\ LA BI BLIOTHÈQUE ROYALE ALBERT 1 E R \ JEAN-PIERRE DEVROEY MARIANNE DUJARDIN

\ LA BI BLIOTHÈQUE ROYALE ALBERT 1 E R \ JEAN-PIERRE DEVROEY MARIANNE DUJARDIN JULIEN VAN BORM FRANÇOISE VA N D O O R E N SEPTEM BRE 20 0 0 ISBN 2-87212-338-5 Dépot légal D/2000/2848/38 3 TABLE D ES MAT I E R E S TABLE DES MATIÈRES 3 TABLE DES ILLUSTRATIONS 5 AVANT-PROPOS 6 INTRODUCTION 7 1. LES ÉTABLISSEMENTS SCIENTIFIQUES FÉDÉRAUX DE BELGIQUE (ESF). 8 2. LA BIBLIOTHÈQUE ROYALE DE BELGIQUE 11 2.1. BREF HISTORIQUE 11 2.2. INFRASTRUCTURE 12 2.3. COLLECTIONS 13 3. MISSIONS 15 3.1. ABSENCE DE DÉFINITION PRÉCISE DES MISSIONS 15 3.2. TENTATIVES DE DÉFINITION DES MISSIONS DE LA KBR 16 4. PUBLIC 19 4.1. LES DEUX PUBLICS DE LA KBR 19 4.2. LE PROFIL DES UTILISATEURS D’APRÈS J. WALTERUS 19 4.3. PUBLIC EN BAISSE 21 5. MANAGEMENT ET GESTION DE LA KBR 22 5.1. LES ORGANES DE GESTION 22 5.1.1. Collège des chefs des Etablissements Scientifiques de l’Etat (ESF) 22 5.1.2. Commission de gestion 22 5.1.3. Nouvelle commission de gestion de la KBR 22 5.1.4. Conseil scientifique 23 5.1.5. Conseil de direction 23 5.1.6. Jury de recrutement et de promotion 23 5.2. ORGANIGRAMME DE LA KBR 24 6. RESSOURCES 26 6.1. RESSOURCES FINANCIÈRES 26 6.1.1. Evolution des budgets de 1996 à 1998 26 6.1.2. Politique budgétaire 30 6.2. RESSOURCES HUMAINES 31 6.2.1. Historique (1958 - 1994) 31 6.2.2. Nouveau cadre (1995 - ) 32 6.2.3. Les chefs de département et de section 34 7. LES ACTIVITÉS DE LA KBR 35 7.1. DÉPÔT LÉGAL ET BIBLIOGRAPHIE DE BELGIQUE 35 7.1.1. Mission dans un pays fédéral 35 7.1.2. Cadre 35 7.1.3. Problèmes 36 7.1.4. Bibliographie nationale 36 7.2. BIBLIOTHÈQUE SCIENTIFIQUE 37 7.2.1. Le profil des collections et des utilisateurs d’après J. Walterus 37 7.2.2. Budget et politique d’acquisition 40 7.2.3. Concertation 46 7.2.4. Accès aux collections 48 7.3. CONSERVATION ET VALORISATION DU PATRIMOINE 51 7.3.1. Accès au patrimoine 51 7.3.2. Conservation et préservation 52 7.3.3. Acquisition d’objets 54 7.3.4. Recherche 55 7.3.5. Collaborations 55 7.4. VISIBILITÉ 57 ANNEXE I : L’ALBERTINE DISPARUE (S. DE SCHAEPDRIJVER) 58 ANNEXE II : MISSIONS 60 Définition des missions de la KBR dans le Rapport Annuel Exercice 1993 ANNEXE III : RESSOURCES 61 Budgets et dépenses de la KBR de 1996 à 1998 ANNEXE IV : BIBLIOTHÈQUE SCIENTIFIQUE 63 Profil des collections, des utilisations et des utilisateurs de la KBR établi par J. Walterus. Nombre de monographies achetées et de périodiques en abonnement de 1993 à 1998 ANNEXE V 65 Entretiens des auteurs avec le personnel dirigeant de la KBR Tables rondes organisées sous l’égide de la Fondation Roi Baudouin et présidées par J.-P. Devroey et J. Van Borm ANNEXE VI : FICHE DE SYNTHESE DE LA KBR 67 4 5 Tableau 1 : Utilisation des collections en salle de lecture par discipline Tableau 2 : Utilisation des collections en salle de lecture par langue Tableau 3 : Evolution du nombre d’inscriptions et de la fréquentation des salles de lecture 1991-1998 Tableau 4 : Nouvel organigramme de la KBR depuis 1991 Tableau 5 : Budget global de la KBR pour 1989 Tableau 6 : Evolution des budgets de 1996 à 1998 Tableau 7 : Dépenses de la KBR entre 1993 et 1998 Tableau 8 : Différence entre budgets et dépenses de 1996 à 1998 Tableau 9 : Nouveau cadre et effectifs 1995 - 1998 Tableau 10 : Nouveau cadre et effectifs au 31/12/98 Tableau 11 : Scores de la représentativité, de l’utilisation et du niveau d’intérêt des utilisateurs de la KBR pour chaque discipline. Tableau 12 : Budgets des Acquisitions 1996-1998 Tableau 13 : Dépenses en Acquisitions 1993-1998 Tableau 14 : Répartition des achats de monographies entre sciences humaines et sciences exactes de 1993 à 1998. Tableau 15 : Ouvrages ayant fait l’objet d’un catalogage analytique de 1996 à 1998. Tableau 16 : Budgets et dépenses pour l’acquisition d’œuvres d’art Tableau 17 : Profil des collections, des utilisations et des utilisateurs de la KBR d’après J. Walterus. Tableau 18 : Nombre de monographies achetées et de périodiques en abonnement de 1993 à 1998. Figure 1 : Evolution des budgets de 1996 à 1998 Figure 2 : Répartition du budget 1998 de la KBR Figure 3 : Dépenses de la KBR entre 1993 et 1998 Figure 4 : Le personnel de la KBR prévu au cadre et effectivement engagé de 1958 à 1998 Figure 5 : Evolution des dépenses en acquisitions de 1993 à 1998 Figure 6 : Evolution des achats de monographies et de périodiques de 1993 à 1998. Figure 7 : Différence entre budget et dépenses en 1996 Figure 8 : Différence entre budget et dépenses en 1997 Figure 9 : Différence entre budget et dépenses en 1998 TABLE D ES ILLUSTRAT I O N S Ce rapport a été réalisé à la demande de la Fondation Roi Baudouin, dans le cadre des sémi- naires de réflexion qu’elle organise sur les institutions