Rapport de stage – BP Fès Taza – Page1 Université Hassan 1er BANQUE POPULAIRE E

Rapport de stage – BP Fès Taza – Page1 Université Hassan 1er BANQUE POPULAIRE ENCG de Settat Fès-Taza RAPPORT DE STAGE Stage effectué à la Banque Populaire Fès-Taza : Département Comptabilité et finances Effectué par : Encadré par :ALLA Izdihar Mr. OUAJJANI Abderrahmane Année universitaire :2011-2012 Rapport de stage – BP Fès Taza – Page2 SOMMAIRE Remerciements………………………………………………………………………………………3 Introduction au rapport………………………………………………………………………………4 I-Introduction générale……………………………………………………………………………….5 1-le secteur bancaire au Maroc a-Définition d'une banque b-Généralités sur le secteur bancaire 2-Présentation du Groupe Banque Populaire a-Rappel historique b-missions et valeurs du groupe 3-Structure et organisation de la Banque Populaire Fès-Taza -Organigramme II-Département comptabilité et finances………………………………………………………14 1-Introduction 2-Principes comptables 3-Le plan comptable 4-Missions du département comptabilité et finances III-Les attributions de la fonction comptable 1-Le service traitement comptable 2-Le service contrôle comptable 3-Le service arrêtés et déclarations CONCLUSION Rapport de stage – BP Fès Taza – Page3 Remerciements Avant d’entamer ce travail, Je tiens d’abord à remercier toutes les personnes qui m’ont aidé de près ou de loin à réaliser ce rapport, et à accomplir mon stage dans les meilleures conditions. Je remercie le corps professoral de l’ENCG de Settat pour sa formation flexible et polyvalente, et spécialement à Mr. LEMTAOUI Mourad pour son soutien et ses conseils lors des suivis. Je tiens tout particulièrement à remercier et à témoigner toute ma reconnaissance à Mr. OUAJJANI Abderrahmane et son équipe pour l’expérience enrichissante et pleine d’intérêt qu’ils m’ont fait vivre durant le mois d’Aout 2012 au sein de la Banque Populaire de Fès-Taza. Rapport de stage – BP Fès Taza – Page4 Introduction Dans le but d’exercer son activité bancaire avec sa clientèle et avec les tiers, la banque met leur disposition sièges, succursales et agences afin de les servir dans de bonnes conditions de confort et de sécurité tout en respectant les normes en vigueurs au Maroc. Vu le volume très important des flux réalisés par la banque, et afin de maîtriser la gestion de ses comptes, la Banque Populaire de Fès-Taza a mis en place un Département comptabilité et finances qui a pour but de centraliser la comptabilisation des produits et charges et des déclarations fiscales de la BPR. Le présent rapport abordera en premier lieu l’évolution du secteur bancaire marocain et une présentation de la banque populaire, pour décrire, dans une deuxième partie, l’organisation mise en place par la Banque Populaire Fès-Taza pour assurer la comptabilisation de ces produits et charges, et celle de sa déclaration fiscale. Ce stage à été effectué au sein du siège de la Banque Populaire Fès-Taza, au niveau du département comptabilité et finances durant la période allant du 1er Aout 2012 au 31 Aout 2012. Rapport de stage – BP Fès Taza – Page5 I-INTRODUCTION GENARALE : Rapport de stage – BP Fès Taza – Page6 1-Le secteur bancaire marocain : a-DEFINITION D’UNE BANQUE : Définition juridique : Sont considérés comme les établissements de crédits les personnes morales qui exercent leur activité au Maroc, quels que soient le lieu de leur siège social, la nationalité des apporteurs de leur capital social ou de leur dotations ou celle de leurs dirigeants et qui effectuent, à titre de profession habituelle, une ou plusieurs des activités suivantes :  La réception de fonds publics ;  Les opérations de crédit ;  La mise à disposition de la clientèle de tous moyens de paiement ou leur gestion. Définition générale : Une banque est une entreprise particulière qui s'occupe des dépôts d'argent et des moyens de paiement. C’est une société financière qui gère les dépôts et collecte l’épargne des clients, accorde des prêts et offre des services financiers. Elle utilise de plus en plus d’autres canaux de distribution : opérations par internet, accords avec les commerçants pour le crédit à la consommation et le paiement par carte, guichets automatiques dans des lieux publics, publipostage, centres d’appel. Les banques commerciales font partie des établissements de crédit. La banque : une entreprise : Au sens juridique, la banque est une institution financière qui dépend du Code monétaire et financier. Elle a pour fonction de proposer des services financiers : -recevoir des dépôts d'argent, -collecter l'épargne, -gérer les moyens de paiement, -accorder des prêts. Elle fonctionne souvent sous forme d’agences qui constituent un réseau. Les rôles de la banque : A l’ouverture d’un compte, la banque propose à ses clients des moyens de paiement : -un compte bancaire, -un chéquier, -une carte bancaire. Son deuxième rôle est de donner des crédits à ces mêmes