Réalisé par 1 : AQAMOUR WISSAL 2 : AJARTI OUISSAL 3 : AISSA ABDERRAZZAK Encadré

Réalisé par 1 : AQAMOUR WISSAL 2 : AJARTI OUISSAL 3 : AISSA ABDERRAZZAK Encadré par ; M.YEHYAOUI Axe 1 : les transactions internationales Thème : 2 « Les échanges des biens(le commerce) et les échanges d’actifs(IDE) » Macroéconomie Internationale 2019/2020 ~ 2 ~ Sommaire Introduction : Chapitre 1 : les types de transactions internationales. Section1 : les deux approches des échanges. Section2 : Echanges des biens (commerce) et échanges d’actifs (IDE). Section3 : La balance des paiements. Section4 : La balance des paiements et la globalisation financière. Chapitre2 : les échanges des biens et les échanges d’actifs. Section1 : le commerce international. Section2 : les Investissements Direct à l’étranger (IDE). Cheapitre3 : L’impact des échanges des biens et les échanges d’actifs sur la croissance économique. Section1 : l’effet de commerce international sur la croissance économique. Section2 : l’impact du l’investissement direct à l’étranger sur la croissance économique. Conclusion : Bibliographie : ~ 3 ~ Introduction : L’économie internationale est l’étude des interdépendances entre économies nationales. Ces interdépendances prennent la forme de flux internationaux de biens et services, d’échanges d’actifs financiers, de migrations ou encore d’investissements directs à l’étranger. L’étude de l’économie internationale utilise les mêmes méthodes analytiques que les autres champs de l’économie. En particulier, les comportements des agents participant aux marchés internationaux sont dictés par les mêmes motifs que pour des transactions sur les marchés domestiques. Certaines spécificités expliquent cependant le statut à part de ce champ. Ces spécificités concernent à la fois les déterminants microéconomiques de l’échange international et ses déterminants macroéconomiques. Au niveau macroéconomique, les échanges se font entre états indépendants, qui décident de leur politique économique sur la base d’intérêts purement nationaux. Cette spécificité implique que les politiques économiques choisies à l’optimal d’un pays peuvent se révéler néfastes pour le pays avec qui il échange. En outre, l’existence même de ces échanges implique que les nations souveraines ont à décider de la conduite de nouvelles politiques économiques. Ces nouveaux instruments de politique économique concernent la régulation des flux internationaux de biens et services (politique commerciale), la règlementation des flux de capitaux (régulation financière) ou encore la politique de change. Le Maroc a fait un grand pas sur la voie de la réforme économique et institutionnelle. Entamée depuis long temps, dans le cadre d'une politique de redressement économique de grande envergure. Le royaume affiche ces dernières années une ferme volonté d'intégrer les (IDE) comme une composante primordiale de croissance économique avec un taux de croissance économique fin 2009 proche de 3% et l'ambition d'atteindre le double dans les objectifs de plan d'émergence, qui manifeste parmi leur priorité la promotion de croissance économique par le biais des (IDE). Dans ce cadre, la problématique à laquelle nous tacherons de répondre toute au long de ce travail est la suivante : quelle est l’impact des échanges des biens et les échanges d’actifs sur la croissance économique ? ~ 4 ~ Chapitre1 : les types de transactions internationales. Section1 : les deux approches des échanges. 1. La Théorie réelle des échanges. Les différentes théories du commerce international définissent dans leur globalité un état optimal pour l'économie mondiale. Cependant ces théories sont le résultat d'études, d'analyses qui sont exprimées sans tenir compte des variables liées aux situations des pays du tiers monde. Il ne faudra plus dorénavant se mettre dans une bulle parfaite, où le libre- échange ne provoque que des résultats positifs mais par exemple laisser place aux situations d'oligopole , Il y a une sorte de pessimisme vis-à-vis des théories précédentes mais cela n'empêche la recherche de l'amélioration des conditions de libre-échange. Les États disposent d'instruments d'actions directs sur les flux commerciaux : administration douanières, ou indirects : les taux de change. Les multinationales ont un rôle important dans la régulation des flux commerciaux, les fixations de prix et les échanges de marchandises. Avec le développement d’une industrie apparaissent des externalités positives : accroissement des qualifications, développement des industries sous-traitantes et des fournisseurs à proximité. Dès lors on peut conclure que la taille du marché consolide l’avantage comparatif. En d’autres termes, plus un marché est grand, plus les entreprises sont compétitives en comparaison de celles des autres marchés. D’autres facteurs sont alors susceptibles de créer l’avantage comparatif : subventions publiques, volume de la consommation nationale …De plus il en découle que l’ouverture au commerce international ne fait qu’accroître les écarts de compétitivité en renforçant les entreprises dominantes et en concentrant les industries là où se présentent les avantages comparatifs initiaux. Cette dynamique du commerce international provoque une tendance à l’émergence de forme de monopoles. Avantages comparatifs souvent étudiés en termes de rendements croissant ~ 5 ~ 2. Les paiements internationaux : Chaque pays ayant une monnaie propre pour effectuer des échanges internationaux, il faut échanger des monnaies sur un marché des changes.  