scientifiques ou culturelles localisées dans le quartier du Mont des Arts. Les auteurs remercient particulièrement, pour les entretiens qu’ils leur ont accordés, M. Pierre Cockshaw, Conservateur en Chef de la Bibliothèque Royale, Mme Josiane Roelants-Abraham et MM François de Callataÿ, Raphaël De Smedt, Hossam Elkhadem et Willy Vanderpijpen, chefs de département à la Bibliothèque Royale, ainsi que Mme Ria Jansen-Sieben, Présidente du Conseil Scientifique, Mme Claire Billen et M. Robert Verdonk, membres du Conseil Scientifique. Les auteurs remercient également, pour leur participation aux tables rondes organisées sous l’égide de la Fondation Roi Baudouin, les bibliothécaires en chef et directeurs de bibliothèque des universités francophones et flamandes du pays, ainsi que MM les professeurs Jacques Marx et Ludo Milis. Les auteurs adressent également leurs remerciements à Dr. W. Van Drimmelen, Directeur général de la Bibliothèque Royale des Pays-Bas, M. E. K. Nielsen, Directeur de la Bibliothèque Royale du Danemark et M. J. Thorhauge, Directeur général du Danish National Library Authority. AVA N T - P R O P O S 6 Ce rapport consiste en une analyse du profil de la Bibliothèque Royale (KBR), basée sur la documentation disponible. Les principales sources d’information sur la KBR sont les Rapports Annuels de l’institution1 et le rapport de H.D.L. Vervliet2 (1990), complétés par la thèse de doctorat de J. Walterus3 (1999) sur le profil des collections et des utilisateurs. Afin de recueillir le point de vue des dirigeants de la KBR sur l’institution et ses perspectives d’avenir, les auteurs ont rencontré les chefs de département de l’institution au cours d’entre- tiens individuels, ensuite les membres du Conseil scientifique extérieurs à l’institution, et enfin le Comité de direction comprenant le Conservateur en chef et les chefs de département.4 En outre, trois tables rondes ont été organisées pour susciter une réflexion sur les missions et les fonctions de la Bibliothèque royale dans son contexte national et international. Présidées par MM J.-P. Devroey et J. Van Borm, les tables rondes ont rassemblés successivement des directeurs académiques de bibliothèques et des professeurs, utilisateurs de la KBR, ensuite les bibliothécaires en chef des universités flamandes, et enfin ceux des universités franco- phones.5 I N T R O D U C T I O N 7 1. Rapport Annuel, Exercice 1992 - 1998, dans: Bulletin d’information, Bibliothèque Royale de Belgique, 1993 - 1999. 2. H.D.L. Vervliet, Rapport sur les missions et le fonctionnement de la Bibliothèque Royale Albert Ier, décembre 1990. 3. J. Walterus, Kwantitatieve en kwalitatieve evaluatie van de gedrukte collecties van de Koninklijke Bibliotheek Albert I met het oog op samenwerking met andere wetenschappelijke bibliotheken, UIA, Informatie- en Bibliotheekwetenschap: Antwerpen, 1999. 4. Voir détails en Annexe V. 5. Voir détails en Annexe V. Après l’Exposition Universelle de 1958, "un processus d’autonomisation des institutions scientifiques fédérales est pro g ressivement mis en œuvre. En 1965, l’autonomie de gestion sur le plan scientifique est déclarée"6 et la KBR, comme d’autres institutions scientifiques (entre autres: les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique et les Archives Générales du Royaume), obtient le statut d’Etablissement scientifique de l’Etat. Ce nouveau statut implique que ces établissements doivent" assumer des activités de recherche scienti- fique et des missions de service public liées à ses activités". Ils disposent d’une grande auto- nomie dans leur politique scientifique, moyennant la supervision d’un Conseil scientifique. “Depuis lors, le mouvement d’autonomie se poursuit en parallèle avec celui de remise en cause des institutions unitaires. Alors que le premier amène une plus grande liber té d’action pour les établissements, le second entraîne une série de blocages administratifs, notamment lors de l’engagement du personnel des établis- sements. La pre m i è re remise en cause fondamentale du statut de ces établissements p rovient des réformes institutionnelles de 1980, provoquant entre autres la s u p p ression du Ministère de la Culture ([…] dont les compétences passent aux Communautés). Celles-ci entraînent le passage des Etablissements scientifiques de l’Etat au Secteur commun de l’Education nationale et aux deux administrations de ce Ministère (flamande et francophone), les établissements dépendant cependant e n c o re des deux administrations de la culture (soit un total de quatre administra- t i o n s uploads/Finance/ pub-1167-la-bibliotheque-royale-albert-1er.pdf

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  • Publié le Sep 12, 2022
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