Exercice 1 1. La personne âgée avait: 2 points 71 ans. 81 ans. 91 ans. 2. Cette
Exercice 1 1. La personne âgée avait: 2 points 71 ans. 81 ans. 91 ans. 2. Cette fille a habité chez une personne âgée pendant: 1 point un an. deux ans. trois ans. 3. Indiquez deux endroits où cette jeune est allée avec la personne âgée. 4 points ______________________ _________________________ 4. La jeune fille était totalement à l’aise quand elle a contacté cette association. 1 point Vrai. Faux. On ne sait pas. 5. L’association s’appelle: 1 point Le Pari Solidaire. Le Pays Solitaire. 6. Tous les jeunes qui vont cohabiter avec une personne âgée doivent remplacer le professionnel de santé. 2 points Vrai. Faux. On ne sait pas. 7. Ce document est: 2 points une publicité. le récit d’une expérience personnelle. un document informatif. Exercice 2 1. L’association présentée dans le document a un but: 1 point lucratif. non lucratif. 2. Le type de service est destiné aux habitants de ____________________. 2 points 3. Le moyen de transport pour livrer les courses est: 1 point la moto. le vélo électrique. la voiture électrique. 4. Le livreur est une personne en situation de: 2 points retraite. chômage. réinsertion professionnelle. 5. Citez trois caractéristiques du service: 6 points _____________________ _____________________ _____________________ Dossier 1 Préparation pour l’examen DELF (niveau B1) Partie 1 Compréhension de l’oral 25 points Consignes Vous allez entendre deux documents sonores. Vous aurez: · 30 secondes pour lire les questions; · une première écoute, puis 30 secondes de pause pour commencer à répondre aux questions; · une deuxième écoute, puis 1 minute de pause pour compléter vos réponses. Répondez aux questions, en cochant (×) la bonne réponse, et en écrivant l’information demandée. Exercice 1 Lisez le texte, puis répondez aux questions, en cochant (X) la bonne réponse, ou en écrivant l’information demandée. Le téléphone mobile est aussi un instrument de cohabitation entre parents et adolescents. Les accros du portable. Sitôt rentrés chez eux, Vanessa, 14 ans, Raphaël, 16 ans, Marie, 44 ans, et Patrick, 45 ans, branchent les petites boîtes colorées afin de les recharger. C’est devenu un rituel, désormais en vigueur dans de nombreuses familles. Loin de faire l’unanimité, le téléphone mobile est souvent comparé à un cordon ombilical qui entrave l’autonomie, maintient la dépendance, infantilise. De plus, les sonneries stridentes, les hurlements donnent envie de les casser, comme l’écrit une adolescente au journal “Okapi”. On est frappé par le jugement qu’émettent certains adolescents quand ils évoquent les possesseurs de portable de leur âge. Le sans-gêne, la frime sont critiqués. Le port à la ceinture aussi. Il est reconnu utile pour les adultes qui travaillent, surtout pour “les médecins, les reporters”, ceux qui doivent voyager, ou encore en cas de panne sur l’autoroute, d’accident. L’envie d’en avoir un ne manque pas. De toute façon, on peut se dire que, plus tard, avoir un portable, ce sera aussi naturel que d’avoir un baladeur ou une télé. La mère de Raphaël et de Vanessa exprime sa satisfaction: depuis que ses enfants possèdent un portable “ça a libéré ma ligne”, déclare-t-elle. Elle se sent de surcroît sécurisée de savoir qu’ils peuvent appeler en cas d’urgence. Enfin, elle apprécie de ne plus avoir à “bagarrer” pour les factures de téléphone. Désormais, carte ou forfait, ses enfants gèrent leurs dépenses avec leur argent de poche. (…) La liberté n’a alors pas de prix: “Pouvoir être joint ou appeler de n’importe quel endroit, ou presque”; “pouvoir décider à la dernière minute ce qu’on va faire le soir”; “téléphoner à n’importe quelle heure”(si le portable est branché, cela signifie qu’on ne dérange pas); être appelé même la nuit, sans “réveiller la maisonnée”; enfin, être sûr que ses messages ne seront pas écoutés, parce qu’ils n’atterrissent plus sur le répondeur familial… Tout cela réintroduit du secret, de l’oxygène et du ciel bleu dans la cohabitation entre parents et enfants, même s’il faut discuter de nouvelles normes d’usage afin de maintenir la convivialité et les liens familiaux. Ainsi, le portable permet de se tolérer mutuellement. Les parents qui ont du mal à couper le cordon s’étonnent que leurs enfants préfèrent brancher leur boîte vocale et ne répondent pas à leurs appels. Loin d’être forcément une manifestation de désobéissance, cela est plutôt une saine réaction d’indépendance (…). Christine Castelain-Meunier, Le Nouvel Observateur – H.S. n° 41 (semaine du 15 juin 2000) 1. Ce texte pourrait appartenir à la rubrique: 1 point faits divers. technologie. société. 2. Relevez trois défauts que les jeunes reprochent aux utilisateurs de portable. 3 points 3. Quels avantages la mère de Raphaël et Vanessa voit-elle à ce que ses enfants aient un portable? 