Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou Faculté des sciences économiques, comm
Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou Faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion Département des sciences commerciales Première année LMD Examen de Moyenne Durée de Méthodologie 4. Résumé de la première partie de la dissertation : La baisse du taux d'épargne des ménages de 1975 à 1990 (et des États-Unis à nos jours) semble bien s'expliquer par les effets des variables économiques habituelles (revenu, prix et patrimoine), si l'inflation peut conduire à la croissance économique, à court terme, elle échappera aux devises peu propices à l'épargne et le maintien d'un certain taux d'inflation incitera les ménages à accroître leur épargne. A.C Pigou et D.Patinkinsoulignent que la baisse des prix augmentera la valeur réelle des liquidités des agents, conduisant à une demande plus élevée et à une réduction des économies. De nombreux auteurs ont mis l'accent sur l'influence de la richesse sur le comportement d'épargne, comblant l'une des lacunes de l'analyse keynésienne, qui tend à être basée sur la liquidité, et parle moins du rôle des actifs accumulés.Premièrement, les agents qui partent d'un certain taux de chômage prédisent la possibilité de connaître une période de sous- emploi et, par conséquent, apporteront des économies préventives aux « mauvais jours ». On peut donc dire que le revenu permanent attendu est revu à la baisse, et les agents reconsidèrent donc leur propension à consommer et à épargner. Par conséquent, l'analyse estime que le chômage à grande échelle grâce à l'intégration dans l'économie contemporaine a conduit à un changement plutôt cruel des anticipations de revenu, ce qui a conduit à un changement durable du comportement des consommateurs. Le développement de la protection sociale est évidemment propice à la réduction de l'épargne préventive, auparavant nécessaire pour faire face aux risques sociaux de la maternité, de la maladie et surtout de la vieillesse. En France, la croissance de la sécurité sociale couvrant la quasi-totalité de la population a pris fin au milieu des années 1970, c'est-à-dire que le taux d'épargne a commencé à baisser. La dette à long terme a atteint plus de 90% du revenu disponible en 1990, contre environ 70% il y a 20 ans. Nom : MS Section : H Groupe : 52 Date de naissance : 12/09/2002. uploads/Finance/ methodologie 1 .pdf
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Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Apv 05, 2022
- Catégorie Business / Finance
- Langue French
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