clients, elle prélève des commissions et des intérêts avec un taux variable selon des critères : Rapport de stage – BP Fès Taza – Page7 - pour les particuliers : crédit immobilier, crédit voiture... -pour les entreprises : traites, crédit documentaire... -pour l'État : financement des déficits publics. Le financement des banques Pour assurer le service de financement de l'économie, par le crédit et les moyens de paiement, les banques se financent elles-mêmes sur le marché monétaire et auprès de la banque centrale « BANK AL MAGHRIB ». En effet, ce ne sont pas les dépôts qui font les crédits, mais le contraire. Parce que l'argent est d'abord créé par les banques centrales sous forme de crédits, pour pouvoir être distribué. Les banques sont ainsi l'intermédiaire entre la banque centrale, qui crée la monnaie, et l'économie, qui utilise cette monnaie pour son bon fonctionnement. 2-LE SECTEUR BANCAIRE AU MAROC : Un paysage bancaire marocain concentré Le Maroc est passé de 21 banques en 2000 à 16 en 2006, et ce en conséquence de la concurrence en 1998 qui a crée une dynamique de concentration des établissements financiers. Vers la fin de l’année 2006, le Maroc grâce à ses 16 banques offrit un guichet pour 7300 habitants, le un tiers du réseau bancaire est concentré sur l’agglomération casablancaise avec une détention de presque 50% d’Attijariwafa Bank et du CPM. La présence des banques étrangères au Maroc est très marquante :  Participation majoritaire :  BNP Paribas contrôle 65% de la BMCI  La société générale contrôle 51.9% de la SGMB  Le groupe crédit agricole contrôle 52.7% du crédit du Maroc.  Participation minoritaire :  Le crédit mutuel CIC détient 10% du capital de la BMCE  Le crédit agricole détient 35% des filiales stratégiques d’Attijariwafa Bank. Le secteur bancaire se partage en quatre catégories d’établissements :  Les banques de dépôts classiques : On y trouve les cinq grandes banques privées réalisant les deux tiers de la collecte des dépôts bancaires, Attijariwafa Bank, la BMCE, la BMCI, la SGMB et le Crédit du Maroc.  Le Crédit Populaire du Maroc (CPM) : Rapport de stage – BP Fès Taza – Page8 Constitué de la Banque Centrale Populaire (BCP) et de son réseau de Banques Populaires Régionales (BPR).  Les anciens organismes financiers spécialisés dans le financement de secteurs d’activité particuliers : Comme le Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH) et le Crédit Agricole du Maroc (CAM).  Diverses autres banques : Bank Al Amal (financement de projets d’investissement des Marocains résidant à l’étranger), Mediafinance et Casablanca finance markets (Interventions sur le marché des titres négociables de la dette) et le Fonds D’Équipement Communal (financement des collectivités locales). Le secteur bancaire : source essentielle du financement externe de l’économie locale : La structure des emplois des banques montre une prédominance de l’activité de Crédit, et ce par : -La hausse des concours des établissements de crédits à 352Md DH soit (+16,4%), dont 85% sont accordés par les banques. -Le bénéfice des sociétés d’un taux 58,6% de l’encours des concours distribués par les établissements de crédits (+20%), les particuliers et les entrepreneurs individuels de 33,2% et de 5%, et les collectivités locales de 3,2%. En 2006, 0,9Md DH on été mis au titre des billets de trésorerie, 2,9Md DH au titre des émissions obligataires et 65 sociétés sont cotées à la Bourse de Casablanca pour une capitalisation représentant 55% du PIB. Les marchés financiers restent donc une source de financement marginale pour les entreprises marocaines. Aussi, ne faut-il pas nier la difficulté que rencontrent les PME pour se financer auprès du système bancaire. Ceci cause la multiplication des dispositifs de mise à qui ont pour objectif d’améliorer la transparence comptable des PME, et des dispositifs de garantie dédiés à la PME dans le but d’abaisser les exigences des banques en matière de taux appliqués et de garanties réelles. Une hausse générale des crédits contre une baisse sensible des créances en souffrance. Les prêts bancaires représentent plus de 85% de l’ensemble des concours à l’économie. En fin 2006, il se sont élevés à 327,4Md DH soit de 17,7% (+12,5% en 2005). L’ensemble des crédits bancaires est en hausse or les créances en souffrance sont en net recul (15,7% du total crédit en 2005 et 10,9% en 2006). L’expansion des crédits immobiliers est attribuable à l’amélioration des conditions de crédits (forte baisse des taux et allongement des durées de crédit) couplées au dispositif incitatif mis en place par l’Etat. Rapport de stage – BP Fès Taza – Page9 Le montant des créances en souffrance uploads/Finance/ rapport-de-stage-2eme-annee.pdf

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  • Publié le Apv 15, 2021
  • Catégorie Business / Finance
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