3 points 4. Expliquez l’expression suivante: “couper le cordon…”(dernier paragraphe). 3 points Dossier 1 Préparation pour l’examen DELF (niveau B1) Partie 2 Compréhension des écrits 25 points Exercice 2 Lisez le texte ci-dessous, puis répondez aux questions, en cochant (X) la bonne réponse, ou en écrivant l’information demandée. Une lueur d’espoir Sauver les enfants S’appuyant sur divers traités et textes internationaux, dont la Convention relative aux droits de l’enfant, de nombreuses associations et ONG se mobilisent tous les jours dans le monde pour que diminue le nombre d’enfants enrôlés1 dans des groupes armés. C’est le cas de la “Coalition pour interdire l’utilisation d’enfantssoldats”, association mondiale créée en 1998 et animée par le HRW (Human Rights Watch). C’est le cas également de nombreuses ONG qui, dans des dizaines de pays, viennent en aide aux enfants-soldats, assurant leur protection et leur garantissant, quand c’est possible, un suivi médical et une scolarisation. C’est le cas surtout du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef). Pression auprès des États, campagnes de sensibilisation. Grâce aux actions concertées de ces organisations, des milliers d’enfants sont chaque année tirés des griffes2 de la violence et de la guerre. En février 2001, l’Unicef a ainsi coordonné la démobilisation de plus de 2500 enfants âgés de 8 à 18 ans qui servaient dans les rangs de l’Armée de libération des peuples du Soudan (SPLA) dans le sud de ce pays, en les acheminant dans des camps de transit. Les responsables de l’Unicef ont assuré que cette action serait poursuivie en 2002 afin de soustraire tous les enfants-soldats du SPLA (environ 10 000) à l’enfer des conflits. Entre mai et novembre 2001, une campagne analogue3 menée au Sierra Leone, a permis de libérer quelque 2900 enfants. De la même façon, le gouvernement de la République du Congo (RDC) s’est engagé, en mai 2002, à démobiliser des milliers d’enfants servant ans son armée. En juillet 2001, des équipes issues de diverses associations ont donc pu organiser des tournées dans les casernes de ce pays pour répertorier le nombre des enfants-soldats et préparer leur réintégration dans la société. Textes et traités Jusqu’ici, les traités internationaux sur les droits des enfants stipulaient qu’un mineur de moins de 15 ans ne pouvait être enrôlé dans un groupe armé étatique. Certains pays occidentaux mobilisent toujours dans leurs armées, et en toute légalité, des jeunes volontaires de moins de 18 ans. Certains d’entre eux sont morts dans des guerres récentes. Mais de nombreuses voix se sont élevées depuis 10 ans pour ramener l’âge minimum de cet enrôlement à 18 ans. En mai 2000, un “Protocole facultatif” à la Convention relative aux droits de l’enfant a été adopté par l’Assemblée générale des Nations unies. Ce texte invite les États à prendre “toutes les mesures possibles dans la pratique pour veiller à ce que les membres de leurs forces armées qui n’ont pas atteint l’âge de 18 ans ne participent pas directement aux hostilités”(Art.1). Fin 2001, 87 pays avaient signé ce protocole et 10 l’avaient ratifié4, ratification qui a permis à ce texte d’entrer en vigueur le 12 février 2002 (…). Dossier écrit par Olivier Piot, Les Clés, n°485, 9/15 mai 2002 1. enrôlés – engagés · 2. tirés des griffes de – arrachés à · 3. analogue – identique · 4. ratifié – accepté officiellement ONG (organisation non gouvernementale); ONU (organisation des Nations unies); Démobilisation: action de rendre à la vie civile (des troupes mobilisées). À lire: Rapport mondial sur les droits de l’enfant, HRW, 2002.; La situation des enfants dans le monde, Unicef, rapport, 2002.; Allah n’est pas obligé, de Kourouma Ahmadou, éd. Le Seuil. Dossier 1 Préparation pour l’examen DELF (niveau B1) 1. Ce document a pour but de: 1 point dénoncer les horreurs de la guerre. informer sur les actions pour les droits de l’enfant. faire signer un texte pour les droits de l’enfant. 2. Citez: 6 points a. le nom d’une structure qui lutte pour la disparition des enfants soldats. b. trois formes de soutien proposées aux enfants soldats par les ONG. c. deux moyens d’action utilisés par les associations auprès des pays et des gouvernements. 3. Cochez la bonne réponse: 3 points a. La mission de juillet 2001, au Congo, avait pour objectif: d’identifier et compter les enfants soldats. d’organiser le retour des enfants soldats à la vie civile. les deux. b. Dans certains pays occidentaux, l’enrôlement des moins de 18 ans est: possible. obligatoire. interdit. c. Le “Protocole facultatif” propose: d’interdire l’enrôlement avant uploads/Finance/ delf-1.pdf
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- Publié le Mar 22, 2021
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