Le marché des changes : Forex est un type de marché financier sur lequel sont échangées les devises dites convertibles. le marché des changes désigne donc l'endroit où différents acteurs peuvent s'échanger de la monnaie en respectant un taux de change déterminé. Ce dernier n'est jamais fixe et évolue sans arrêt. Le marché des changes est, en volume de transactions, le marché financier le plus important au monde.  Le Taux de change : Le taux de change d’une devise (appellation d’une monnaie qui est acceptée à l’étranger) est le cours, c’est à dire le prix, de cette devise par rapport à une autre devise. Il s’explique par 2 variables : - la balance des transactions courantes, en cas d’excédent (vente) de cette balance, les le cours de la monnaie augmente. - le taux d’intérêt, le niveau du taux de change va être en fonction du niveau du taux appliqué et du différentiel d’inflation anticipé.  Les régimes des changes :  Le régime des changes fixes : Un régime de change fixe suppose la définition d'une parité de référence entre la monnaie du pays considéré et une devise (ou un panier de devises), à laquelle la banque centrale s'engage à échanger sa monnaie. Lorsque le marché des changes est libéralisé, le respect de cet engagement lui impose d'intervenir sur le marché des changes dès que le taux de change s'éloigne de la parité établie, par l'achat de la monnaie nationale si la monnaie tend à se déprécier sur le marché des changes, par sa vente dans le cas contraire. Lorsque le marché des changes est contrôlé, la monnaie est inconvertible, la parité est définie arbitrairement et soutenue artificiellement.  Le régime des changes flottants : Dans un régime de change flottant ou flexible, à l'inverse, aucun engagement n'est pris au sujet du taux de change, qui flotte librement (flottement pur), en fonction de l'offre et de la demande sur le marché des changes. La politique monétaire retrouve alors son autonomie, mais la banque centrale abandonne ~ 6 ~ le contrôle du taux de change nominal, qui est déterminé sur le marché des changes. Le flottement s'applique donc, en principe, à un marché des changes Libéralisé, même si l'on peut imaginer un régime de flottement impur encadré par un contrôle des changes.  Le système monétaire international : La notion du système monétaire international évoque l'idée d'organisation .un système monétaire international représente l'ensemble des mécanismes et des institutions qui visent à organiser et réguler les échanges monétaire internationaux autour d'un régime de change.Cette organisation est issue des exigences du commerce international. En effet l'existence des relations économiques et commerciale entre les nations ayant des monnaies différentes nécessite donc en parallèle l'existence d'un marché ou les agents économiques pourront convertir leurs devises en monnaie nationale.  Le système de Bretton Woods : Le système de Bretton Woods est mis en place pour définir, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les contours d’une nouvelle architecture financière internationale. Fondé sur des accords signés dès 1944 par 44 gouvernements, il organise le système monétaire mondial autour du dollar américain, seule monnaie à être désormais convertible en or. Il s’agit d’éviterune crise économique comme celle des années 1930, due aux changes flottants (évolution de la valeur des monnaies en fonction de l’offre et de la demande), aux dévaluations monétaires et à l’absence d’entente entre les États. Sur le plan institutionnel, les accords de Bretton Woods créent le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD). Le FMI doit permettre de fournir des liquidités aux pays en difficulté pour éviter de nouvelles dévaluations, alors que la BIRD (aujourd’hui une des composantes de la Banque mondiale) doit favoriser le développement économique.  Le SMI depuis les accords de la Jamaïque : Les «Accords de la Jamaïque» légalisent le système des taux de change flottants et mettent fin au régime des parités fixes mais ajustables au niveau international. L'or n'a plus aucun statut officiel au sein du FMI et dans les relations entre ses membres. ~ 7 ~ Reprenant l'accord issu des négociations franco-américaines de Rambouillet en novembre 1975, le retour à terme à un système généralisé de parités fixes maisajustables est inscrit dans les uploads/Finance/ expose-yahyaoui-fianle.pdf

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  • Publié le Apv 12, 2022
  • Catégorie Business / Finance
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