Porteurs du project Anouk Pragout (Fur Aphrodite) Paris anouk.pragout@gmail.com
Porteurs du project Anouk Pragout (Fur Aphrodite) Paris anouk.pragout@gmail.com 0676789388 Instagram: furaphrodite Francesca SCARPELLINI (Sand) Paris Mail: francescasand.visualartist@gmail.com 0605790246 Instagram :francescasand.art Commissaires d’exposition: le collectif ACTION HYBRIDE Action Hybride est un collectif d’artistes internationaux, initié par Francesca Sand en janvier 2018. La première exposition d’Action Hybride, “ANGST”, s’est déroulée à Paris du 8 mars au 11 mars 2018 à la Capela et a fédéré ses premiers membres actifs :Louise A. Depaume, Fur Aphrodite, Maria Clark, Loredana Denicola, Louise Dumont, Pascaline Rey, Francesca Sand, Vanda Spengler, Anne-Marie Toffolo, Elisabette Zelaya. L’association organise des expositions, des rencontres, des réflexions, des workshops, autour des théma tiques du corps et de la condition humaine. Son orientation est définie par un MANIFESTO - Le corps social et politique Le corps social et politique . Action Hybride est un collectif d’artistes dont les membres sont résolument engagés dans la thématique du corps. . Action Hybride est présente sous toutes les formes de disciplines artistiques : de la performance à la photographie, de la peinture à l’installation, de la vidéo à la sculpture, du dessin à l’écriture. . Action hybride met en scène le corps. Elle interroge ses limites par des pratiques, prospectives et visions qui questionnent l’avenir de l’être et de la condition humaine: un corps « autre », un après-corps, un corps post-humain. . Action hybride réactive les sensibilités anesthésiées. Elle se positionne face aux agressions continues d’une société constituée en spectacle médiatique qui nie la liberté d’expression. L’œuvre reste une trace et le corps devient mémoire. . Action Hybride réagit au corps stéréotypé de l’imagerie de masse. Elle révèle la vulnérabilité de chacun et de tous, met en scène le corps invisible, sous exposé, fragilisé, toutes les formes de sensibilités que la société contemporaine occulte. . Action hybride questionne l’identité et sa transformation. Le corps-reflet, l’hybridation, les images métamorphoses sont autant de possibles qui ouvrent des perspectives et permettent une autre approche du réel. . Action hybride voit dans la nudité un dispositif de résistance. La peau, les veines, le sang participent aux flux de l’existence et de la condition humaine. Et le corps nu, l’intime ou le désir soutiennent chacune de ses actions artistiques. Email: actionhybridecie@gmail.com Website: https://actionhybride.wordpress.com Facebook: www.facebook.com/actionhybrideart Instagram: instagram.com/actionhybride Exposition collective par Action Hybride et ses invité.e.s. Vernissage le jeudi 30 janvier 19h-23h ° Notre corps a une mémoire: il garde en lui les souvenirs enfouis de nos souffrances d’enfants, de fœtus, et même parfois de celles de nos parents et de nos ancêtres. Imprimés dans les muscles, les os et jusque dans la chair; ces douleurs résonnent dans notre corps et se réveillent au fil des événements de la vie. La mémoire du corps, c’est partir sur la trace de ces souvenirs profonds que notre esprit a oubliés, mais dont notre organisme se souvient. Le corps est traversé par la mémoire qui laisse ses traces inscrites dans la chair. L’expérience de la corporalité - comme de la mémoire: je suis mon corps, au même titre que je suis ma mémoire. Je suis inséré dans le monde corporellement, et mon expérience du monde me parvient à travers mon corps. Mais non seulement mon corps absorbe de l’information sur le monde, il est, par rapport à mon œil, un objet - ma propriété autant que mon être. Avoir conscience de son corps, c’est reconnaître, comme le dit Georges Bataille, que nous sommes des êtres discontinus; seulement nous ressentons tous le même vertige devant cet abîme qui nous sépare et que nulle communication ne pourra supprimer. La mémoire du corps se laisse bien plus difficilement oublier que la mémoire mentale. Le corps reste fidèle à son passé, l’intégrant et l’exprimant dans ses gestes apparemment les plus spontanés. Il suffit de penser à quel point le corps refuse de désavouer ses propres circonstances primitives, intégrant obstinément dans ses accents, ses rythmes et ses postures les signes d’appartenance à un temps et un espace spécifiques. C’est par cette mémoire incorporée, que le corps individuel intègre le corps social. Car dès son plus jeune âge, le corps se fait “ civiliser “ : on lui apprend à interagir, selon les normes d’une culture, d’une nation, d’une religion particulières. Ce qui est appris par le corps n’est pas quelque chose que l’on a, que l’on peut représenter devant soi, mais quelque chose que l’on est. La mémoire du corps est ce qui demeure dans l’homme lorsqu’il a tout oublié. La mémoire recommence par une cicatrice, par un corps souffrant, remémorant, malade, fragile; un corps qui est l’interstice qui relie et sépare de tout. Nos ordinateurs comportent tous une