercice de leur coupable industrie. Il est vrai qu’en raison d’une grille de lecture néo-marxiste, les criminels sont par essence des « victimes » : celles de la police raciste et fasciste (idem lorsque les policiers sont eux-mêmes gens de couleur) ; de la société, la lutte des classes se croisant alors avec la guerre des races (qui n’existent pas, le mot ayant été retiré de la Constitution par la Chambre le 12 juillet 2018), et accessoirement se combinant harmonieusement avec la sourde lutte de longue haleine opposant l’altérité (sexe fort contre sexe dit faible) et le large spectre chromatique de la diversité transsexuelle. « Je serais prêt à mettre un genou à terre » dixit le ministre Castaner Interrogé le 9 juin à propos des manifestations organisées contre le « racisme » à travers le monde, le ministre de l’Intérieur se déclarait prêt à humilier la France, genou en terre en signe de contrition à l’égard des racailles malmenées ! Quand il était question, l’an passé d’yeux crevés et de mains arrachées par certains chiens de garde du régime, M. Castaner était moins repentant et beaucoup plus arrogant. Pour sa part, notre brillante ministre de la Justice à la crinière de feu, dame Belloubet, après s’être évertuée à supprimer le crime en vidant les prisons (dix à treize mille voyous élargis ou exonérés de peine à l’occasion de la crise sanitaire, les distances sociales s’imposant aussi en milieu carcéral), avait cru bon d’inviter place Vendôme ladite Assa Traoré pour tailler avec elle un petit bout de bavette. Que nenni, l’ardente jouvencelle déclina avec dédain l’offre de venir s’essuyer les pieds sur le paillasson institutionnel… L’Élysée sinon rien ! Parce que certes, là où l’émotion passe, le droit trépasse et avec lui, toutes les règles et les normes juridiques. Le ministre de l’Intérieur, le sieur Castaner, nous avait prévenu : « L’émotion mondiale dépasse au fond les règles juridiques qui s’appliquent ». Une nouvelle fleur rare de rhétorique sortie de la même fosse à purin que les opinions qui n’en sont pas pour la bonne raison qu’elles seraient des délits ! On attend que les grands dissidents de la pensée, les Onfray, les Zemmour & Cie se penchassent sur ces anomalies enkystées dans notre droit et profitent des circonstances présentes pour dénoncer l’instauration subreptice de crimes orwelliens contre la pensée et l’imparable diktat de l’émotion. Bref, le progrès (soit le processus) de décomposition ne fait jamais de pause dans sa rage à démolir pierre à pierre l’édifice civilisationnel. Après tout ce fut moins une que Notre-Dame de Paris, mutilée et outragée, ne devînt en 1793 une carrière à ciel ouvert… Alors, quand de votre côté vous serez pris d’une frénésie d’incendie ou de pillage, n’oubliez pas de préciser avoir agi sous le coup de l’émotion. Comme d’autres – également victimes - trouvent une excuse valable à leurs forfaits (ou bien comme circonstance atténuante à leur irresponsabilité) en excipant de leur éthylisme ou de leur toxicomanie ! Sinon le combat préventif de l’émotion se déploie généralement contre tout ce qui la suscite de façon odieuse et intempestive : aux États-Unis des services de police s’autodissolvent, leurs chefs démissionnent en rafale (comme le 13 juin à Atlanta, suite au décès d’une nouvelle victime afro-américaine de la violence policière), l’autorité légale fait son grand mea culpa… En France, régulièrement si ce n’est systématiquement, sont interdits les rassemblements dont la seule tenue pourrait heurter telle idolâtrie mémorielle ou tel communautarisme à fleur de peau : on a vu en mars 2019 Les suppliantes d’Eschyle interdites à la Sorbonne par de supposés antiracistes, au même titre que furent annulés et préfectoralement interdits les spectacles de tel humoriste (dont il 08/07/2020 De la lutte des classes à la guerre raciale, la France atteinte du syndrome de Stockholm - Egalite et Réconciliation https://www.egaliteetreconciliation.fr/De-la-lutte-des-classes-a-la-guerre-raciale-la-France-atteinte-du-syndrome-de-Stockholm-59805.html 3/8 convient de taire le nom tant il est honni par tout ce que la France macronienne compte de bienpensance). Paradoxalement ce sont ceux qui menacent de troubler l’ordre public qui ont gain de cause et, par un renversement spectaculaire mais désormais habituel, ce sont les fauteurs de troubles qui en imposant leurs haines et leurs ostracismes transforment leurs victimes en coupables. En un mot, l’émotion (le droit absolu à s’émouvoir et à ne surtout pas supporter l’altérité ou la différence) prime et devient un argument définitif pour donner droit à toutes les revendications exorbitantes du droit commun qu’exprime telle communauté ou telle minorité médiatiquement surpuissante. Et l’on en vient à nous seriner qu’il n’y a pas de conspiration. Mais que diable, les médias conspirent comme ils respirent… pour nous abrutir et donner du monde une lecture biaisée, falsifiée, déformée ! Assa Traoré n’est-elle pas sublimée, héroïsée au point d’être présentée comme une « Antigone racisée »… rien de moins ! En un mot, la seule uploads/S4/ de-la-lutte-des-classes-a-la-guerre-raciale-la-france-atteinte-du-syndrome-de-stockholm-egalite-et-re-conciliation.pdf
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- Publié le Jui 27, 2021
- Catégorie Law / Droit
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