Partager par adil ys Grandeurs directement proportionnelles Deux grandeurs sont
Partager par adil ys Grandeurs directement proportionnelles Deux grandeurs sont directement proportionnelles lorsque l’une devenant un certain nombre de fois plus grande ( ou plus petite ) , l’autre devient le même nombre de fois plus grande ( ou plus petite ), c’est à dire dans la même proportion Grandeurs inversement proportionnelles Deux grandeurs sont inversement proportionnelles lorsque l’une devenant un certain nombre de fois plus grande ( ou plus petite ) , l’autre devient le même nombre de fois plus petite ( ou plus grande ). Pourcentage est le rapport constant de deux grandeurs proportionnelles quand la mesure de la seconde est 100.C’est donc un rapport dont le dénominateur est 100. Du point de vue mathématique, on a deux cas distincts : Soit le pourcentage s’applique à une quantité connue, on l’appelle alors pourcentage direct ;Soit le pourcentage s’applique à une quantité inconnue, on l’appelle, dans ce cas, pourcentage indirect. Coefficient multiplicateur et taux de bénéfice Le coefficient multiplicateur est le nombre qui permet de passer da la quantité connue à la quantité inconnue par une seule multiplication. L’intérêt : c’est la somme que rapporte un capital placé La tare : c’est une réduction sur le poids de l’emballage. La sur tare : c’est une réduction pour emballage supplémentaire Le don : c’est une réduction accordée pour altération naturelle de la marchandise. La réfaction : réduction accordée pour avaries dans la livraison La valeur acquise On appelle valeur acquise par un capital placé pendant un certain temps, la valeur du capital augmentée des intérêts à la fin de la période de placement. L’escompte commercial, prix du service rendu par le banquier, ne sera autre que l’intérêt, à un taux t indiqué par le banquier, d’une somme égale à la valeur nominale de l’effet montant de l’avance effectuée par le banquier, calculé sur le nombre de jours que sépare la date de la négociation de l ‘effet de la date d’échéance de l’effet ( ce nombre de jour correspondant à la durée du prêt consenti par le banquier). Valeur actuelle C’est la valeur que le banquier doit verser au porteur de l’effet à l’occasion de l’opération d’escompte. Elle représente la différence entre la valeur nominale et l’escompte retenu par le banquier Place bancable : localité où Bank al Maghrib a une succursale +Effet bancable effet payable dans une place bancable+ Effet déplacé (ou non bancable) effet payable ailleurs Commission d'endos : elle rémunère le service rendu par le banquier qui réescompte les effets auprès de Bank al Maghrib. Même méthode de calcul que pour l'escompte Commission de bordereau : appelée aussi commission de service, elle est calculée soit à un certain taux sur la valeur nominale des effets : 1/6 % par exemple, soit fixe : 3,20 DH par effet. Commission d'encaissement ou change de place : se calcule comme pour la commission de bordereau Autres commission d'acceptation, commission de manipulation ; en général fixes par effet. L’escompte rationnel L’escompte rationnel est l’intérêt de la valeur actuelle Comme cette valeur actuelle est inférieure à la valeur nominale, on dit que l’intérêt ainsi calculé est un escompte en dedans, par contraste avec l’escompte commercial dit escompte en dehors.On le dénomme rationnel parce que son mode de calcul est conforme à la raison, au bon sens, autrement dit : est plus équitable. Date d’équivalence Deux effets sont équivalents, à une date donnée, si à cette date, ils ont des valeurs actuelles égales, si on les escompte au même taux .Cette date est alors dite date d’équivalence. Échéance moyenne L'échéance moyenne est l'échéance d'un effet unique à un ensemble d'effets mais dont la valeur nominale est égale à la somme des valeurs nominales des effets remplacés. Compte courant Un compte est dit « courant » quand toutes les sommes portées tant au débit qu’au crédit perdent leur individualité et s’ajoutent algébriquement. Seul le solde calculé à une date convenue est exigible compte courant et d’intérêt Un compte est dit « compte courant et d’intérêts » lorsque les sommes portées en compte sont génératrices d’intérêts. TVA, elle s’agit d’un impôt indirecte de consommation qui frappe les transactions commercials réalisées sur le territoire nationale. Instituer au Maroc depuis 1 avril 1986, elle frappe les produits et services, de façon fractionné, durant tout le cycle de production et de commercialisation. Ce sont les E/ses qui déclare et paye la TVA à l’Etat cependant, le consommateur finale et le redevable. (contribuble) réel qui supporte cette taxe en dernier ressort caractéristiques principales de la TVA -impôt indirect de consommation : la taxe est incluse dans le prix de vente d’un bien ou service que l’on peut