touche “efface”, dont la simple présence vient souligner la fragilité de la mémoire. Mais y a-t-il un mode de mémoire qui résiste à l’effacement ? Une mémoire indélébile et pour ainsi dire incurable ? L’art seul, peut-être, est à même de fournir une réponse palpable à ces questions. Car si le corps est partout représenté dans l’imagerie contemporaine, et s’il constitue, au même titre que le mémoire, un matériau de base pour de nombreux artistes contemporains, le corps ne montre pas sa mémoire : il l’agit puisqu’il l’incarne. Et dans la mesure où elle n’emmagasine aucune image ou représentation, la mémoire du corps ne peut s’”effacer” que par la destruction du corps lui-même. Exposition collective pluridisciplinaire <<Je suis mon corps,je suis ma mémoire>> À deux pas de la place du Châtelet, le 59 Rivoli accueille dans ses murs mythiques -- en plein coeur de Paris -- plus de 30 artistes en résidence. Programmés tous les samedis et dimanches, pléthore de concerts animent le lieu et sa galerie (ouverte aux expositions collectives extérieures). Le 59 se veut être -- par essence -- un pôle artistique autour duquel expressions singulières, langues d’art et créativités variées gravitent. Chargé d’histoire, le 59 Rivoli est avant tout vecteur d’un cheminement culturel à la fois alternatif et institutionnalisé, ancré dans le paysage touristique parisien. Au coeur d’une capitale muséifiée, le 59 se révèle être un îlot d’originalité, véritable fabrique des possibles, à l’infini. AU COMMENCEMENT ÉTAIT LE SQUAT (1999-2002) Le 1er novembre 1999, Gaspard Delanoë, Kalex, et Bruno Dumont forcent la porte d’entrée du 59 rue de Rivoli à Paris, gigantesque bâtiment haussmannien laissé à l’abandon pendant huit ans par le Crédit Lyonnais et les pouvoirs publics. À cette époque, la banque fait faillite et ses actifs sont liquidés (parmi lesquels deux cent immeubles vacants dans Paris). Quelques jours plus tard, une dizaine d’artistes viennent squatter l’immeuble, l’habiter et y installer leurs ateliers qu’ils ouvrent aux visiteurs. Autogéré par le collectif « Chez Robert, Électrons Libres », le 59 Rivoli accueille dès sa première année d’existence plus de 40 000 visiteurs. Néanmoins, la menace d’expulsion plane toujours au-dessus des artistes. En 2000, une décision judiciaire les contraint à quitter les lieux : les artistes squatteurs ont alors 8 mois pour évacuer l’immeuble. Constatant que les occupants sont peu bruyants et qu’ils ouvrent leurs portes au public, la préfecture de Paris décrète qu’elle préfère attendre les élections municipales pour prendre une décision quant à l’ouverture ou à la fermeture définitive du lieu. En 2001, Bertrand Delanoë est élu, et il s’engage à racheter l’immeuble. Cet accord passé entre les squatteurs aura par la suite de nombreux retentissements. L’institutionnalisation du 59 Rivoli ouvrira symboliquement la voie à la signature d’autres conventions d’occupation telles que celles de la Tour 111, la Petite Rockette, le Jardin d’Alice, la Gare XP , la Générale, le Théâtre de Verre et d’autres collectifs d’artistes- squatteurs. L’AFTERSQUAT, UNE LIEU CONVENTIONNÉ (2009-...) Après plusieurs années de travaux, la réouverture officielle du 59 Rivoli intervient le 9 novembre 2009. Cette date clé légalise la présence des artistes, encourage l’élan créatif dont ils sont porteurs et marque la pérennisation d’un projet devenu réalité. L’idée : accueillir, dans un lieu alternatif, un essaim d’une trentaine d’artistes disposant de leurs propres ateliers et à même de partager avec le public l’expérience d’une création quotidienne. Avec 50 000 visiteurs la première année, le 59 devient alors le 3ème centre parisien de diffusion de l’art contemporain derrière le Centre Georges- Pompidou et la Galerie Nationale du Jeu de Paume. Aujourd’hui, le collectif d’artistes qui capte chaque année l’attention de dizaines de milliers de visiteurs a mis en place un nouveau genre d’accès à l’art à la fois plus intimiste, plus démocratique et permettant de pallier en partie la pénurie d’ateliers d’artistes dans Paris La Galerie ‘Je suis mon corps,je suis ma mémoire’ Exposition collective pluridisciplinaire organisée par le collectif Action Hybride (Paris) Période d’exposition: 28 janvier au 9 février 2020 Artistes Membres ACTION HYBRIDE Fur APRHODITE Maria CLARK Loredana DENICOLA Louise A. DEPAUME Louise DUMONT Francesca SAND Vanda SPENGLER Elisabette ZELAYA FUR APHRODITE Email.anouk.pragout@gmail.com https://fur-aphrodite.tumblr.com/ LA ROBE - INSTALLATION _ 2004 - latex et fil nylon Robe de lambeaux de latex de récupération cousus main. Seconde peau, prolifération d’écorchures, moisissure envahissante, maladie de peau... Cette robe, c’est l’absent qui nous hante, qui pèse sur le présent, le transgénérationel. Nous portons tous en héritage l’histoire des générations précédentes, nous en uploads/Finance/ je-suis-my-corp-dossier-1.pdf
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- Publié le Mar 02, 2022
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