" les juifs en France " iii LUCIEN PEMJEAN LA PRESSE ET Les juifs Depuis la rév
" les juifs en France " iii LUCIEN PEMJEAN LA PRESSE ET Les juifs Depuis la révolution jusqu’à nos jours ______ LES NOUVELLES ÉDITIONS FRANÇAISES PARIS DU MÊME AUTEUR POLITIQUE ET SOCIOLOGIE Cent Ans après (1789-1889). Le Socialisme expérimental (1881). Plus de frontières (1882). L’Insurgé (journal, 1894). La Paix nécessaire. Le Salut public (revue, 1899). L’Ami des Boers (journal, 1899). Le Cri du Transvaal (journal, 1900). Oui ou non, voulons-nous vaincre ? (1914). Vers l’Invasion (1933). La Maffia judéo-maçonnique (1934). Le Grand Occident (journal, 1934-1939). ROMANS Germaine. La Gosse de l’Assistance. La Petite Madone. La Jeunesse de Cyrano : II. Ses premiers Exploits. II. Son premier amour. La plus belle aventure de Cyrano. Le Vrai d’Artagnan : II. Sa jeunesse. II. Capitaine aux Mousquetaires Copyright by Nouvelles Éditions Françaises 1941. 2007 LENCULUS pour la Librairie Excommuniée Numérique et les CUrieux de Lire les USuels AVANT-PROPOS Si la presse avait existé du temps d’Ésope, c’est d’elle que le fameux philosophe n’eût pas manqué de dire qu’elle était à la fois la meilleure et la pire des choses. Aux informations, aux distractions, aux enseignements, aux idées, aux lumières qu’elle offre journellement au public, se mêlent en effet mille faussetés, mensonges, excitations et poisons de toute espèce. Source de vérité, de concorde et de progrès, elle est en même temps une source d’erreur, de désunion et de décadence. Tout dépend de la façon dont elle est comprise et dirigée. Or, il faut bien le dire, depuis qu’elle existe, depuis qu’elle fonctionne librement, ce sont plutôt de pernicieuses influences qui l’ont guidée. Les mauvais génies du pouvoir et de l’exploitation du labeur humain ont vite réalisé le parti qu’ils pouvaient tirer d’une force susceptible, en façonnant à leur gré l’opinion publique, de servir leurs ténébreux desseins. Ils se sont ingéniés à l’assujettir, les uns par les prébendes et les faveurs, les autres par l’irrésistible instrument de corruption qu’est l’or. Et c’est ainsi .que, graduellement, depuis la Révolution française, la presse, qui a pris chez nous comme ailleurs un développement considérable, s’est presque totalement asservie aux puissances d’argent, à la tête desquelles trône la finance juive. Nous n’avons pas l’intention, dans ces pages hâtives, de faire l’historique de la vassalisation du journalisme depuis Théophraste Renaudot jusqu’à nos jours. Ce que désire surtout le Français d’aujourd’hui, si éprouvé par le cruel désastre qu’il vient de subir, c’est connaître exactement les causes de son malheur. Il sait que la presse, en général, a joué un rôle prépondérant dans la formation de la mentalité qui a permis à certains clans occultes de provoquer la catastrophe. On lui a dit et répété qu’au premier rang de ces clans maléfiques se trouvait la Judéo-Maçonnerie et il voudrait qu’on lui mît les points sur les i, qu’on lui expliquât le mécanisme de cette main-mise sur la direction de 6 LA PRESSE ET LES JUIFS nos organes de propagande et de diffusion, et qu’on lui citât des faits précis, des exemples probants, des noms irrécusables. C’est ce que nous nous proposons de faire ici, après des recherches et des vérifications qui ne laissent aucune place à l’imagination ni à la fantaisie. Mais, pour bien faire comprendre le processus de la subordination de la presse aux intérêts et à l’autorité d’Israël, il est nécessaire que nous remontions un peu dans le passé. Nous ne nous y attarderons pas, désireux de donner au plus tôt satisfaction à l’impatiente curiosité de nos lecteurs. L. P. DES ÉTATS GÉNÉRAUX À LA CONVENTION COMMENT FUT VOTÉE L’ÉMANCIPATION DES JUIFS A part la Gazette de France, fondée en 1631 par un médecin doublé d’un homme d’affaires, du nom de Théophraste Renaudot, et le Mercure Galant, de Donneau de Vizé, créé en 1672, pour devenir en 1724 le Mercure de France, on ne connut guère dans notre pays, avant 1789, en fait de presse, que des recueils, brochures, plaquettes, pamphlets imprimés clandestinement ou à l’étranger. La plupart étaient édités par des !librairies de Londres, Genève et Amsterdam. La Gazette et le Mercure, eux, n’avaient pas de précautions à prendre. Ils n’avaient rien de séditieux et paraissaient avec l’agrément et les subsides du pouvoir. Renaudot n’était-il pas pensionné de Louis XIII qui daigna même collaborer en personne à sa feuille ? Mais, dans la seule année 1789, plus de 14o journaux, quotidiens ou semi-hebdomadaires, furent lancés à Paris, véhéments, passionnés, reflétant dans leur diversité l’agitation tumultueuse des esprits. L’article XI de la Déclaration des Droits de l’Homme avait énoncé : La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme. Tout citoyen peut donc parler écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. On ne se fit pas faute de profiter de cette latitude. Chaque parti, chaque secte, chaque comité, chaque club, chaque agitateur politique, chaque philosophe d’action voulut avoir son journal. Et naturellement ce furent les organes les plus avancés, les plus violents, qui l’emportèrent en quantité. Tandis que Mirabeau publiait son Courrier de Provence, et Gaultier de Biauzat son Journal des Débats, feuilles parlementaires et modérées, les royalistes diffusaient l’Ami du Roi, le Journal de la Cour et de la Ville, ainsi que les Actes des Apôtres où Rivarol criblait la représentation nationale de ses traits à l’emporte-pièce. Et tandis que Brissot et Condorcet exposaient sans outrance, le premier dans le Patriote français, et le second dans la Chronique du Mois, leurs idées républicaines, Robespierre se déchaînait dans le Défenseur de la Constitution, Camille Desmoulins dans les Révolutions de France et de Brabant, puis dans le Vieux Cordelier, Marat dans son féroce Ami du Peuple et Hébert dans son truculent Père Duchesne. 8 LA PRESSE ET LES JUIFS Que d’épigrammes, d’injures, de grossièretés, de blasphèmes, de menaces échangés dans cette formidable mêlée de principes, de dogmes et de plans aussi bien philosophiques que politiques ! L’esprit de l’Encyclopédie et du Contrat social, avivé par la propagande occulte de la Franc- Maçonnerie introduite en France par l’Angleterre, animait tous les adeptes de la Révolution, et leurs plumes n’épargnaient pas plus la Religion que la Monarchie et la Noblesse. Ils l’attaquaient même avec une plus furieuse âpreté, car beaucoup d’entre eux se flattaient d’amener le Roi et les « aristos » à composition, alors qu’ils savaient l’Église intransigeante et immuable sur ses assises et dans ses aspirations éternelles. Et puis, l’Église catholique et romaine n’était-elle pas la bête noire des Protestants et des Juifs qui pullulaient dans les milieux maçonniques et révolutionnaires, à côté des partisans du duc Louis- Philippe, cousin de Louis XVI, Grand-Maître de la Maçonnerie française et Souverain Grand-Maître de tous les Conseils, Chapitres et Loges du Rite Écossais existant en France ? Aussi l’or de la City et celui d’Israël coulaient-ils à flots pour influencer les décisions de nos Assemblées délibérantes. On le vit bien pour la rédaction et le vote de la Déclaration des Droits de l’Homme. On lie vit mieux encore pour la promulgation du fameux décret de la Constituante (29 septembre 1791) conférant aux Juifs la citoyenneté française. Là, tous les moyens de pression, de corruption et de chantage furent mis en œuvre. Un groupe de riches marchands israélites, dont faisaient partie les sieurs Mardochée, Polack, Goldsmidt, Jacob Trenel, J. Lazard, etc. s’était constitué pour diriger et financer la manœuvre. Sous l’influence de ces circoncis, les grands clubs politiques, ceux des Girondins, des Cordeliers et des Jacobins, se mirent en branle en faveur de l’émancipation des fils d’Abraham. Tous’ les journaux populaires, qui foisonnaient autour de l’Ami du Peuple et du Père Duchesne, firent chorus, au nom des grands principes de Liberté, d’Égalité et de Fraternité. Et, le jour des débats, les principaux chefs des partis politiques, depuis l’abbé Grégoire jusqu’à Talleyrand, en passant par Mirabeau, le comte de Clermont-Tonnerre et Camille Desmoulins, se dressèrent à la tribune pour plaider la cause de Juda. Ainsi fut, acquis le vote du décret qui devait, pendant plus de cent cinquante ans, mettre notre pays sous la coupe des puissances occultes, dirigées par Israël. Telle fut la première manifestation de l’influence juive dans le domaine de la politique et de la presse française. Étant donné le but à atteindre, il est certain que des sommes considérables y furent consacrées, et .que les journaux qui, alors comme aujourd’hui, formaient l’opinion publique et pesaient puissamment sur l’activité législative, ne furent pas les derniers à bénéficier de cette manne. DE LA CONVENTION À LOUIS-PHILIPPE ROTHSCHILD Sous la Convention, le Directoire, l’Empire et la Restauration, la Juiverie semble n’avoir exercé que peu d’action sur la Presse. A cette abstention, il y a plusieurs raisons majeures. D’abord, satisfaite de la revanche éclatante et du triomphe inouï que lui avait valus le décret d’émancipation de la Constituante, elle eut une tendance à se replier sur elle-même pour organiser sa vie nouvelle dans la société française et s’y préparer un confortable avenir. Cette délivrance de l’ostracisme séculaire qu’elle avait subi jusque-là, lui apparaissait comme lia première étape dans la voie de la domination universelle annoncée par uploads/Finance/ pemjean-lucien-la-presse-et-les-juifs.pdf
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- Publié le Fev 19, 2022
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