acquérir -impôt quasi-généralise : elle frappe la généralité des biens et services vendus au Maroc quelque soit leur origine (Marocaine on étrangères) et quelque soit la qualité du vendeur (fabriquant, grossiste, ou commerçant importation) à l’exception de certain cas( à traiter ultérieurement) -impôt variable : le taux appliqué vari selon l’importance et le rôle jouer par le bien ou services vendu -impôt territorial : les taux appliqués dans un pays x différent d’un pays y.En effet, malgré que le principe soit le même chaque pays fixe un taux appliquable. Propre en fonction de plusieurs critères tel que : l’économie, le sociale - impôt récupérable : la TVA supportée par le produit vendu au court de sa face de production ou de commercialisation Le fait générateur de la taxe est l’événement qui donne naissance et raison à la créance finale du trésor sur un contribuable. C’est le faite qui rend l’impôt exiger pour la TVA Régimes d’encaissement : s’agit du régime normale. Le fait générateur de la TVA se situe au moment de l’encaissement du prix des Mses, des travaux ou des services. Cet encaissement peut être total ou partiel (avance, paiement par tranche,…) régime des débits :le redevable peut opter pour le régime de débit, dans ce cas, la TVA devient exigible des l’établissement des factures ventes et l’inscription des créances correspendante au débit des comptes clts . Ceci ne disponce pas le contribuable de déclarer à la TVA tous les acomptes reçus avant l'établissement de la facture (comme le régime des encaissement) Partager par adil ys La facture doit Une facture doit est une facture qui mentionne en générale le montant que le client doit au fournisseur, c'est-à-dire la créance du vendeur sur l’acheteur après une opération de vente. La facture doit contenir : - Identité et informations sur les parties vendeur et acheteur - Informations sur les biens ou services vendus, leurs prix TTC et leurs quantités - Date de l’opération - Information sur les moyens qui ont permis le règlement de la facture (chèque, espèces…etc.) - Montants des réductions - Montant de la taxe sur la valeur ajoutée - Les autres frais accessoires Rabais : réductions sur les prix de vente accordées aux clients en raison d’un défaut de qualité des produits ou de non-conformité des produits avec la commande. Remises : réductions accordées aux clients qui achètent des grandes quantités. Ristourne : réductions sur le montant global des ventes d’une certaine période (mois, trimestre…) Facture avoir Dans le cas où le client retournerait au fournisseur une partie ou l’ensemble de marchandise non conforme avec la commande, le fournisseur doit adresser à son client une nouvelle facture appelée facture « avoir » ou note de crédit. La comptabilité est une technique qui permet d’enregistrer dans des comptes les flux de l’entreprise afin de déterminer le résultat de l’exercice (bénéfices ou pertes) et d e présenter la situation patrimoniale de l’entreprise 5. Les principes comptables • Principe de continuité d’exploitation : L’entreprise est présumée poursuivre ses activités. De ce fait, les actifs sont évalués sur la base de leur valeur d’utilité et non pas de leur valeur liquidative Principe d’indépendance des exercices : La vie de l’entreprise est découpée en périodes de 12 mois, appelées « exercices » comptables. Le compte de résultat récapitule les produits et les charges de l’exercice écoulé, sans tenir compte de leur date de paiement ou de facturation. • principe de prudence : L’entreprise ne doit pas reporter sur les exercices futurs, des incertitudes présentes susceptibles de diminuer son patrimoine ou son résultat. Ainsi, à la date de clôture des comptes, en cas d’existence d’un risque d’appauvrissement de l’entreprise (exemple : procès en cours) celle-ci doit comptabiliser une charge sans attendre la réalisation effective du risque. • Principe de permanence des méthodes : L’entreprise doit conserver les mêmes méthodes d’évaluation et de comptabilisation d’un exercice sur l’autre afin d’assurer la comparabilité des comptes annuels. • Principe des coûts historiques : Les éléments figurant au bilan de l’entreprise sont inscrits au coût évalué au moment de leur entrée dans son patrimoine, sans tenir compte de l’inflation ultérieure. • Principe de non compensation : Les éléments d’actif et de passif, ainsi que les charges et les produits sont évalués séparément, sans compensation possible. Le bilan Le bilan décrit le patrimoine de l’entreprise à une date donnée l’actif, qui présente ce que l’entreprise possède : machines, stocks, créances, uploads/Finance/ comptabilite-generale-theorie-pdf.pdf
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- Publié le Apv 07, 2021
- Catégorie Business / Finance
- Langue French
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